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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 11:42
         Pour ceux qui en auraient encore douté, nous en sommes bien revenus aux heures les plus sombres de l’Ancien Testament, barbarie et primitivité en sont les parfums (aujourd’hui, on y ajoute une bonne dose d’hypocrisie), et, corollaire à ce phénomène, la loi du talion règne sur la planète.

         Dans cette nouvelle Babel mondialisée la confusion est maîtresse, et, exemple parmi tant d’autres, on y appelle justice ce qui est vengeance. Que l’on nous comprenne bien, nous n’avons aucune sympathie particulière pour Ben Laden ou Mouammar Kadhafi, mais les accuser et les exécuter (que l’on se souvienne du terrible Saddam Hussein et de ses armes de destruction massive) sans autre forme de procédure ressemble plus à un règlement de compte entre gangs ou tribus qu’à une réelle et équitable procédure de justice.

         Dans ce monde en déroute, on assume aussi que le crime est héréditaire, et l’on élimine donc sans autre état d’âme enfants ou petits enfants. Ce qui est à la fois absurde et dangereux : on ôte ainsi la possibilité d’une réparation ou d’une rédemption. Rappelons l’histoire du père Théophane Vénard qui fut martyrisé au Tonkin en 1861 par le roi Tu-Duc. Eh bien, ainsi que le père Vénard le savait, son martyr pour apporter la Foi aux Annamites ne fut pas vain, puisqu’aujourd’hui même, entre autres conséquences, parmi les descendants directs du roi Tu-Duc figurent en France un prêtre de la FSSPX et trois religieuses de la Tradition. Que se serait-il passé si l’entière famille du roi Tu-Duc avait été éradiquée ?

         A l’annonce de la mort de Ben Laden, les gens sont descendus dans la rue pour fêter l’événement, nous dit-on. On peut s’interroger sur ce que représente une telle manifestation. Le jour précédent Jean-Paul II avait été béatifié et l’on aurait pu s’attendre à ce que des foules en liesse, respectueuses et dignes, se rassemblent en divers points du globe, eh bien non. Elles sont en revanche descendues telles des regroupements d’individus hystériques et infantilisés pour célébrer le sang versé comme une victoire sportive. (Nous n’entrons pas ici dans la question de la validité du processus de béatification de Jean-Paul II, nous ne faisons que rapprocher deux événements médiatiques : la mort de Ben Laden, la béatification de Jean-Paul II).

         Le grand héros de tout ceci est, à la mode américaine, le métis Obama qu’on affuble à l’occasion des qualités et des vertus les plus éblouissantes – nul doute que cette marionnette qui favorise la sensiblerie va nous annoncer l’administration de quelques pilules particulièrement dures à digérer.

         Le monde est en complète décomposition, la chose s’accélère, ce n’est pas une question du poids des ans que chacun porte, on peut le constater chaque jour, et dans cette spirale infernale nous sommes bien loin de l’esprit de la chevalerie et des idéaux de l’Occident Chrétien.

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19 mars 2011 6 19 /03 /mars /2011 11:11

Un scandale ! (A prononcer avec l’accent de Georges Marchais)

 

Ou, pas d’alibi pour la Lybie.

 


         Deux pays européens semblent particulièrement déterminés à semer les graines d’une guerre aux conséquences imprévisibles en Lybie : la France et le Royaume Uni – les deux seuls pays européens directement gouvernés par des dirigeants appartenant à la tribu. A noter que leur acharnement et leur rage pour aller bombarder un pays qui est en train de régler ses affaires internes sont partagés par la même flopée de personnalités éminentes qui défendirent il y a peu le violeur pédophile Polansky.


         Nous n’avons aucune sympathie pour Khadafi, mais s’il fallait aller le bombarder et raser de près son pays, c’était après les attentats contre le vol d’Air Afrique et contre celui de Lockerby. Alors là, oui, il fallait que le poing de fer tombe sur lui pour le faire taire à tout jamais.

 

         Mais aujourd’hui, que l’on ne vienne pas nous raconter que l’intervention a pour but de défendre des « populations civiles » soumises à un tyran, car de ces populations jusqu’à ce jour on s’est toujours contrefoutus.


         Enfin, il faut s’y résoudre, spectateurs que nous sommes condamnés à être dans nos belles démocraties, voici une nouvelle aventure militaire aux buts obscurs qui s’annonce, et l’on ignorera certainement longtemps sinon à jamais les tractations entre nations qui permirent ce coup d’éclat prévu d’avance, puisque déjà hier nous avions la composition de la force de frappe aérienne qui allait être lancée contre l’Ignoble.


         Dans cette affaire, hormi ce qui précède, deux choses nous dérangent profondément : premièrement, que la diaspora se serve de nos soldats, de notre matériel militaire, et du nom de la France pour mener ses guerres  ; et, secondement, que sur cette terre on ne puisse plus être chez soi chez soi, que ce soit dans sa famille au sein de laquelle peuvent intervenir sous n’importe quel prétexte assistantes sociales, pyschologues et magistrats, pas plus que dans son propre pays, car enfin, ce qui se passe en Lybie regarde les Lybiens et seulement les Lybiens.

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14 mars 2011 1 14 /03 /mars /2011 11:11
         Nous vivons précisément en ce moment la fin de l’information. Non pas qu’elles furent toujours justes, glorieuses ou intéressantes – c’est bien le moins qu’on puisse dire – les informations, les nouvelles, qu’elles fussent rédigées dans des journaux ou des magazines, qu’elles sortent sous la forme de voix d’une petite boite nommée radio, ou, plus récemment, que ces voix accompagnent des images censées correspondre au même sujet, faisaient partie de la diète quotidienne de nos contemporains. On les absorbait, on les commentait, on se faisait une image du monde que l’on croyait ainsi connaître, et on se forgeait une opinion ferme et définitive jusqu’aux prochaines élections qu’un savant lavage de crâne allaient effacer dans la quinzaine les précédant.


         Les informations, c’était comme le petit noir sur le zinc le matin, avec ou sans croissant, c’était la baguette chaude qui sortait de la boulangerie sous le bras quand on a l’hiver les mains dans les poches, c’était le coup d’œil jeté sur la première page en s’engouffrant dans le métro, c’était le « Bonsoir, Chérie ! », le « T’as vu ? »


         Eh bien tout cela est fini, caduque, disparu. Maintenant, que ce soit pour la Côte d’Ivoire et sa double présidence, l’Egypte et sa révolte, la Lybie et sa guerre civile, le Japon et son tremblement de terre, c’est une photo de préférence « choc » ou un bref clip audiovisuel répété inlassablement, accompagnés d’un gros titre qui résume toute la situation et qui dit sans en avoir l’air ce qu’il faut en penser, auquels au mieux seront accolées deux ou trois phrases ânonnant le même propos sur le mode analogique. Puis suivra un « revivez les événements des dernières vingt-quatre heures » imbu d’autorité, où se côtoyeront déclarations, communiqués de presse, mises en garde, faits ou événements plus ou moins importants et plus ou moins liés à l’événement lui-même, ou même pas du tout.


         Voici donc la nouvelle diète, le nouveau régime sans sel et sans cholestérol, mais truffé d’hormones, pour les neurones du citoyen. On ne savait déjà pas grand-chose, on va en savoir encore moins.


         Loin des problématiques philosophiques pour décider s’il s’agit d’un bien ou d’un mal pour l’individu et la société, ce qui est certain c’est que le remodelage de l’information n’est pas le fruit du hasard, et que ce remodelage pose une question : Dans quel bois veulent-ils nous emmener ?

 

 

http://img688.imageshack.us/img688/3663/findumonden.jpg

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7 mars 2011 1 07 /03 /mars /2011 12:12
         Pourquoi nous aimons bien les films russes.

         Vivant loin de la métropole et n’ayant pas la télévision, mais appréciant de regarder un film récent de temps en temps, nous avons à prendre ce qui passe sur le marché – littéralement un marché, entre les fleurs et les marchandes des quatre saisons.

         De temps à autre, pour nous sortir des productions américaines, anglaises ou françaises, nous avons le plaisir de tomber sur un film russe – Quel changement de décor pour notre détente !


         Dans les films russes, nous avons affaire à des histoires d’hommes, des histoires humaines, des histoires de blancs vivant dans un monde occidental et chrétien, ils ne prient pas sur les écrans, mais il est possible d’imaginer que dans leur intimité… Il n’y a pas de noirs ou d’Arabes sur l’écran, et quand il y en a ils jouent les rôles d’hommes de main, de trafiquants, ou de terroristes – ce qui, faisons plaisir à nos ennemis, convient à notre vision simpliste du monde.


         Les films américains sont pour la plupart imbuvables, joués par quasi-exclusivement des membres de la tribu, produits et réalisés par des membres de la tribu, ils dépeignent un monde où la dépravation est la règle, dans lequel il n’y a aucune morale, où, quand il n’est pas noir, le gars sympa du films est systématiquement un membre de la tribu, bref, une constante redite. Ces productions affirment lourdement l’image d’un monde métissé sympathique où la divinité est le pognon, et où l’ambition est la réussite sociale à n’importe quel prix. A ce propos, les films britanniques sont encore pires et inregardables, on y voit quantités de noirs, parfaitement « assimilés » jouant des rôles de blancs, étant plus intelligents que les blancs, mieux adaptés qu’eux parce que ne possédant pas un lourd passif historique, prenant leurs places, au grand plaisir des blancs et surtout des blanches… Fatigant, fatigant…


         S’il vous plait, distributeurs et diffuseurs du monde entier : Donnez-nous des films russes !

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5 mars 2011 6 05 /03 /mars /2011 15:15
         La pièce est lamentable, les acteurs ne valent pas mieux.

        D’un côté un dépravé, John Galliano, qui fut longtemps la coqueluche des milieux à la mode, c’est dire s’il devait être dépravé – de l’autre, des morveux anonymes, des jeunes tarés qui ne savent que faire de leur temps et de leur vie, et qui fouillent dans la merde, histoire d’être célèbres un court instant, même anonymement, d’exister.


        On provoque un type complètement saoul à une terrasse de café, il ne sait plus ce qu’il dit, il balance des grossièretés sans savoir ce qui sort de sa bouche, où il va les chercher, et voilà, on ricane, et on en rajoute, le pochard est bonne fille, il donne la réplique. Et puis on appelle la rousse, qui, n’ayant pas d’automobiliste à terroriser à cette heure, rapplique le doigt sur la couture du pantalon car le crime est gravissime : le pochard qui peut à peine parler aurait proférer des (ou tout au moins, une) insultes antisémites !


        Patatrac, revoilà Hitler, l’holocauste et tout le reste, en un instant à une terrasse de café le soir, à Paris. Le pochard est embarqué, les jeunes sont contents, ils peuvent téléphoner à leurs potes, les vrais et les autres.


        Sans même savoir si les propos du pochard sont confirmés, avant enquête, l’employeur liquide le malencontreux, plus jamais ça ! Les média en rajoutent des pelletées de terre sur le moribond ; la presse anglaise, toujours aussi finaude et appartenant elle aussi aux potes, fouille dans les ordures et resort une vieille vidéo dans laquelle l’olibrius s’exhibe une nouvelle fois de façon peu glorieuse, on mélange un peu tout, les dates, les vrais propos et ceux qui n’ont jamais existé, on oublie les témoignages des témoins qui vont tous dans le même sens à affirmer qu’insulte antisémite il n’y a pas eu. Bref, en trois coups de cuiller à pot, l’affaire est liquidée, l’idole descendue de son piedestal au point même que les petites mains du site de son ancien employeur gomment toute référence à lui – Ah ça, l’Histoire, ils savent comment la traiter.

        Et pendant ce temps là, la pillule passe, elle est passée, tranquillement… l’exemple a été fait, un nouveau cran est passé. N’importe qui peut maintenant vous accuser de propos antisémite, sans preuve, et c’est le grand Bingo !... la vie dans une carafe dont on ne sortira plus.


        Et personne ne proteste, personne ne s’interroge ou s’inquiète de la chose… normal, c’est normal on vous dit. Il faut vous y faire, le silence, le silence sur toutes les lèvres on vous dit.

        Et bien entendu tout cela n’est pas bien grave, il peut y avoir pire, pour ceux qui auraient l’esprit tordu, ou l’esprit profiteur : « Tu vas me donner ça ou faire ça, ou je te dénonce pour injures antisémites, j’ai les témoins, tu vas voir c’est une jolie promenade… » Allons, allons, restons sérieux, rien de ce qui précède n’est possible, ni même envisageable.

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4 mars 2011 5 04 /03 /mars /2011 12:12

(Enfin, de la chose culturelle, artistique, littéraire… ce qui n’est déjà pas si mal)

 

         L’équivalent de Salut les copains, le magazine à la mode d’aujourd’hui Les Inrocks vient de publier un long article intitulé : « Faut-il publier tout Céline ? » L’article ne contient rien de fracassant, on y fait le tour de la question vue du côté des révoltés bon ton, et surtout vue « du bon côté », de celui du manche.

         Cet article révèle cependant une vérité évidente comme le soleil, tellement évidente qu’on n’y fait plus attention : à savoir qui est le véritable patron de la France.
         Citons :

 

         « De toute façon, Céline tombera dans le domaine public dans vingt ans et Gallimard pourra s'il le souhaite publier les pamphlets. "Sauf que s'ils étaient largement réédités, ils tomberaient immédiatement sous le coup de la loi de 1972 et pourraient être d'emblée censurés pour incitation à la haine raciale. Seulement si une association le demande...", précise Emmanuel Pierrat [Avocat, spécialiste de la censure en littérature] Qu'en pense Serge Klarsfeld, président des FFDJF ?


           "Je serai contre une publication des pamphlets. Si nous étions dans un monde pacifié, il n'y aurait pas de problèmes. Mais ces textes sont trop nocifs. Les republier serait dangereux." » 


         Et l’article de conclure juste après avec, on ne sait si c’est un certain humour ou une inconscience inquiétante : « Fin de la discussion ? »


         Parce que, Oui ! Eh bien, Oui ! Fin de la discussion. Que cinquante millions de personnes, que cent millions de personnes réclament la publication des pamphlets, ou le droit à cette publication, ne servirait à rien. Un seul homme en a déjà décidé, maître Klarsfeld, et la réponse est non ! Et il y en a encore et toujours qui viennent nous distraire de cette vérité en nous parlant des fameux Droits d’Auteur.

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1 mars 2011 2 01 /03 /mars /2011 16:16

         C’était dimanche dernier, jour de repos pour quelques exilés vivant sous les tropiques à 12 000 kms de la métropole.

         C’était la fin de l’après-midi, un ami m’avait convié à voir un film sur une cassette vidéo rapportée de France – cet ami a d’ailleurs la bonne idée d’acheter à bas prix de grandes quantités de cassettes vidéos sur les marchés aux puces de France, de se les faire expédier et de se constituer ainsi une impressionnante filmothèque des films de la France d’avant.

         La cassette contenait deux films. C’était le premier qui nous intéressait : La légion saute sur Kolwezi.


         Que dire du film si ce n’est que c’est un mauvais travail réalisé par le caméraman gauchiste Raoul Coutard – lequel travailla beaucoup avec Jean-Luc Godard à semer un peu de révolution sur les fauteuils en velours des cinémas et dans les coupes de champagne des festivals. Coutard essaya de traiter le sujet avec la manière et le recul de Pierre Schoendoerffer, mais ni le talent ni - sans même parler d’empathie - la compréhension de la chose militaire et humaine ne s’inventent. Ce visionnage avait un intérêt particulier pour nous deux, mon ami étant à Kolwezi à la période des faits, et nous connaissions tous deux des parents des hommes de la légion impliqués dans les combats.


         Perplexes après ce non-événement, nous laissâmes débuter le second film, un chef d’œuvre celui-là, intitulé : Les bidasses en folie. Inutile de préciser que nous mîmes fin au supplice au bout d’une dizaine de minutes.

         Cependant la leçon avait été grande. Ces deux films quasi contemporains – 1980 pour le premier traitant d’événements de 1978 ; 1971 pour le second – offraient un raccourci saisissant de l’histoire de France récente. Dans le premier, des gens travaillaient à créer des richesses et à développer des contrées, d’autres venaient et remplissaient leur mission au péril de leur vie pour venir les sauver des massacreurs, alors même que, loin de tout cela en France, et c’est le sujet du second film, des abrutis s’amusaient à ne rien respecter, à se laisser vivre, à profiter du labeur des générations passées, à tourner tout en dérision, et, disons le carrément, à détruire tout avec mépris.

         Trente à quarante ans après, que reste-t-il de tout cela. La mission sur Kolwezi est considérée par les états-majors du monde entier comme une opération modèle. La plupart de ceux qui y participèrent moururent dans d’étranges circonstances, ceux qui travaillaient à Kolwezi n’y sont plus, et il est permis de penser que les Katanguais sont maintenant en France. Mais et surtout, caprice du grand aiguillage historique, la France semble aujourd’hui principalement peuplée par les descendants des bidasses en folie – on peut se demander s’il faut s’en réjouir.

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22 février 2011 2 22 /02 /février /2011 11:11
         Le monde occidental pour le moins, observe comme un gigantesque troupeau de bovidés les événements qui se déroulent dans le bassin méditerranéen, et dans le monde musulman at large. Les journalistes et les politiques, si prompts à prendre la parole et à donner leur avis sur tout et n’importe quoi, comme le temps qu’il fait et qu’il fera, sont bien silencieux. Ils regardent… le spectacle serait-il un match de football, mais combien y a-t-il d’équipes sur le terrain, et d’arbitres ? On s’y perd, ou, comme le disait la célèbre chanson : « on nous cache tout, on nous dit rien ».


         Les populations concernées semblent prêtes à tout, à courir au sacrifice suprême, elles veulent renverser les pouvoirs en place… mais pour les remplacer par quoi ? Cela, on ne le dit pas… c’est le mystère contenu dans la boule de cristal. Des démocraties ? non, impossible de faire passer cette pilule après les échecs cuisants aujourd’hui démontrés. Un pouvoir militaire, transitoire ou non, qui jouerait les fusibles pour répondre aux besoins des princes de l’usure ? On ne rencontre pas tous les jours des « hommes de la situation », des Sadam Hussein, des grands dictateurs… Mais que veulent donc ces peuples exacerbés ?


         Un accès au mode de vie occidental, à la consommation effrénée, à la « liberté » chérie ? Ceux qui font partie des classes moyennes, et qui vivent des rêves qui leur sont propres, paraissent en grand nombre tenter de fuir les insurrections vers l’Europe. Alors quoi ?

         Eh bien, on peut gager raisonnablement qu’ils veulent un régime religieux, un régime basé sur les principes de leur foi, cela, tout cela, et rien d’autre.


         Et c’est bien cela qui fait la différence entre ces peuples perclus de foi au point d’en souffrir – nous ne discuterons pas ici de savoir si cette foi n’est qu’une idolâtrie – et les nôtres, laminés depuis plus de deux siècles par les tenants des lumières et les ennemis de la calotte. Nos peuples n’ont plus de foi, ils n’ont plus d’aspiration supérieure, plus de référence au surnaturel, au divin… ils ne sont prêts à mourir pour rien, et sont résignés à vivre un enfer matériel jusqu’à leur trépas. Voilà le constat, et voilà bien la situation à laquelle il faudra faire face lorsque ces régimes musulmans seront solidement établis, et que, disposant déjà de cinquièmes colonnes bien en place grâce au laxisme de nos gouvernants, ils commenceront à regarder autour d’eux pour chercher où s’étendre.

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15 février 2011 2 15 /02 /février /2011 14:14

         La fille aînée de l’Eglise est à terre, gémissante, quelques Français se tiennent encore fièrement debout, d’autres encore ont le genou déjà posé sur le sol ancestral. Ce n’est pas assez, il faut l’abattre, il faut abattre tout ce qui bouge encore, tout ce qui résiste. Il faut traîner la France dans la boue, lui faire perdre ses valeurs, le sens de sa mission, aussi bien dans les consciences nationales que sur la scène extérieure. et dans cette poursuite, tout moyen est bon.

         Et cela passe souvent par des petites choses, des choses à peine remarquables, tout juste acceptables.


         On nomme par exemple pour ministre de la culture de la France un individu qui n’est qu’un sinistre pédomaniaque, une caricature de grande folle, et on lui fait, à ce ministre, baisser son froc publiquement au moindre claquement de doigt d’un avocat d’origine étrangère. Ce n’est pas grand-chose, mais ça marque. Ca donne l’exemple, ça met la barre très haut tout ça pour les Français qui regardent.

         Prenons les affaires judiciaires internationales, la grande spécialité de la politique étrangère de la France du jour, faire libérer des criminels pas vraiment Français « injustement » condamnés à l’étranger, pour mémoire : Polansky juif américain poursuivi pour viol sur mineure, Battisti, Italien (peut-être juif), auteur de quatre assassinats criminels reconnus et autres babioles, et dernière en date, une femme directement impliquée dans plusieurs enlèvements et trafics douteux au Mexique (on murmure qu’elle serait juive).


         Il est évident qu’à l’étranger, dans ces affaires, la France se ridiculise et que l’on se bidonne dans les chancelleries, sur le dos des Français qui n’y comprennent plus rien. Ce sont des criminels et on leur dit que ce sont des héros. Pour les sauver, la France est prête à tout ! elle serait même prête à entrer en guerre si cela se faisait encore.

         On fait libérer des ordures à l’étranger, et on laisse courrir les délinquants, violeurs, meurtriers, escrocs, politiciens véreux, trafiquants, en France ; Que se passe-t-il ? Il doit bien y avoir une raison, il doit bien y aller de l’intérêt supérieur du pays se disent les électeurs… Eh bien, non, c’est tout juste le petit et constant travail de sape : vous ne valez rien, Français ; vous ne comprenez rien, Français ; on fait de vous ce qu’on veut, Français.


         Ce sont des petites choses que toutes ces souillures, que toutes ces confusions, que toutes ces bassesses publiques, ces humiliations, mais ce sont des choses qui marquent profondément et durablement un inconscient collectif. Le gouvernement du jour s'y emploie à merveille.

 




[Sed Contra propose sur "l'affaire Cassez" un important dossier [pdf|350 Ko] qui comporte les témoignages accablants des victimes contre Florence Cassez, que l'ensemble des députés vient d'oser soutenir comme "innocente"]
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6 février 2011 7 06 /02 /février /2011 09:09
         Combien faudra-t-il de Laëtitia, d’Anne-Lorraine,… Oui, combien en faudra-t-il, pour qu’enfin des mesures simples et efficaces soient mises en place.


         Ceux qui commettent ces crimes de sang sont des monstres, ils n’ont d’humain que l’apparence – leur degré de responsabilité ? La belle affaire pour détourner les yeux des vrais coupables. Car les vrais coupables ce sont les magistrats qui relâchent ces monstres qui n’ont en tête, une fois relâchés, que de recommencer. Oui, les pires ennemis de la France d’aujourd’hui, ce ne sont pas les musulmans, les nègres, les communistes, les hébreux, les politiques qui sucent le pays, ce sont les magistrats, ces  individus immondes qui se drapent dans leur hautaine dignité de drap noir tout en vivant aux crochets du peuple qu’il détruise chaque fois que l’occasion leur en est donnée.


         Il conviendrait urgemment de rendre les magistrats responsables de leurs décisions. On pourrait envisager une peine liée à pareille « erreur » (car livrer une victime innocente à un monstre, c’est bien une erreur de procédure, d’appréciation, de formalité, n’est-ce pas). Nous ne sommes pas méchants, nous ne demandons pas que le magistrat qui aurait commis l’erreur de libérer un fou sanguinaire doive assister à l’étanglement de l’un de ses enfants puis à son dépeçage, ou à sa lacération de dizaines de coups de couteau de boucher… non, nous ne sommes pas méchants. En revanche on pourrait envisager une parité de peine comme, par exemple, la pendaison immédiate du coupable et du magistrat qui l’a remis en liberté.


         Au lieu de ça, ne voulant pas céder le moindre iota de leur pouvoir de bourreau, ces messieurs et dames magistrats ont décidé de se mettre en grève devant les reproches feutrés qui leur sont faits dans la dernière affaire de la disparue de Pornic.


         Nous ne sommes pas méchants, mais…

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