« Oh ! comme c’est merveilleux tous ces opprimés d’Afrique du nord qui se soulèvent contre de vilains corrompus… » murmure d’extase l’Européenne en manteau de fourrure qui manifeste pour que… Plus jamais ça ! Ces beaux corps bruns qui vont se livrer aux balles des policiers, quelle émotion sur le chemin de la Liberté…

         Sauf que les leaders de ces régimes plus ou moins laïques étaient les marionnettes grassement payées des tenants de l’ordre mondial, les mêmes qui nous contrôlent (Princes de l’Usure, vous avez dit Princes de l’Usure, mais vous les voyez partout, vous êtes un obsédé mon ami).

         Sauf que la seule alternative structurée à ces guignols sordides est un pouvoir islamique qui lui ne fera pas dans le badinage.

         Sauf que l’effet domino qui agite le monde musulman, Tunisie, Algérie, Égypte – pour l’instant… s’il se concrétise par des changements de régime, risque fort de s’étendre aux pays européens à forte population immigrée, d’ailleurs pourquoi se gêner, et qui leur résistera ? Sarkozy et sa clique ? Patrick Bruel et Emmanuel Béart, pour ne citer qu’eux ?

         Alors, adieu veaux, vaches et cochons… et manteaux de fourrure.

      L’histoire est simple, terriblement simple, et ce serait déjà bien suffisant si elle n’était pas terrible.

      Bon, nous connaissons le vaste chantier de destruction de l’Occident chrétien entreprit avec la révolution française. Après, le cahot des guerres fratricides est venu rythmer cahin-caha le développement des nations créées sur la fameuse table rase jusqu’au premier affrontement mondial, cette boucherie orchestrée par les princes de l’usure. Y furent éliminés une grande partie des élites, dans tous les domaines, des nations qui prirent part au conflit. Mais il en restait toujours, et comme ceux là menaçaient de refonder une Europe forte basée sur les nations, un deuxième affrontement mondial fut financé par les mêmes. Une bonne partie de ce qui restait des élites et des guerriers fut laminée dans le combat contre l’ogre bolchévique. La guerre mondiale fut perdue par les nationalistes dont beaucoup connurent la bienveillante justice des vainqueurs. Mais, il en restait toujours, on les envoya dans des endroits impossibles au Tonkin et ailleurs. Bien entendu, on commençait à voir la portion congrue des guerriers et des élites, celle qui avait survécu et que l’on envoya en Algérie, et ainsi de suite.

      Cependant, en Europe, à grand cris de « plus jamais ça », de culpabilisations et de repentances, on castrait joyeusement un matériel humain pas bien costaud, pas bien solide sur ses jambes. Et puis, pour être certain que ne renaîtrait pas un sauveur ou une Jeanne d’Arc, on perpertrait à nouveau par l’avortement le Massacre des Innocents, perpétuel celui-là, crime d’Etat financé par les impôts de ceux qui en sont les victimes. Spirituellement, on balançait un Vatican II aux conséquences désastreuses, la dignité et la fierté catholique ainsi que l’esprit des croisades étaient mis à terre. Alors, sans armes, sans uniformes et sans violence apparents ont fit envahir la vieille Europe, peu à peu et de manière croissante, par des hordes de barbares hébétés et brutaux qui salissent et qui cassent tout ce qu’ils touchent, et cela se passe sans problème aucun, car l’homme européen ne sait plus tuer. Il ne sait déjà plus tuer un lapin, le sang lui fait peur, alors tuer un barbare qui viole sa sœur ou sa mère… Au fil des générations le système nerveux des européens, déjà rendu débile par une consommation excessive d’alcool, a été annihilé, ce n’est plus qu’une carcasse avec de la viande dedans et des pulsions consomatrices. Dès que l’on énonce le simple fait qu’il faudra bien tuer tous ces envahisseurs qui chaque jour dévoilent un peu plus le pan de leur volonté de conquête, si on ne veut pas disparaître ou leur sevir de porteur d’eau, on rencontre des regards apeurés d’effarés qui vous prennent pour un fou, tandis que dans ce qui leur reste de cervelle on peut voir cliqueter les étincelles des reflexes pavloviens « plus jamais ça, homme blanc = criminel exploiteur universel, etc. »

      L’homme blanc ne sait plus tuer, il ne sait plus tuer un lapin, il sait encore moins tuer son ennemi. C’est là son problème fondamental.

      Avec sa tronche d’immonde nain de jardin, l’ancien terroriste Lulla vient d’absoudre le criminel rouge Battisti. Et la moutarde nous monte au nez car c’est encore et toujours la même chose avec ces saloperies de marxistes, l’hypocrisie et le mensonge que leur permet le contrôle des média, de l’éducation et de la culture (sans parler des arcanes de la putain démocratie) que leur laissent les princes de l’usure.

      Aux plans politiques et historiques, qui pose les bombes qui tuent les innoncents, qui organise les assassinats politiques, qui rapte contre rançon, qui trafique ? Mais voyons, la droite ! l’Extrême droite ! Les fascistes ! (à vociférer avec un visage tordu par la haine). Quand des communistes vont tuer un opposant, tout le monde y passe, toute la famille, les serviteurs s’il y en a, et même les animaux – c’est à cela que l’on reconnaît les meurtres des rouges, c’est leur signature, aucun état d’âme, aucun discernement pour ces agents du démon. Rappelons-nous que les bataillons réguliers de l’armée mexicaine chargeaint les Cristeros au cri de : Vive Satan !

      Dans le cas présent, qui ne respecte pas les accords internationaux réciproques ?... Les régimes de droite ! les Nazis ! Ben voyons… Et l’étron barbu de refuser au dernier jour de son mandat    (il aurait pu attendre la dernières seconde, le scélérat) l’extradition d’un lâche reconnu coupable d’au moins quatre meurtres crapuleux – au passage, avez-vous remarqué comment Battisti et Houelbecq se ressemblent, seraient-ils issus de la même portée ? la création se mélangerait-elle les pinceaux dans ses clonages ?

      Parlant de démon, BHL est satisfait de la chose, il y voit une grande victoire pour… il a oublié pour quoi, mais ce n’est pas grave car c’est une grande victoire, et il a raison le BHL, c’est une grande victoire pour le Mal. Vous allez penser que nous voyons des démons partout, mais c’est le cas, le diable avance maintenant à visage découvert, il a transpercé l’enveloppe charnelle de ses incarnations ; sous les traits de BHL, de Lulla, de sa remplaçante, de Strausskahn, de Battisti absous, et de tous et toutes les autres, Bachelot, Boutin,  Elton  John et consorts, toutes ces truies prêtes à exploser : le démon transparaît pour accomplir son œuvre de déstruction de l’Occident Chrétien.

      Les Italiens vont-ils prendre les choses en mains, et faire respecter le droit à leur manière ? Ce serait un signal qui ne manquerait pas d’intérêt.

(Rappelons que nous avions signalé dans l’une de nos chroniques, il y a bien longtemps, le rôle d’envoyé spécial et discret de BHL pour la présidence française auprès du gouvernement afin d’obtenir l’élargissement du criminel transalpin – d’où l’intérêt de lire Club Acacia régulièrement pour savoir ce qui importe dans l’actualité).

(Remarquons que la liste des « soutiens » français à l’assassin est peu ou prou la même que celle qui soutenait le pédophile violeur Polansky. Bizarre, vous avez dit Bizarre, comme c’est Bizarre…).

      L’autre étoile de la négritude, après Lylian Thuram, nous voulons parler de Patrick Lozes – que c’est bon d’avoir la peau noire quand cela permet de faire carrière, vient de contribuer, en tant qu’invité, une colonne au torchon stalinien Nouvel Observateur. Son sujet ? La sortie d’un film intitulé Thor, réalisé par le britannique Kenneth Branagh (au passage, il nous est impossible de visionner le moindre film britannique vu la quantité invraisemblable de nègres et autres allogènes qui s’y trouvent, parodiant un monde post-métissage à l’intégration réussie), dans lequel le dieu nordique Thor est interprété par un individu d’ascendance nègre.

      Bien entendu, dans sa colonne, Patrick Lozes ne fait que remuer la polémique raciste puisque c’est de cela qu’il vit. Son seul commentaire direct sur le film est le suivant : « Oui, les dieux fussent-ils scandinaves peuvent être interprétés par des acteurs noirs ! Encore heureux... »  (Nous ne nous étendrons pas sur la syntaxe et la grammaire de cette petite phrase, car il y a peu, avant que ces salauds de blancs leur apprennent un langage écrit, les ancêtres de Patrick Lozes vivaient dans les arbres).

     Cela posé, nous réclamons la réciprocité ! Lors du prochain film consacré aux aventures de Tarzan, nous exigeons que tous les membres de la tribu pygmée qui attaquent Tarzan soient joués par des acteurs géants aryens aux yeux bleus, et que, pour faire bonne mesure et respecter les quotas, le rôle de Tarzan soit interprété par une actrice japonaise unijambiste… « Oui, Tarzan peut être interprété par une actrice japonaise unijambiste ! Encore heureux… »