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5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 23:23

      Ce dimanche 5 décembre, cela fait 1200 jours que le révisionniste Gerd Honsik est emprisonné dans les géôles autrichiennes.

      N'hésitez pas à lui écrire un mot à l'approche de ces fêtes de Noël : les courriers que reçoivent nos prisonniers politiques leurs sont d'un grand réconfort.


     Ce poète apprécié avait été poursuivi en 1992, il ya bientôt 20 ans, pour un livre intitulé Freispruch für Hitler? (Acquittement pour Hitler ?). On lui reprochait des positions insuffisament insultantes contre le national-socialisme et contestant ce que les occupants appellent la "shoah". Condamné à 18 mois de prison, il s’était exilé en Espagne durant 15 ans avant d'être arrêté par les policiers espagnols, le 23 août 2007.

      C'est depuis cette date qu'il est incarcéré, condamné ensuite pour de nombreux autres délits d'opinion.

 

 

Gerd HONSIK

Justizanstalt Wien Simmering

Bruhlgasse 2

1110 WIEN

AUTRICHE

 

 

http://img142.imageshack.us/img142/2654/gerdhonsik2ev0.jpg

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8 novembre 2010 1 08 /11 /novembre /2010 11:11

La pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard

 

      La liste des signataires de la pétition a été mise en ligne sur le site de Abrogeons la loi Gayssot !

      Il demeure possible de la signer.

      Le site "Droites extrêmes" s’est fait l’écho de cette pétition deux plusieurs articles (ici et ; ainsi que L’Express. Les deux journaux se sont focalisés sur le cas Yann Moix. Dans un article très détaillé, il expliquait « Pourquoi je suis contre la loi Gayssot ».

      Face aux pressions, cet antirévisionniste ami d’Israël mais protecteur de la liberté d’expression a fait marche arrière et a retiré sa signature. Il a avancé diverses fausses raisons et un mensonge grossier pour se justifier. L’Express a évoqué ce retrait :

 

« Alors que le blog "Droites extrêmes" lui reproche d'avoir signé une pétition anti-loi Gayssot aux côtés de révisionnistes avérés comme Robert Faurisson, Yann Moix réaffirme, sur "Laregledujeu.org", son opposition à cette loi qui interdit aux historiens révisionnistes et négationnistes de publier leurs travaux. Mais il déclare "ne pas faire partie des signataires de la pétition circulant actuellement contre la loi Gayssot", et "ne chercher en aucune manière à réhabiliter le révisionnisme". Contacté par LEXPRESS.fr, Yann Moix n'a pas souhaité en dire plus. »

 

      Combien sont-ils, les lecteurs de "L'Express.fr" qui vont découvrir qu'il existe en France une "loi qui interdit aux historiens révisionnistes et négationnistes de publier leurs travaux" ?

 

      Une autre signature a fait du bruit, celle de Mgr Gaillot. Tout comme Yann Moix, il a été contraint de la retirer. Ce sont des associations humanitaires qui lui ont signalé « les graves inconvénients auxquels (il allait) s'exposer ». Mais « Celui qui part d'une pétition qu'il vient de signer perd sur tous les tableaux: il passe pour un type qui n'assume pas ce que tout le monde sait à présent qu'il pense ! » comme dit P.-E. Blanrue.

 

      Reste de nombreuses signatures de poids, outre le soutien de Noam Chomsky : celle du professeur Jean Bricmont, d’Israël Shamir, du cofondateur d'Apple Steve Wozniak, des journalistes Robert Ménard, Dominique Jamet (Le Bien public), Jean-Guy Allard (Daily Granma), Jérôme Bourbon et Camille Galic (Rivarol), Erwin Vétois (Droite ligne), Henri de Fersan, de Hugues Petit, président du Conseil scientifique du Front national, l’ancien porte-parole des Verts Jean Brière, du secrétaire général du Parti de la France Thomas Joly, du président d’Egalité et Réconcilation Alain Soral et son ancien secrétaire général Marc George, de l’ancien journaliste et activiste François Brigneau, l’éditeur Philippe Randa, etc.

 

 

 

 

Australie: Jeremy Jones veut sa livre de chair

 

      Pas de doute : en Australie, Jeremy Jones, autodésigné représentant de la communauté juive d'Australie, veut sa livre de chair : Fredrick Töben, ancien directeur de l'Adelaide Institute, vient de recevoir de lui une "notification de faillite" qui lui réclame 56 513,72 dollars australiens (un peu plus de 40 000 euros), à payer dans les 21 jours ! Le jugement correspondant remonterait au 24 septembre et la date de son enregistrement serait celle du 12 octobre...

      « Voilà qui est intéressant, écrit Töben, car on ne m'a jamais avisé que cette action était en train de se tramer ; c'est ce qu'on appelle "une embuscade juridique". » On se souvient que Jeremy Jones poursuit Töben depuis des années en raison des articles révisionnistes qu'il plaçait sur son site, ce qui avait valu, entre autres, à notre ami de faire un séjour de quelques mois de prison en 2009.

      Récemment, F. Töben a appris que l'avocat représentant Jeremy Jones s'était vanté, lors d'une élection régionale, d'avoir travaillé gratuitement pour la communauté juive australienne en le défendant conter le "négationniste" Töben.

      Ce dernier se trouve donc aujourd'hui dans une situation peu enviable et va essayer de faire intervenir son avocat pour éviter d'avoir à payer une telle somme...

 

 

 

 

Tchéquie: Le révisionniste Vladimir Stwora relaxé

 

      Vladimir Stwora, qui publie le site politique <http://www.zvedavec.org/> avait été jugé en première instance en décembre 2009 pour avoir publié la traduction d’un article intitulé « L’holocauste et ses variations sur les 4 millions ». Le tribunal l’avait aqcuité.

      La justice tchèque a rejugé ce ressortissant tchéco-canadien le 1er novembre. La justice lui reprochait notamment de nier l’existence de chambres à gaz homicide et d’affirmer qu’aucune politique d’extermination systématique n’a été mise en place dans les camps de concentration allemand. Avoir soulevé ces problèmes historiques ferait de lui un assassin en puissance qui voudrait « supprimer les droits et le liberté de l’homme ».

      Il rappelle lui n’avoir voulu que provoquer un débat et que, par ailleurs, les variations en question ne sont que celles émanant des sources officielles de la "shoah". En appel, il a été relaxé également.

      La république tchèque a rejoint en 2000 la longue liste des dictature en se dotant d’une loi liberticide antirévisionniste.

      Ci-dessous une vidéo datant de son procès en 2009 :

 

 



 

Pedro Varela bientôt emprisonné?

 

      Sous le titre « Le néonazi Varela ira en prison pour diffusion de ses idées sur le génocide », le quotidien espagnol El Païs annonçait hier que Pedro Varela, propriétaire à Barcelone de la librairie "Libreria Europea" récemment vandalisée, devra aller en prison dans les prochains jours. Ainsi l'a ordonné un tribunal pénal de Barcelone qui ne lui accorde pas de sursis pour la condamnation à 1 an et 3 mois de prison prononcée contre lui en mai [?] dernier.

      Joint au téléphone Varela dit n'avoir reçu aucune notification de cette décision mais n'avait pas réussi à joindre son avocat. Il pense pouvoir déposer un recours mais, dit le journal, un tel recours n'empêcherait pas son emprisonnement: il devra accomplir sa peine sinon "on procédera à son arrestation".

 

 

 

 

Moscou: Venediktov contre une loi antir évisionniste

 

      Le 1er novembre 2010, sur le site "PanArmenian Net", on apprend que Alexey Venediktov, réacteur en chef de la station radio "Echo of Moscow", a déclaré, à l'émission "Pozner" sur la première chaîne, qu'il était hostile à l'adoption par le parlement d'un pays, son président ou son premier ministre, d'une loi antirévisionniste car c'est une question qui ne relève pas des parlements ni des gouvernements. Il a aussi affirmé qu'il était hostile à toute poursuite judiciaire contre la négation de l'Holocauste.

 

 

 

 

Nouvelles de Vincent Reynouard

 

      On trouvera sur le site Semperfidels de Vincent Reynouard, emprisonné pour délit d'opinion révisionniste depuis le 9 juillet 2010 (d'abord en Belgique puis, depuis le 19 août, en France à Valenciennes) :

 

 

 

 

Le Comité de soutien à Vincent Reynouard à la Table ronde de Terre et Peuple

 

       Le CSVR participait à la Table ronde de Terre et peuple le 24 octobre. Voici quelques photos de leur participation :

 

http://img64.imageshack.us/img64/9477/csvr1.jpg

 

 

Des tee-shirts sont proposés à la vente :

 

http://img835.imageshack.us/img835/927/csvr3.jpg

 

http://img19.imageshack.us/img19/6404/csvr2.jpg


http://img571.imageshack.us/img571/4918/csvr4.jpg

http://img198.imageshack.us/img198/6163/csvr5.jpg

 



 

Cohn-Bendit frère : le cas Daniel

 

      Extraits d'un article de Libération : "Question de Principe" - du 5 mars 1979 :

 

« ...Battons-nous donc pour qu'on détruise ces chambres à gaz que l'on montre aux touristes dans les camps où l'ON SAIT MAINTENANT QU'IL N'Y EN EUT POINT... »

 

(l’intéressant article est disponible en entier sur le site de l’Association des anciens amateurs de récits de guerre et d’holocaustes (AAARGH))

 

 

 

 

Maria Poumier commente ses entretiens avec le professeur Faurisson

 

      Le 16 octobre on pouvait lire, sur le site "Entre la plume et l'enclume", les commentaires suivants de l'universitaire Maria Poumier à propos d'une interview qu'elle avait recueillie auprès du professeur Faurisson le 28 décembre 2007 :

 

      En confidence: L’Inconnue c’est moi, par Maria Poumier (Extrait de "Proche des Neg' ", Booksurge 2009).

 

(Vincent Reynouard en prison, c'est le moment où la chance se retourne, en France, contre la censure orchestrée par le CRIF. Encourageons cette dynamique ! Abolissons de fait la loi Gayssot ! - Note de Maria Poumier)

 

Robert Faurisson est un cauchemar qui rôde, guettant journalistes, juges, politiques, et tout ce qui a une place au soleil à défendre. Son nom bizarre est presque synonyme de monstruosité, on ne le mentionne qu’avec un frisson d’épouvante. Et pourtant, c’est un petit bonhomme qui, à quatre-vingts ans, ressemble complètement à tous ces vieux messieurs (...)

Dieudonné a bravement tiré le personnage du ghetto d’extrême-droite caricaturale où la rumeur était parvenue à l’enfermer, à l’étouffer, déclenchant la fureur des bien-pensants, et la curiosité des honnêtes gens.

(...)

"En Confidence", "dialogue avec l’Inconnue", par Robert Faurisson, éd. Pierre Marteau, 2009 (*), est un document qui appartient au genre littéraire de l’autobiographie et de la confession, mais aussi de l’essai historique et de la critique littéraire. L’auteur et personnage y apparaît comme celui qu’il n’a jamais cessé d’être: un enseignant passionné par les auteurs qu’il admire (...)

Ce dialogue que j’ai voulu est un fruit longuement mûri, depuis 1995, l’année où, de façon fortuite, étant maître de conférences à l’université de Paris VIII Saint-Denis, j’ai découvert l’énormité du tabou pesant sur les universitaires français, et qui empoisonne totalement leur activité de recherche et de transmission, conduisant inéluctablement à la mort spirituelle de notre pays, bien au-delà de la corporation des historiens.

Découvrant Faurisson après avoir lu Garaudy, le plus généreux des communistes, le plus chrétien des staliniens, le plus digne d’être lu par le peuple, parmi les philosophes, et le plus cohérent dans l’internationalisme ouvrier, j’avais tout de suite été frappée par la qualité extrême de l’écriture de Faurisson, d’une rigueur impeccable, tout comme son argumentation. La rencontre entre les deux personnalités sur un certain point d’histoire tenait du miracle, car tout les opposait par ailleurs. Mais il n’était pas facile, jusqu’à maintenant, de faire partager l’admiration spéciale qu’on éprouve à lire le proscrit Faurisson. (...)

De l’intérieur, c'est-à-dire en examinant l’Holocauste comme le lieu de la bataille pour le contrôle de l’histoire entre Occidentaux, Faurisson a gagné, puisque aucun historien ni tribunal n’a pu établir qu’il ait jamais falsifié des données historiques. Le procès qu’il a intenté à Robert Badinter en 2007, il l’a moralement gagné, puisque le tribunal a reconnu en sa faveur une "diffamation de bonne foi". Robert Badinter est le diffamateur, oui, et c’est la justice française qui l’a confirmé : du point de vue de la science, de l’application de la méthode cartésienne, Robert Faurisson n’a jamais été pris en défaut. (...)

(...)

François Brigneau est le premier à avoir publié une biographie détaillée de Robert Faurisson, basée comme ce dialogue sur des entretiens avec l’auteur ("Mais qui est donc le professeur Faurisson?", 1992, réédité aux éditions La Sfinge en 2005 *). J’ai cherché à prendre plus de recul sur notre homme, pour le faire comprendre par des cercles de lecteurs plus éloignés. Le volume publié conserve le personnage de "l’Inconnue", nom choisi par Robert Faurisson lui-même, et qui a permis à ce dialogue de circuler déjà auparavant dans certains milieux, en ajoutant à l’intérêt de la lecture la spéculation sur l’identité imprécise de l’interlocutrice. Mais il est temps de passer à une étape supérieure dans le combat pour notre santé mentale. Il faut déjà se dépouiller de tous les oripeaux imposés par l’ennemi pour entraîner au combat les timides. L’Inconnue, c’est moi et c’est vous, et alors ? (...)

La qualité stylistique et le titre du volume "En confidence" appartiennent entièrement à Robert Faurisson, qui a retouché à sa guise les premiers jets, avec son goût classique pour le polissage extrême, et à qui j’ai laissé toute liberté dans ce domaine, ainsi que pour l’usage du fruit de cette aventure.

 

(*) Chez Akribeia (www.akribeia.fr):

- "En confidence", 80 p., 10 euros (3 ex. = 20 euros) + port

- "Mais qui est donc...?", 104 p., 14 euros (3 ex. = 33 euros) + port

 

 

 

 

Une lettre à Finkielkraut à propos du Père Desbois

 

Monsieur,

J’apprécie beaucoup votre forme d’esprit et son indépendance, je vous lis et vous écoute toujours avec intérêt, et vous me réconcilieriez avec la philosophie si ce triste clown de BHL ne l’avait abusivement annexée à ses titres.

Mais, grands dieux, pourquoi avez-vous cru bon, dans le dernier numéro (704) de Marianne, de couvrir de votre autorité et de votre crédit moral les élucubrations shoatiques de cet escroc à la mémoire qu’est le Père Patrick Desbois en citant une des histoires à dormir debout qui émaillent les 335 pages de son pèlerinage « sur les traces de la Shoah par balles » ?

Car celle que vous citez n’est effectivement pas piquée des vers mais vous auriez pu, pour tenter d’en étayer l’authenticité, ajouter que ce « Porteur de mémoires » atteste que les malheureuses victimes précipitées au fond des puits ou enterrées vivantes « avaient bougé, respiré et crié pendant trois jours » et « qu’une main de juif sortant du sol s’était accrochée, ici ou là, à la pelle d’un fossoyeur » (pages 93, 102, 124, 208 et 298 de son admirable et bouleversant ouvrage).

Ne trouvez-vous pas indécent que des bateleurs de foire tirent aujourd’hui profit, honneurs et décorations en dressant ces décors grand-guignolesques derrière leurs délires de malades ?

Je vous prie de croire néanmoins en mes sentiments de parfaite considération.

 

 

 

 

 

« Ma petite entreprise ne connaît pas la crise... »

 

      C’est à se demander si les Allemands ont tellement travaillé – à moins qu’il ne s’agisse de bâtiments construit à la va-vite postérieurement à la Seconde Guerre mondiale...

      Dans un article du Miror, un journaliste dresse la liste des travaux à effectuer dans le camp de concentration-musée d’Auscwhitz, camp qui serait « en train de pourrir ».

      -les tours de garde se fendent;

      -les baraquements s'effondrent;

      -les fondations sont endommagées à cause de la hauteur de la nappe phréatique (*) et le drainage est mal fait.

      -les murs sont boursouflés et commencent à pencher;

      -les charpentes sont déformées;

      -le plâtre et la peinture des murs sont écaillés;

      -les planchers de béton sont pleins de fissures profondes en raison des gelées annuelles et du piétinement des centaines de milliers de personnes qui viennent visiter le site chaque année ;

      -à Birkenau, le délabrement est patent : on ne peut plus visiter que 45 baraquements de brique; s'ils ne s'effondrent pas c'est grâce à la pose d'entretoises en bois et au fait que des ouvriers du musée creusent les drains en permanence pour empêcher les inondations ;

      -etc.

      Le musée à la charge des 150 bâtiments encore debout du camp de concentration et de quelques 300 ruines dont celles présentées comme ayant été des "chambres à gaz".

      Les comptes sont très minutieux : pour chaque baraquement, il faut 78 000 livres ; pour les 27 tours il faut       62 000 livres par an et ce pendant 14 ans.

      Et comme, c’est l’auteur de l’article qui l’affirme, « chaque pays d'Europe est responsable », tous les Européens doivent mettre la main au portefeuille : l'Allemagne va payer 60 millions d'euros, l'Autriche 6, les Etats-Unis 15 millions de dollars, la Grande-Bretagne devrait être dépouillée de 10 millions de livres ; c’est en tout cas ce qu’espère l’auteur.

 

(* ce grave problème avait déjà été mis en lumière par Robert Faurisson qui s’interrogeait sur la possibilité d’incinérer de grandes quantités de cadavres dans des fosses.)

 

 

 

 

Les petits chères petites têtes blondes (et autres) seront (aussi) endoctrinées au Brésil

 

      L'étude de la "Shoah" va devenir obligatoire dans les lycées de la ville de Porto-Alegre dans le sud du Brésil. La ville avait connu l’invasion alter-mondialiste il y a quelques années. Depuis les choses changent : des "néo-nazis" locaux se font remarquer et l’archevêque de la ville, Dadeus Grings, déclare :

 

« Il est mort plus de catholiques que de juifs dans l'Holocauste mais on ne le sait pas parce que les juifs contrôlent les médiats du monde entier ».

 

      Personne n’a dit qui contrôle l’éducation nationale dans la ville, mais après ces faits, une loi a été imposée à la population et les 96 lycées de Porto Alegre (60 000 élèves) rejoindront la longue cohorte des jeunes soumis à la sidération mentale holocaustique.

 

 

 

 

Adresse de la nouvelle prison de Wolfgang Fröhlich

 

      Wolfgang Fröhlich est emprisonné pour de longues années (il a écopé de 2 ans supplémentaires le 4 octobre). A deux reprises ces derniers temps il a changé de prison. Après Vienne et Sonnberg, il est désormais incarcéré à Hirtenberg. Vos courriers seront évidemment les bienvenus (avec si vous le pouvez un petit billet).

 

Monsieur Wolfgang Fröhlich

Justizanstalt Hirtenberg

Leobersdorferstraße 16

A-2552 Hirtenberg

(Autriche)

 

 

 

 

Bernard Pivot et les révisionnistes

 

      Courrier diffusé par Bocage concernant un mensonge de Bernard Pivot.

 

Lors d'un reportage sur la carrière de Bernard Pivot, hier vendredi [15 octobre], sur France V, celui-ci a tiré fierté de n'avoir jamais invité un révisionniste. Pourquoi? Parce que, même devant plusieurs contradicteurs, ils arrivaient toujours à avoir raison!!! L'explication de Pivot: Parce que plus c'est gros, plus c'est difficile à réfuter; comprenne qui pourra."

Nous ne perdrons pas notre temps à faire des recherches mais pouvons dire ceci:

- Bernard Pivot a bel et bien invité un révisionniste à son émission, et un révisionniste de taille: Maurice Bardèche.

Mais la vraie raison pour laquelle M. Pivot ne veut pas inviter de révisionniste - tout comme, d'ailleurs, Michel Polac, qui a dit un jour que la seule personne qu'il n'inviterait jamais c'est le Pr Faurisson... - c'est parce qu'il a peur de la réaction de la communauté juive.

En effet, au début des années 1980, il avait invité à son émission "Apostrophes" un ancien déporté de Buchenwald dont le nom nous échappe et, à un moment donné, le déporté en question a parlé de chambres à gaz dans ce camp.

C'est alors que Bernard Pivot, qui devait quand même connaître un peu le dossier, s'est écrié: "Mais il n'y a jamais eu de chambres à gaz à Buchenwald!"

C'était vrai, bien sûr, et c'était vrai officiellement depuis le 19 août 1960 à la suite de la parution dans "Die Zeit" d'une lettre de Martin Broszat, directeur de l'Institut d'histoire contemporaine de Munich, affirmant qu'il n'y avait pas eu de chambres à gaz d'exécution dans les camps allemands situés sur le territoire de l'Ancien Reich.

Mais Pivot aurait dû respecter la douleur de son invité... et laisser le public continuer de croire à ces chambres.

Bref, la LICRA n'a pas apprécié, s'est insurgée dans son organe de presse "Le Droit de vivre" contre un tel manque de goût, et Bernard Pivot a fini par rédiger piteusement une lettre d'excuses publiée dans ce mensuel.

 

 

 

 

Perderzoli mobilise le lobby pour asseoir ses mensonges

 

      Nous revenons sur le cas de Catherine Pederzoli, professeur d'histoire au Lycée Henri Loritz de Nancy suspendue pour 4 mois par son administration. Rappelons les propos du syndicat SNPDEN à son sujet : « Il est évidemment de l'intérêt de Mme Pederzoli de le laisser croire [que sa suspension aurait été due au fait qu'elle enseignait la Shoah], car les poursuites disciplinaires dont elle est l'objet sont consécutives à des manquements graves et volontaires dont rien de moins qu'une falsification de documents officiels ».

      La communauté juive a néanmoins organisé une manifestation de soutien à cette enseignante qui a eu lieu à Paris le dimanche 10 octobre. Voici un intéressant article au sujet de Mme Pederzoli qui démontre que la résistance au lavage de cerveau est plus forte que l'on ne croit.


Quand l’Education Nationale et des syndicats d’enseignants se font complices du négationnisme [sic]


Beaucoup d’émotion et d’indignation autour de Catherine Pederzoli lors de la manifestation de soutien organisée pour elle à Paris, à deux pas du ministère de l’Education Nationale. Et on apprend qu’elle n’est pas le seul professeur, principal ou proviseur à avoir des ennuis graves pour avoir enseigné ou laissé enseigner la Shoah, dans le respect des programmes scolaires. (...)

Et on se rend compte qu’elle n’est pas la seule dans ce cas. (...)

Il y a plus de 20 cas répertoriés actuellement. Mais généralement les victimes sont isolées et ne savent à qui s’adresser. Il faut dire que des syndicats d’enseignants, loin de soutenir ces enseignants, s’y mettent aussi.

(...)

Diverses personnalités étaient présentes lors de la manifestation à Paris pour soutenir cette enseignante et tous ceux qui se retrouvent broyés par une machine insidieuse qui se fait complice du négationnisme [sic]. (...)

 

 

 

Et pour finir en dessin...

 

http://img186.imageshack.us/img186/7295/chardrevisionniste.jpg

 

Dessin de Chard extrait de 20 ans de malheur.




Hommes, sites, partis et journaux évoqués dans ce numéro :

 

-Les dessins de Chard : <dessinsdechard.free.fr>

-La librairie de Pedro Varela : <www.libreriaeuropa.es>

-L'hebdomadaire Rivarol: <www.rivarol.com>

-Le mensuel Droite Ligne : <http://droite-ligne.fr/>

-Les éditions Akribeia : <www.akribeia.fr>

-Le site de l’Institut Adelaïde : <http://adelaideinstitute.org/Dissenters/frohlich.htm>

-La pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard : <http://abrogeonslaloigayssot.blogspot.com>

-Le Comité de soutien à Vincent Reynouard : <csvr.wordpress.com>

-Le blogue non officiel de Robert Faurisson : <robertfaurisson.blogspot.com>

-Le site de Claudio Moffa : <www.claudiomoffa.it/>

-Zvedavec, site de Vladimir Stwora : <http://www.zvedavec.org/>

-Front national : <http://www.frontnational.com/>

-Parti de la France : <http://www.parti-de-la-france.fr/>

-Terre et Peuple : <http://www.terreetpeuple.com/>

-Site Semper Fidelis : <http://semperfidelis.over-blog.fr>

-Le site du VHO : <http://www.vho.org>

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 14:14

Chaque mois, le journal Militant propose un article extrait de son dernier numéro. Nous le relayons en encourageant ceux qui le peuvent à s'abonner pour soutenir ce journal qui n'a jamais dévié. Voici Le Terrorisme en France, écrit par Bruno Viala, Militant, n°623, 20 octobre 2010.



      Nous ne reviendrons pas ici sur les divers enlèvements plus ou moins tragiques perpétrés depuis de longues années par des extrémistes fanatiques d'obédience musulmane ainsi que par les explosions meurtrières, elles aussi provoquées la plupart du temps par des obsédés de "guerre sainte".

      A l'heure actuelle, les services de renseignement occidentaux sont plus que jamais en éveil, ce qui est rassurant pour les populations menacées mais les dangers d'attentats dont les media nous rebattent les oreilles, jour après jour, représentent-t-ils tous une certitude matérielle ?
      En ce qui concerne la France, il nous est permis d'en douter, non pas en niant l'authenticité des renseignements collectés par nos propres agents mais en notant la volonté délibérée de l'actuel gouvernement de détourner souvent l'attention de la population des difficultés économiques et sociales qu'elle éprouve.
      Monsieur Hortefeux se montre expert en la matière et sa présence sous les voutes de la Tour Eiffel soi-disant menacée nous a laissé songeurs.

      L'actuelle clique qui entoure le sieur Sarkozy étant plus ou moins recommandable, il est certain qu'en matière de "terrorisme intellectuel" elle a déjà fait largement ses preuves.

      Il fut un temps où l'on claironnait à tout-va l'imminence d'un débordement "nazi" et où Le Pen, ce tribun authentiquement breton, passait pour un fils spirituel de Hitler.

      Fatalement, la bombe qui explosa devant la synagogue de la rue Copernic et qui causa, selon l'expression même de monsieur Raymond Barre, la mort de citoyens français qui n'étaient pas juifs, fut imputée à un groupuscule qui "sentait le fagot hitlérien".

      Certes, ce n'était un fait du lepénisme, c'était celui d'un de ses frères.
      Il s'est trouvé alors qu'il était bien le fait, ce crime meurtrier, d'un Pakistanais depuis lors devenu professeur d'université au Canada où il se trouve quasiment "intouchable", voire "invulnérable".

      A cela, on pourrait nous répondre que l'Italie a connu en son temps un terrorisme meurtrier perpétré par l'extrême droite.
      Nous rétorquons que c'était le fait de ''fascistes anarchisants” et que ce genre là se reproduit un peu partout en Europe à des époques données et pour des motivations diverses suivant les nations visées.

      La vérité fondamentale, celle-là moins visible, c'est qu'en France règne une sorte de terrorisme intellectuel qui n'est pas meurtrier mais qui étouffe toutes les velléités de "self-défense" émises par les opinions anti politiciennes.

      Nier les affirmations régimistes en ce qui concerne certains faits historiques déclenche immédiatement des poursuites et des persécutions destinées à terrasser les contestataires.

      Alors, de nombreuses personnalités françaises se voient présentées comme d'abominables individus.
      On leur coupe les vivres, on les traque, on les emprisonne.
      Ce terrorisme-là, lui, est authentique puisqu'il interdit la liberté d'expression.

      Bref, s'il est bien de nous présenter tous les jours à la TV les photographies de deux malheureux journalistes retenus prisonniers en Afghanistan, il serait aussi souhaitable de libérer certains Français, honnêtes citoyens, emprisonnés pour avoir exprimé ce qu'ils pensaient mais qui ne correspond pas au "credo" des terroristes politiciens fanatiques qui nous gouvernent.


Bruno Viala.

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 08:14

      Au début de cet été 2010, le Parti National Radical (PNR) frappait un grand coup par la diffusion dans les kiosques de son organe de presse Le National Radical, titré ni plus ni moins : LES JUIFS QUI DOMINENT LA FRANCE.

 

      Avec une couverture où un drapeau - ressemblant à s’y méprendre à celui d’Israël, plantait la carte de France en son centre, le National confirmait bien aux yeux de l’intelligentsia servile, son épithète de radical. Il ne s’agissait pourtant pas d’un article intitulé « Les Juifs dominent la France » mais bien d’une liste de personnalités mosaïques qui comptent comme on dit machinalement (de surcroît reprise d’une même liste circulant librement sur Internet). Certes, comme le fait remarqué fort à propos la LIC(R)A, le titre était écrit avec « des lettres de 1,5 cm de longueur » !

 

      Les autres titres en « une » étant :

-A Paris, Monseigneur XXIII dialogue avec des matraques,

-Répression au PNR : quand « Actualités Juives » demande, l'État exécute !

-Les sans-papiers, lettre ouverte aux médias,

-Quand le « Bloc Identitaire » fait allégeance aux maîtres du monde,

-Hervé de Charette serait-il antisioniste ?

-Internet placé sous contrôle de la police de la pensée

 

      Le sang et le portefeuille des ligues de vertu n’ont bien entendu fait qu’un minuscule petit tour (la LIC(R)A fournit la preuve d’achat d’un exemplaire du magazine daté du 19 juin dans un kiosque grenoblois sis place de l'Étoile -décidément). C’est ainsi qu’une campagne d’agitation est lancée sous l’influence de l’UEJF (Union des Étudiants Juifs de France) et l’AIPJ (J’accuse ! Action internationale pour la justice).

 

      Est ainsi rendu le 12 juillet 2010 un premier jugement du tribunal de grande instance de Paris suite à l’audience du 7 juillet présidée par Joël BOYER. Le ministère public étant représenté par la vice-procureure Pauline CABY.

-Maurice MARTINET et le PNR sont condamnés in solidum à payer au titre de l’article 700, 1 500 euros à l’UEJF et 1 500 à l’AIPJ.

-Marc KNOBEL se voit allouer 500 euros tandis que les autres intervenants volontaires : LIC(R)A, LDH et MRAP ne percevront rien pour ce coup)

-le numéro est retiré de la vente sous astreinte de 50 euros par exemplaire à compter du 15 juillet (cette date a été fournie en urgence, deux heures après le jugement, par ordonnance rectificative, la première étant établie au 15 août).

 

      Le 10 août, le PNR et son Président, Maurice MARTINET, se voient destinataires d’une plainte pénale en citation directe près le tribunal correctionnel de Grenoble par la LIC(R)A pour provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence au titre de la loi de l’article 24 alinéa 8 de la loi sur la liberté de la presse [sic] du 29 juillet 1881 modifiée par la très usitée et très juteuse loi Fabius/Gayssot/Rocard du 13 juillet 1990.

 

      Dans cette dernière requête, le plaignant supprime sous la forme de trois points de suspension, les titres de « une » du journal ne désignant, semble-t-il, pas assez les juifs ou leurs expressions (c’est donc le cas pour le titre sur les sans-papiers et la police de la pensée sur Internet). De plus, il souligne en caractères gras les propos suivants (pourtant attribués à une certaine Lawrence AUSTER) :

      « Ceux-ci s’acharnent à faire passer leurs ennemis, au mieux pour des imbéciles et de dangereux malades »

      « Les membres d’un réseau virtuel […] au service d’un objectif commun. »

      « leur politique de destruction des peuples européens »

      « TOUS LES MOYENS SONT BONS »

      « aide beaucoup à faire avancer les choses lorsque l’interlocuteur est lui-même juif »

      mais aussi

      « la censure », « aux lois d’exception pour faire taire », « le matraquage de la part de leurs nervis », « tenant les rênes du pouvoir », « génie réside dans la manipulation », « solidarité tribale. Ils ne sont forts que par l’affaiblissement des autres », « d’une propagande massive et omniprésente », « la "shoah", leur épée et leur bouclier », « les mêmes procédés déloyaux », « qu’ils ne tarderont à leur demander des comptes » et enfin, « à commander à PNR - BP 11 - 03360 Ainay le Château », « Les Protocoles des Sages de Sion »,

 

      La partie demanderesse insistant alors sur « l’extrême dangerosité de pareil "journal" qui pourrait entrainer un "sentiment de frustration", puis d’hostilité voire de réaction violente » chez le lecteur.

Frustration pouvant être ainsi provoquée à lecture de l’affiche suivante : « BRUEL Patrick (né BENGUIGUI), chanteur, acteur et joueur de poker professionnel. A choisi d’effectuer son service militaire en Israël ». Comble de l’antisémitisme est « cité entre "BREITMANN Zabou" et "BRUNI Carla" » ! La référence à sa profession de joueur de poker faisant « reproche lié aux notions de jeu et d’argent... »

 

      La LIC(R)A représentée par Maître DERRIDA parlant ussi d’accusation permanente de « solidarité communautaire ».

 

      Par ailleurs, les reproches de la LIC(R)A contre le journal du PNR ne s’arrêtent pas là puisqu’outre, prêter des origines juives à Carla BRUNI, femme du Président de la République française en exercice, il s’attaque également à Actualités Juives ou encore Bernard KOUCHNER en tant que « responsable de l’expulsion (parfois accompagnée de massacre) de plus de 150 000 Serbes de leur pays d’origine » etc.

 

      Certainement pour aider Monsieur MARTINET (et son parti), à surmonter le mal qui semble les ronger, la LIC(R)A réclame 20 000 euros de dommages et intérêts et 3 000 pour les frais irrépétibles.

 

      23 000 euros donc auxquels s’ajouteraient :

-les frais de publication du jugement dans trois organes de presse nationaux (à concurrence de 1500 euros par insertion – Fichtre !)

-ainsi que les frais de publication du même jugement dans le Dauphiné libéré (ça leur fera plaisir).

-et last but not least, les frais de procédure incluant les émoluments des différents avocats intervenant (qui ne seront certainement pas soldés pour l’occasion).

 

      Le 18 octobre le procureur requérait 100 jours amende à 50 euros (soit un total de 5 000 euros) contre Monsieur MARTINET en attente du jugement.


http://img831.imageshack.us/img831/7234/censurepnrjuifs.jpg

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17 octobre 2010 7 17 /10 /octobre /2010 11:11

      Robert Badinter était l’invité de Nicolas Poincaré sur France Info le jeudi 14 octobre 2010, à l’occasion des 13e Rendez-vous de l’histoire à Blois ce dimanche, manifestation présidée par l’ancien ministre de la Justice.

      Interrogé par Nicolas Poincaré qui s’affirme « s’intéresser beaucoup » à la question de la loi Gayssot, Robert Badinter se prononce contre les « lois compassionnelles » et affirme que ces lois sont anticonstitutionnelles.

 

 

N. Poincaré :

      Juste un mot sur une question qui m’intéresse moi, et dont vous ne parlerez peut-être pas dimanche à Blois mais qui m’intéresse beaucoup, c’est lorsque la loi essaye de faire l’histoire je pense aux lois mémorielles ou à la loi Gayssot qui punit le révisionnisme ?



R. Badinter :

     
C’est un aspect très intéressant de l’époque récente. Ma position est très claire, très claire : le Parlement n’a pas à dire l’histoire. Le parlement fait l’histoire, il n’a pas à la dire, ni à la fixer. Les lois mémorielles, que j’appelle des lois compassionnelles, qui sont faites pour panser des blessures, apaiser des douleurs - et je comprends ça parfaitement - mais elles n’ont pas leur place dans l’arsenal législatif. La loi est une norme. La loi a pour fonction de règlementer une société de prévoir son avenir. Elle n’a pas à prendre parti dans une querelle historique ou tout simplement à affirmer un fait historique même indiscutable. J’ajoute, il faut bien le prendre en compte : la Constitution ne le permet pas. Je le dis clairement, elle ne le permet pas.
      La loi en France n'est pas comme en Angleterre, le Parlement ne peut pas tout dire. Le Parlement a une compétence d’attribution, et rien ne permet au regard de la constitution au législateur de s’ériger en tribunal de l’histoire. Rien.
      Par conséquent je comprends très bien les passions et le désir des élus de panser les blessures et de faire des lois compassionnelles : ça n’est pas la finalité du Parlement et constitutionnellement c’est hors de la compétence du Parlement.




[lien vidéo si celle-ci n'apparaît pas]



      Vincent Reynouard est actuellement incarcéré pour un an de prison à cause d'une loi qui anticonstitutionnelle. L'ingénieur chimiste est donc détenu illégalement, depuis 100 jours aujourd'hui, dans les prisons de la République.


      Cette position n'est certes pas celle de tous les hommes de droit. Certains jusqu'au-boutistes exterminationnistes ou partisan de la censure prétendent en effet que la Loi Fabius-Gayssot est constitutionnelle (1). Mais avec l'appui de Robert Badinter, plus personne ne devrait pouvoir être condamné en vertu de la loi Gayssot : le prochain justiciable pourra porter une question prioritaire de constitutionnalité devant le Conseil constitutionnel - si jamais la juridiction concernée fais preuve de courage et d'honnêteté. (2) Ce dernier ne pourra que dénoncer cette loi anticonstitutionnelle qui viole clairement les droits et libertés que la Constitution garantit avec l'appui des déclarations sans ambiguïtés de Robert Badinter, docteur en droit et ancien président du Conseil constitutionnel.



(1) C'est le cas du objectif site PHDN (Pratique de l'Histoire et dévoilements négationnistes [sic])  qui présente deux textes sur la question. L'objectivité de ce site ne pouvant être mise en cause, ils devraient très prochainement les retirer où les nuancer par les propos de l'ancien président du Conseil constitutionnel d'une portée autrement importante.

(2) Au début de l’année, une cour de cassation a refusé de transmettre une question de constitutionnalité au Conseil constitutionnel dans un arrêt aberrant, la cour, présidée par M. Lamanda, estimant que « la question posée ne présente pas un caractère sérieux dans la mesure où l'incrimination critiquée se réfère à des textes régulièrement introduits en droit interne, définissant de façon claire et précise l'infraction de contestation de l'existence d'un ou plusieurs crimes contre l'humanité [...] infraction dont la répression, dès lors, ne porte pas atteinte aux principes constitutionnels de liberté d'expression et d'opinion ».

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13 octobre 2010 3 13 /10 /octobre /2010 14:14

Deux personnes âgées lourdement condamnée en Allemagne pour révisionnisme

 

      Pour avoir nié la "shoah", une femme de 81 ans a écopé de six mois de prison et 1000 euros d'amende. Ursula Haverbeck, ancienne dirigeante d'un petit cercle de pensée, le Philosophical Society Humanum Collegium (interdit en 2008), avait diffusé ses opinions devant une école. Son "complice", un homme nonagénaire a été condamné à 600 euros d'amende.

      Le jugement a été rendu le mercredi 6 octobre par un tribunal de Munich.

 

 

 

 

Lourde condamnation pour le jeune révisionniste Dick Zimmermann

 

      Suite à notre article sur la condamnation de Dick Zimmermann, voici des précisions. Le jeune ingénieur allemand Dirk Zimmermann s’était accusé d’avoir envoyé l’ouvrage de l’ingénieur chimiste Germar Rudolf Vorlesungen über den Holocaust (Leçons sur l’Holocauste) à trois membres de sa communauté : un prêtre, un pasteur et le bourgmestre de sa commune. Pour ce livre, Germar Rudolf avait lui-même été condamné à une très lourde peine : deux ans et demi de prison. Dick Zimmermann devait être jugé le 20 septembre. Son avocat a obtenu que les jurés lisent ce livre avant de condamner le jeune révisionniste allemand. Le jugement en appel a été rendu le 7 octobre et a confirmé le  jugement de première instance : Dick Zimmermann a écopé de 9 mois de prison ferme.

      La défense a insisté sur un questionnement : pourquoi la "Shoah" est considérée comme « de notoriété publique » - c’est à dire sans qu’aucune preuve ne doive être amené devant les tribunaux – alors que les condamnations se multiplient contre des gens qui en nient ou en relativisent l’existence.

      Le procureur a nié que le jeune père de famille avait voulu interroger ses concitoyens. Il a estimé qu’il voulait par ces trois envois diffuser les théories révisionnistes. Le président du tribunal s’est borné a rappelé le paragraphe 3 de l'article 130 du Code pénal interdisant « à toute personne d'approuver, nier ou minimiser publiquement ou en réunion d'une manière propre à nuire à la paix publique toute action commise sous le national-socialisme selon la définition donnée par l'article ».

      Dirk Zimmermann devrait déposer une demande de révision du jugement (procédure comparable à la cassation en France).

 

 

 

 

La justice s’acharne sur Wolfgang Fröhlich, condamné à deux ans de prison supplémentaires

 

      L’ancien responsable et élu du FPÖ Wolfgang Fröhlich purge actuellement une peine de six ans de prison pour ses activités révisionnistes. Il a été condamné la semaine dernière par la cour d’assises de la capitale autrichienne à deux ans de prison supplémentaires.

      Il est reproché à l'ingénieur chimiste spécialiste des questions de désinfection, incarcéré depuis janvier 2008, d'avoir envoyé depuis sa cellule des lettres à diverses personnalités (le cardinal-archevêque de Vienne Christoph Schönborn, la présidente sociale-démocrate du Parlement Barbara Prammer, ou au Parquet général). La teneur exacte des lettres n’est pas connue. Leur contenu a été jugé révisionniste  par les juges. En état de récidive, Wolfgang Fröhlich a écopé de deux années de prison supplémentaires.

 

 

 

 

Union "européenne" totalitaire : le révisionnisme condamné dans tous les pays au 1er janvier

 

      Le révisionniste marocain Ahmed Rami – lui-même déjà incarcéré pour révisionnisme a traduit un article du magazine en ligne National-radical publié le 3 octobre 2010 :

 

 L'Union européenne interdit toute "négation de l'Holocauste"!

 

A la fin de cette année, dans l'Union européenne, vous serez condamné à aller en prison si vous "niez l'Holocauste".

La note qui suit est publiée sur le site officiel "Mémoire de l'Holocauste" du commissaire de la justice et des affaires intérieures de l'Union européenne, Jacques Barrot, à la date du 27 janvier 2010:

"Il est inacceptable de nier ou de minimiser l'histoire établie du génocide nazi des juifs. (...). A la fin de cette année, les Etats membres de l'UE seront obligés de mettre en pratique la décision-cadre tant attendue sur le racisme et la xénophobie. Soixante-cinq ans après la libération des camps de la mort, nous pouvons être fiers de cette législation de l'UE qui fait de la négation de la Shoah [en hébreu pour "Holocauste"] un crime dans tous les Etats membres."

Le déni de ce qu'on appelle "l'Holocauste" est déjà interdit dans plusieurs pays européens. Mais à présent l'UE veut imposer à "tous les États membres" la criminalisation de la contestation de cet événement prétendu mais jamais prouvé.

Au cours de ces dernières années, des érudits et des militants révisionnistes ont été condamnés à la prison pour avoir douté de la version officielle de "l'Holocauste". Parmi ces révisionnistes:

- Wolfgang Fröhlich (Autriche) - 6 ans de prison.

- Germar Rudolf - a passé un total de 44 mois de prison en Allemagne.

- Ernst Zundel - a passé un total de sept ans de prison aux Etats-Unis, au Canada et en Allemagne.

- Sylvia Stolz (Allemagne) - condamnée à trois ans et trois mois d'emprisonnement.

- Gerd Honsik (Autriche) - condamné à cinq ans de prison (réduits par la suite à 4 ans) [auxquels s'ajoute une nouvelle peine de 2 ans - Ndlr].

- Vincent Reynouard (France) - condamné à un an d'emprisonnement.

- Horst Mahler (Allemagne) - condamné à 13 ans de prison.

Quand il s'agit de l'Holocauste Amnesty International n'a jamais contesté l'emprisonnement de ces dissidents.

 

http://img836.imageshack.us/img836/1516/nationellnu2.jpg

 

 

 

 

Carlos Porter propose des traductions d’écrits de Vincent Reynouard

 

       Certains travaux de Vincent Reynouard ont été traduit par Carlos Porter est lui même auteur d’ouvrages sur la Seconde Guerre mondiale.

       Ils sont disponibles sur le site de Carlos Porter. Il faut dérouler la page jusqu’à « Vincent Reynouard on the Gestapo new » (disponible en français ici : sur le forum Stormfront).

 

 

 

 

Une lettre de Vincent Reynouard

 

      Le site du Comité de soutien à Vincent Reynouard a publié les extraits d’une lettre de Vincent Reynouard, emprisonné depuis trois mois.

 

 

 

 

L’INALCO contre le révisionnisme

 

       L'INALCO (Institut national des langues et civilisations orientales - plus communément appelé « Langues’O ») exige à partir de cette année de ses inscrits la signature d'une charte. Le point n°5, intitulé « Protection des droits de la personne » exige qu’ils s'engagent à ne pas diffuser par le moyen des ressources informatiques de la maison des messages à caractère raciste, xénophobe ou révisionniste.

 

 

 

Le Mythe de l’holocauste de Jürgen Graf interdit en Serbie

 

       La Cour suprême de Belgrade a prononcé l’interdiction de la diffusion du livre de Jürgen Graf Der Holocaust Schwindel (Le Mythe de l’Holocauste). Tous les exemplaires du livre seront saisis.

       Les juges ont considéré que l’ouvrage, en revoyant le nombre de Juifs morts durant la Seconde Guerre mondiale constituait une incitation à la discrimination, à l'animosité et à la violence contre les Juifs. Poursuivi à de nombreuses reprises, Jürgen Graf est actuellement en exil en Russie.

 

 

 

 

Claudio Moffa victime d’un lynchage médiatique en Italie

 

       Le professeur Claudio Moffa enseigne les relations internationales à l’université de Teramo, dans les Abruzzes. Sa position critique vis-à-vis d’Israël lui vaut depuis plusieurs années d’être l’objet de la haine des représentants de la communauté juive locale et "nationale". Ils exigent son licenciement de l’université après un nouveau cours : « la "shoah" : entre histoire et politique ». Il y rappelle le rôle de la "shoah" dans la naissance de l'État d’Israël. Il aurait fait part de doute quand à l’existence de chambres à gaz homicides dans l’Allemagne nationale-socialiste. Pire encore : à Benjamin Netanyahou, le professeur Motta préfère Mahmoud Ahmadinejad.

       Face à la tempête organisée conjointement par les médiats et le Lobby, Claudio Moffa a reçu divers soutiens : outre le secrétaire régional de Forza Nuova de Teramo, Marco Forconi, (ui a exigé la libération de la recherche historique), ses élèves ont apporté un vif soutien à Claudio Moffa. Les tenants de la pensée totalitaire lui reprochent d’avoir cité Robert Faurisson, Norman Finkelstein, Raoul Hillberg, Carlo Mattogno, Pierre Vidal-Naquet et bien d’autres. Une ouverture d’esprit intolérable.

 

 

 

 

 

 

Rappel : communiqué de la femme de Vincent Reynouard

 

       Les correspondants qui possèdent l'adresse personnelle de Marina, femme de Vincent Reynouard emprisonné depuis le 9 juillet, et qui très généreusement lui envoient de l'argent à l'intérieur de leur enveloppe sont priés de ne plus le faire car Marina s'est aperçue qu'un certain nombre de courriers censés contenir des billets arrivent vides...

       Elle nous prie de signaler que tout argent, en liquide ou en chèque (ce dernier libellé à l'ordre de "V R" uniquement), doit être envoyé à l'adresse parfaitement fiable de :

 

M. Urbain Cairat
Case postale 1528

CH-1820 Montreux

(Suisse)

 

       Merci pour elle !

 

 

 

 

Le Journal du dimanche évoque Vincent Reynouard

 

       Les grands médiat ont jusqu’ici passé sous silence l’incarcération de Vincent Reynouard, sauf essentiellement :

 

       -Pierre Assouline, dans "Le Monde des livres", avait pourtant démontré, le 16 septembre, que ce quotidien était bel et bien au courant de l'emprisonnement de Vincent puisque, dans un article intitulé « Beaucoup de bruit pour rien », il écrivait:

 

« Le linguiste Noam Chomsky cherche-t-il les coups en soutenant à nouveau un négationniste néonazi dont il ne sait rien, uniquement par opposition de principe à la loi Gayssot ? »

 

       -La Ligue de défense juive, de son côté, publiait le 4 octobre sur son site un article intitulé « FN: La dédiabolisation passe aussi par le coup de torchon », signé Jérome Boyer, dans lequel il était dit : « Depuis quelques semaines les milieux d'extrême droite se mobilisent pour la défense du révisionniste Vincent Raynouard [sic], condamné à la prison ferme pour ses écrits niant la Shoah » et, plus loin : « en faveur du sinistre Raynouard, par ailleurs auteur d'un livre prétendant réhabiliter la Gestapo. »

 

      A part cela : rien. Le Journal du dimanche (JDD) publiait dès samedi 9 sur son site un article intitulé « Le négationnisme est son métier », signé Arthur Nazaret [!]. Il s'agissait d'une très finie allusion au roman de science-fiction de Robert Merle La Mort est son métier consacré à un gardien de camp auquel des aveux avaient été extorqués après tortures.

 

      Cet article, fort long et dont le style ressemble étrangement à celui des journalistes du quotidien Libération, est un chef d'œuvre : il utilise pour définir Vincent toutes sortes d'expressions susceptibles de faire naître chez le lecteur une aversion pour le personnage (« le néo-nazi Vincent Reynouard », « Cet admirateur d'Hitler » (à 2 reprises), « expert en provocations », « raciste assumé » , « une petite main », « un hybride d'un genre nouveau »...), mais il réussit le tour de force de passer sous silence la raison même pour laquelle il a été "condamné au nom de la loi Gayssot"!

 

      Ne perdons pas notre temps à lire Arthur Nazaret mais dépêchons-nous de signer la pétition : http://abrogeonslaloigayssot.blogspot.com !

      Le CSVR a diffusé la réponse de Vincent Reynouard au papier du JDD.

 

 

 

Le dessin de la semaine :

 

http://img99.imageshack.us/img99/6927/037konkrevisionnismechi.jpg

Konk : Un climat de peur

 

 

 

 

Personnes ou institutions citées dans cette édition :

 

-La pétition pour l’abrogation de la loi Gayssot et la libération de Vincent Reynouard : <http://abrogeonslaloigayssot.blogspot.com>

-Le Comité de soutien à Vincent Reynouard : <csvr.wordpress.com>

-Le blogue non officiel de Robert Faurisson : <robertfaurisson.blogspot.com>

-Le site d'Ernst Zündel : <www.zundelsite.org>
-Les dessins de Chard : <dessinsdechard.free.fr>

-Le forum Stormfront : <http://www.stormfront.org>

-Le site de Carlos Porter : <www.cwporter.com/articles.htm>

-Le site de Germar Rudolf : </http://www.germarrudolf.com/> (via un "anonymiser"si le site est censuré dans votre pays)

-Le site d’Ahmed Rami <http://rami.tv/>

-Le magazine suédois National Radical en ligne : <http://www.nationell.nu/>

-Le site de Jürgen Graf : <http://juergen-graf.vho.org/> (via un anonymiser si censuré dans votre pays)

-Le site de Carlo Mattogno : <http://www.vho.org/Authors/Carlo_Mattogno.html> (via un "anonymiser" si censuré dans votre pays>)

-Le site de Claudio Moffa : <www.claudiomoffa.it/>

-Forza Nuova : <http://www.forzanuova.org/>

-Forza Nuova Terramo : <http://www.forzanuovaabruzzo.org/>

-Le mouvement politique FPÖ : <http://www.fpoe.at>

-Les dessins de Chard : <dessinsdechard.free.fr>

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 20:20

      Depuis 1000 jours, l'avocate Sylvia Stolz est en prison. Elle a été incarcérée le 14 janvier 2010. Elle a été condamnée à trois ans et demi de prison ferme avec l'interdiction durant cinq années d'exercer son métier d'avocat.

      Lors de sa comparution elle a fait courageusement face au tribunal. Elle n'a rien renié, ni de ses positions révisionnistes, ni de son engagement national-socialiste.


http://img835.imageshack.us/img835/4134/stolzsylviamalherhorst.jpg

Sylvia Stolz et Horst Mahler



      Devant ses juges, à la fin de sa dernière intervention, elle a interrogé le public présent :

 

« Qu'en pensez-vous ? Etes-vous Allemands ? L'Allemand est pour l'honneur et la fidélité. Pensez comme de vrais Allemands ! Personne ne peut dire que ce qui se passe dans cette cour est "honorable". Dans ce tribunal, la "justice" rendue l'est au nom du Talmud ! »

 

      Assurée que "la vérité vaincra", elle s’est tournée vers ses juges :

 

« Et vous, mes hauts et puissants juges, vous ne connaitrez plus la paix intérieure. Votre représentation du national-socialisme comme un système criminel. Vous êtes complices du lavage de cerveau et de l'avilissement du peuple allemand.... Adolf Hitler a justement reconnu le problème juif, leur pouvoir malfaisant à certains égards. Oui, je partage les valeurs du national-socialisme ! »

 

et a conclu :

 

« Si mes actions apportent un petit peu de lumière dans les heures sombres que traverse l'Allemagne, alors j'accepte de partir en prison. Je ne suis pas inquiète par les moqueries et les insultes de cet odieux tribunal et cet atroce gouvernement. Mes hauts et puissants juges : c'est vous que vous condamnez, pas moi ».

 

 




Comme pour Vincent Reynouard, les médiats se sont tus. L’ensemble de la classe politique s’est tue, à l’exception d’un homme : Bruno Gollnisch.



A la tribune du Parlement européen, il a déclaré :

 

 

Madame la Présidente, nous avons appris tout récemment l’incroyable condamnation à six années de prison de deux avocats allemands, M. Horst Mahler et Mme Sylvia Stolz.

 

Cette terrible condamnation est motivée par le fait que les intéressés expriment des points de vue dissidents de la version officielle quant à la réalité et l’étendue du drame concentrationnaire lors de la Deuxième Guerre mondiale.

 

Quoi que l’on pense de leurs opinions, il est extrêmement grave que, dans l’Union européenne, aujourd’hui, des citoyens, avocats de surcroît, soient condamnés à de telles peines pour avoir discuté un fait historique.

 

Il semble que dans l’Allemagne soi-disant démocratique d’aujourd’hui, il y ait toujours des juges pour museler la liberté d’expression, avec le même zèle que naguère dans l’Allemagne national-socialiste (Nazi) ou dans l’Allemagne communiste.

 

C’est aussi le cas, hélas, dans d’autres États de l’Union, dont la France. C’est insupportable, et c’est très grave.

 

 

 

http://img138.imageshack.us/img138/9677/chardeuropeoccupee2.jpg

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11 octobre 2010 1 11 /10 /octobre /2010 15:15

Œuvre du Joyeux Rebelle dédiée à Vincent Reynouard.




Liberté! Tant de fois a résonné ton nom
Par la bouche sincère ou la langue fourchue !
D'aucuns t'ont acclamée, vainqueurs par le canon,
D'autres t'ont suppliée en combattants déchus...


Comment donc Liberté avoir confiance en toi ?
Es-tu l'amie des uns et le bourreau des autres ?
Dois-je te maudire ou t'accueillir sous mon toit ?
Je ne crois pas devoir me faire ton apôtre.


Si c'est sous ton drapeau qu'ont vaincu les Lumières,
Assassinant un roi, ensanglantant la France,
Souffre que je préfère brûler ta bannière
Plutôt qu'être complice de tant de souffrances.


Aujourd'hui un héros croupit dans sa prison
Pour avoir osé croire en ton nom chaleureux;
Liberté d'opinion, tu n'es rien qu'un poison
Dont l'Histoire est victime en ces temps malheureux !


En ton nom Liberté, on salit nos couleurs,
Et l'Ajustice attend ceux qui par trop s'émeuvent !
Quelle est donc ta vertu, où donc est ton honneur
Si seuls les patriotes subissent tes épreuves ?


Si tu sers les puissants, si les puissants te servent,
Si "libre" et "mensonger" se côtoient sans un heurt,
Je suis bien trop loyal, bien trop faible est ma verve
Pour crier "Liberté, je suis ton serviteur !"



Ce poème est dédié à Vincent Reynouard, en témoignage de soutien et de profonde estime.

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10 octobre 2010 7 10 /10 /octobre /2010 15:15

Libre propos de Thomas Joly.



      René Galinier, septuagénaire qui s’est défendu contre deux Gitanes qui le cambriolaient en leur tirant dessus, croupit depuis le 5 août dans les geôles de la République, malgré trois demandes de remises en liberté notamment justifiées par le cancer dont il est atteint. Ses deux « victimes » sont sorties depuis longtemps de l’hôpital, l’une d’entre elles étant même repartie faire un court séjour « au pays » avant sûrement de revenir très bientôt en France pour nous enrichir de sa diversité.

 

      Vincent Reynouard, père de 8 enfants, goûte lui aussi, depuis le 19 août, à l’hospitalité de la prison républicaine, pour avoir enfreint la loi Gayssot qui interdit toute contestation ni même discussion n’allant pas dans le sens de la vérité officielle sur une période particulière de l’histoire de la 2nde Guerre mondiale ; autrement dit pour un délit d’opinion.

 

      Étonnamment, alors que les prisons sont sursaturées à tel point que les peines « alternatives » à la détention (bracelet électronique ou liberté sous contrôle judiciaire) sont très souvent accordées par de bienveillants magistrats à toutes sortes de crapules généralement exotiques, multirécidivistes, prédateurs sexuels compris, la plus grande sévérité frappe un vieil homme qui n’a fait qu’exercer son droit à la légitime-défense et un historien qui a une vision différente de la version officielle protégée par une loi scélérate interdisant d’en débattre.

 

      Si René Galinier dispose de soutiens relativement médiatisés - même des élus UMP s’y « risquent » - au sein de la « mouvance » nationale, un silence assourdissant entoure la scandaleuse incarcération de Vincent Reynouard. De la part des médias du Système, rien d’étonnant à ce qu’ils ne soient pas très à l’aise avec cette « victoire » judiciaire qui pourrait, si les Français en étaient largement informés, les interpeller sur cette surprenante sévérité pour délit d’opinion et susciter quelques interrogations sur le sujet litigieux ainsi que sur les objectifs réels d’une loi qui porte atteinte à la liberté d’expression aux pays des droits de l’homme. En revanche, les réactions sont assez timorées au sein de la droite nationale alors que la dénonciation de la loi Gayssot y rencontrait plutôt jusqu’alors un consensus généralisé. Pourtant, comme on ne demande pas aux partisans de la libération de René Galinier de justifier le canardage de Roms, il ne s’agit pas de soutenir les thèses « interdites » de Vincent Reynouard mais de s’opposer à la loi liberticide qui le condamne à de la prison ferme pour délit d’opinion. Mais l’illusoire recherche de respectabilité semble être passée par là et la grande mode chez certains est de donner le maximum de gages aux maîtres du temps pour espérer une hypothétique reconnaissance médiatique et électorale, quitte même à en rajouter et à hurler avec loups.

 

       Il faut pourtant voir dans ces deux injustices emblématiques une lourde offensive contre les défenses immunitaires du peuple français. Voici les deux objectifs du Système : d’une part, dissuader toute velléité de légitime-défense face l’insécurité liée à la colonisation migratoire de notre pays ; d’autre part, restreindre la liberté de penser et de s’exprimer en encadrant judiciairement celle-ci afin qu’aucun dogme établi ne puisse être mis en doute. Car aujourd’hui c’est la Shoah, demain ce seront l’immigration, l’avortement, l’homosexualité, l’islamisation, etc. qui ne pourront faire l’objet d’un avis autre que celui imposé par les kapos de la pensée unique sous peine d’être condamné et écroué. C’est déjà d’ailleurs plus ou moins le cas puisque ces différents sujets doivent généralement être traités avec la plus grande prudence sous peine de tomber sous le coup de la loi républicaine.

 

      La riposte doit donc être globale. A moins d’accepter la castration physique et mentale du peuple français.

 


      Thomas Joly.

(Source : Thomas Joly, « Galinier, Reynouard, même combat ! »)

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9 octobre 2010 6 09 /10 /octobre /2010 14:14

A plusieurs reprises, il nous a été demandé pourquoi nous privilégions sur ce site l’utilisation de l’orthographe « médiat(s) » plutôt que celle plus communément accepté de « media(um) » ou « média(s) ». En voici l’explication, tirée du premier numéro de La Vieille Taupe, revue publiée sous la direction de Pierre Guillaume.

 

 

http://img99.imageshack.us/img99/6522/mediatsok.jpg

 

 

      À l’instar de Bernard Notin dans son article « Le rôle des médiats dans la vassalisation nationale : omnipotence ou impuissance ? » la Vieille Taupe se range sous la bannière orthographique de R. Salmon, qui a expliqué dans « La communication médiatisée » (Revue des Sciences morales et politiques, n°1, 1986, pages 35 à 51), que plusieurs membres de l’Académie, à la commission du dictionnaire, recommandaient cette orthographe pour quatre raisons : la forme adjective est attestée depuis des siècles ; en devenant substantif, les règles de la langue sont respectées ; une utilisation correcte est possible au singulier et au pluriel ; tous les dérivés souhaitables existent ».

 

      La Vieille Taupe adoptera dorénavant cette graphie et rejettera la forme latine, le pluriel de medium, les media et sa francisation bâtarde : les médias. Elle invite tous ses amis à adopter fermement cette orthographe, à la fois pour des raisons de francophonie, et pour signifier discrètement notre solidarité avec Bernard Notin contre les censeurs. Cette graphie, qui finira par s’imposer, permettra de mesurer les progrès de l’influence de nos amis, et de la liberté, jusque dans les médiats, et permettra à la vieille taupe de reconnaître les siens.

 

      La Vieille Taupe, qui entend bien mettre au pas les médiats, a décidé de commencer par les affubler d’un t.

 

 

http://img833.imageshack.us/img833/2465/mdiatslibrespresselibre.jpg

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