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13 novembre 2010 6 13 /11 /novembre /2010 15:15

         La lopette intégrale, Florent Pagny, avec sa gueule de mâle occidental, qui vient présenter des excuses publiques à la demande d’organisations d’allogènes pour des propos inacceptables. Il faut dire qu’il y a eu quelques précédents, Bigard et quelques autres qui ont eu des mots qui leur sont sortis de la bouche alors qu’il fallait qu’ils restent bien dans leur crâne derrière des grilles bien verouillées, et qui l’ont payé très cher. Alors, Florent Pagny il l’a accepté, le rôle dans la pièce, l’humiliation publique de l’homme blanc. Encore un traître à fusiller dans le dos, avec Luc Besson et tout le reste, ça commence à faire beaucoup, la liste est longue, y aura-t-il assez de cartouche ? Parce qu’enfin Florent Pagny, c’est un récidiviste, il était déjà passé devant une cour, « officielle » celle-là, parce qu’il avait escroqué l’Etat, et que donc il avait volé la société, les Français, les autres contribuables en quelque sorte. Mais là, on ne lui avait pas demandé de faire des excuses publiques à la télévision. On ne lui avait pas intimé de dire « Chers compatriotes, j’ai mal agi, je ne le referai plus  ; un escroc moi  ? C’est aux antipodes de  ce que je peux être ! ». Car Florent Pagny, même pas pour sauver sa peau, mais pour sauver ses pépettes, il est prêt à dire tout et son contraire dans la même phrase.

         Las, les associations d’envahisseurs sont apaisées, sans éclater ouvertement de rire, elles l’on fait passer sous les fourches caudines, l’homme blanc, elles l’ont fait bredouiller, elles lui ont fait avaler ses couilles. Parlant de couilles, je trouve qu’elles ont été bien clémentes, les associations, elles auraient dû lui demander qu’il se dévêtît en direct aux informations de vingt heures, et qu’il s’enfonce un manche à balais peint en noir dans l’anus bien profond, ça aurait été plus parlant, vous ne trouvez pas ? Qui sait, la prochaine fois.

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12 novembre 2010 5 12 /11 /novembre /2010 15:15

      Commençons par l’effroyable, le scandaleux changement « heure d’été, heure d’hiver », cette monstruosité franc-maçonne imposée aux peuples de la terre. Quels dégâts sur les organismes et les sociétés cette mesure barbare ne provoque-t-elle pas ? On nous parle avec horreur des agissements des Docteurs Mengele et Borman, mais le changement d’heure dans le genre atrocité, ce n’est pas mal non plus, et personne ne s’en soucie. L’abrogation de cette mesure devrait faire partie de tout programme nationaliste, il s’agit là de marquer une indépendance face au mondialisme. Il faut revenir à une heure réglée sur le soleil, sur la loi naturelle et mettre fin à cette inéptie asservissante sortie de l’orgueil de l’homme.

         Le temps, donc. Pour des raisons de commodité, la journée fut divisée en heures, elles-mêmes en minutes et ainsi de suite. Mais ce qui devait être outil devint maître, car de nos jours c’est bien l’heure qui commande.

         Prenons le Moyen Age, période obscure bien pratique pour y faire des expériences. Période obscure, mais surtout période hautement chrétienne. La journée y était réglée par le rythme des prières et des liturgies, certes ces prières et ces liturgies se déroulaient à des heures précises, mais cela n’était qu’accessoire. On fixait rendez-vous après l’angelus du soir et non à dix-huit heures ; On écoutait sonner l’angelus de midi, et l’on savait que c’était l’heure d’aller prendre son repas.

         Comme un cours d’eau, le temps doit s’écouler. Il s’écoule parfois de façon rapide, parfois de façon très lente – certains pervers allant même jusqu’à déclarer qu’il faut alors le tuer.

         La jouissance du temps est une liberté, comme celle de respirer l’air ou de boire de l’eau. Le temps est également l’espace que Notre Seigneur a ménagé pour que l’homme puisse y parcourir ses tribulations et ses épreuves. C’est Lui qui rythme véritablement le temps, et c’est ce rythme là qu’ils ont voulu détruire.

         « Le temps, c’est de l’argent ! » Après avoir voulu le tuer, les princes de l’usure ont choisi de le chosifier, il faut qu’il rapporte, le temps. Combien vaut une heure de travail ? Combien d’heures de travail pour cet objet ? Combien de temps pour le transport de cette marchandise… ? Combien, Ô grand combien ? Ainsi le temps s’additionne, se multiplie. L’homme moderne a sa vie réglée par les aiguilles de l’horloge, et cela se transcrit par la sortie des bureaux et les informations à la télévision. Le temps – son temps – lui a échappé, le temps est devenu complétement socialisé. Il a tant de minutes pour manger, il part en vacances tant de semaines, il y a le temps de la retraite (toutes ces choses étant fixées par autrui), il vit au rythme des échéances, des factures régulières, des sommes qu’il va recevoir, de celles qu’il doit verser à termes réguliers. Il ne peut plus s’asseoir, notre homme moderne, il ne peut plus s’abandonner au temps, il a toujours le souci, toujours l’esprit encombré par la chaîne de l’usure, il ne peut plus jouïr de son travail, ni de ce qu’il possède en dehors du temps socialisé, l’usure a fait de son temps une cage et, tel le hamster, il ne peut que parcourir la petite roue qui s’y trouve, qui ne peut s’arrêter et qui ne mène nulle part. Et la seule façon, façon illusoire, que les princes de l’usure proposent à l’homme moderne pour re-gagner  son temps, pour se le réapproprier… c’est par l’argent, l’argent qui permettra d’acheter des divertissements de toutes sortes, qui permettront, eux, de le tuer.

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10 novembre 2010 3 10 /11 /novembre /2010 10:11

      Il est plus que temps d’arrêter ce délire du développement obligatoire. Nous avons les pays développés (lire normaux), et les pays sous-développés (lire malades ou anormaux). Le but de toute entreprise humaine et de la solidarité planétaire étant de rendre les pays pas encore développés, complétement développés – car c’est une fatalité.

      Eh bien, non ! Leur soi-disant développement n’est qu’une nouvelle façon de mettre des chaînes aux esclaves. Regardez ce qui se passe dans nos contrées où les princes de l’usure contrôlent tout, absolument tout. Regardez celui qui essayerait de se sortir de ce guêpier, qui tenterait de revenir à une autosuffisance hors du système, histoire de ne pas être systématiquement racketté. C’est tout simplement impossible, d’une manière où d’une autre cet individu est marqué : son domicile, l’eau qu’il boit, son énergie, sa nourriture, les échéances imposées, etc. Il peut bien entendu se libérer de certains de ses liens, mais de tous jamais !

      De quoi a-t-on vraiment besoin pour vivre simplement sans pour autant le faire dans la misère ? De bien peu, et les générations passées sont là  pour le prouver. Tout le reste n’est que superflu et besoins créés. Ils veulent nous faire croire que non-développement signifie, bêtise, inculture, pauvreté, ennui, problèmes de santé, quelles insultes pour des peuples qui existent depuis l’aube des temps. Le seul développement qui valut pour les contrées outre-Europe fut celui des missions et des colonies, mais de ces développements là, les vrais, les seuls possibles, les seuls valables, ils ne veulent pas entendre parler et ils les diabolisent avant de leur opposer celui des banques avec ses emprunts et crédits à courts, moyens et longs termes.

      Les habitants des  pays non-développés ont la chance de vivre sans les chaînes modernes et hors du contrôle des maîtres de l’usure. Ils peuvent aller prendre leur eau au fleuve, ils font avec ce qu’ils ont, ils vivent au rythme de la nature sur des territoires à peine bornés, et au moins ils sont encore chez eux. Qu’ils en profitent !

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4 novembre 2010 4 04 /11 /novembre /2010 03:03

      Nous avons du mal à comprendre, tout le monde, enfin presque tout le monde, semble se réjouir du résultat des élections outre-Atlantique, comme si le soleil s’était levé ce matin sur un monde nouveau. Certains chroniqueurs de là-bas allant même jusqu’à déclarer que c’était la revanche de l’homme blanc.

 

       Certes les chiffres paraissent indiquer une passassion de pouvoir, certes il fallait se débarasser de l’encombrant métisse (ce qui est loin d’être faits, les électeurs comme les femmes ayant l’humeur changeante). Mais avec quelle marge, 3% ? 5% ? et combien d’électeurs sont-ils allés voter ?

 

      Le jour où l’on pourra parler de changement sera celui où, las de la mascarade et des promesses jamais tenues, personne n’ira voter – ou celui où tous iront voter dans le même sens. En attendant, leurs nouvelles marionnettes mises en place, les princes de l’usure et les marchands de canons, et tous les autres, vont pouvoir continuer à régner sur le monde.

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3 novembre 2010 3 03 /11 /novembre /2010 11:11

       Ils veulent en faire une célébration annuelle, et ils ont choisi pour ce faire Notre Toussaint, comble de l’insulte, le 1er novembre ; ils la veulent  remplacer, et ils y arriveront, par la journée des traîtres, ceux qui veulent officiellement sur notre sol « célébrer le déclenchement de la Révolution anticolonialiste en Algérie, quelques mois  après la magnifique victoire de nos frères vietnamiens à Dien Bien Phu. » (quand on connaît la véritable histoire du F.N.L. !), et les politiques, les médias, le peuple de France dans son ensemble de rester passifs.

       Imaginons un peu nos voisins d’outre-manche, et ils sont nombreux dans certains coins de France, commémorer à cors et à cris Trafalgar et Waterloo, et défiler dans les rues avec des drapeaux anglais, devant des badauds badaudant impavidement.

       A propos d’Anglais, les parents anglais enseignent à  leurs enfants au sujet des choses défendues : « Don’t even think about it. » (Ce n’est  même pas la peine d’y penser.). Eh bien, les traîtres, non seulement ils y pensent, mais ils le font !

       Voilà où en est la France… et l’on peut penser que ce n’est plus du sang qui circule dans les veines de nos concitoyens, mais bien du jus de cochon.

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27 octobre 2010 3 27 /10 /octobre /2010 10:10

      Vous l’ignoriez peut-être, mais Nüremberg ce n’est pas fini. Dernière en date la condamnation à mort de l’ancien ministre catholique de Saddam Hussein, Tarek Aziz.

      Cette tradition, que l’on pourrait appeler « Il n’est de crime de guerre que de la perdre », se porte donc bien. Depuis l’élimination systématique des dirigeants Nationaux Socialistes allemands, l’exécution par les Anglais et les communistes de Mussolini, c’est une suite de leaders nationalistes, ou d’hommes forts, qui ont fait les frais de la justice mondialiste, une justice « rendue », au travers de diverses cours internationales, par de médiocres anonymes zélés et interchangeables à la botte des princes de l’usure.

         Le premier but de cette pratique est de servir d’exemple. Gare à celui qui ne marche pas au pas ! Le second est d’éviter toute contestation de la réalité qui nous est imposée, et, avant tout de la réalité historique. Il est certain que des dirigeants morts ne peuvent pas raconter leurs versions des événements, ni révéler des faits qui pourraient troubler la limpidité des eaux. Pour exemple, Léon Degrelle, seul leader nationaliste qui échappa à l’hécatombe à la fin de la deuxième guerre mondiale, qui dut se terrer en Espagne, et dont l’ouvrage La campagne de Russie publié en 1949 est toujours interdit, car il y raconte en détails le pourquoi des alliances nationalistes à cette époque, en un récit passionnant qui ne cadre pas avec les images disnéyennes qui nous sont imposées.

         Qu’il est réconfortant de voir tant de justiciers, hommes et femmes généralement clamant leur haine de la peine de mort, faire fi de leurs convictions les plus prodondes pour nous protéger des quelques monstres qui hantent la planète.




http://img809.imageshack.us/img809/391/etchegaraytarekaziz.jpg
Rencontre entre le cardinal Roger Etchegaray et Tarek Aziz.

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25 octobre 2010 1 25 /10 /octobre /2010 17:17

      Eh bien oui, il nous faut l’admettre, c’est la panne sèche. Avec ce qui se passe en France notre plume devrait frétiller, mais non, rien du tout, car le spectacle est tout simplement lamentable.


      On connaît l’histoire du chien qui aboye et qui ne mord pas – c’est une histoire vérifiée tous les jours avec les membres d’un gouvernement qui se veut « intraitable » avec les grévistes et la racaille ! On voit des casseurs arrêtés en flagrant délit, et puis, surprise Ô surprise, relâchés par les juges rouges (pendant ce temps on clame bien haut la quantité de casseurs arrêtés). On voit des forces de l’ordre, qui n’en ont plus que le nom, assister pacifiquement au pillage du pays alors qu’ils devraient tirer à vue sur ces sauvages avant de les pendre aux lampadaires pour l’exemple. On voit des privilégiés former des cortèges sur les autoroutes pour protéger leurs « acquis » dans de flambloyantes voitures neuves. On voit des adolescents qui veulent déjà être vieux, histoire de ne pas travailler, alors que leurs parents devraient leur donner la trique. On contemple une écrasante majorité de Français inacceptablement génés par cette chienlit qui attendent que ça se passe en se croisant les bras (il y a des exceptions, nous le savons). On écoute et on regarde, béat, une politicienne de gauche lancer les enfants dans les rues avant que de s’envoler pour un weekend de luxe à Venise avec son dernier amant, alors qu’elle devrait être derrière les barreaux pour un tel acte. On voit une armée combattre une guerre qui n’est pas la notre, du moins pas comme cela, à l’étranger alors que ses tanks devraient être au coin des rues, le canon pointé sur les émeutiers – des émeutiers qui, eux aussi, entre parenthèses, sont à la petite semaine. On voit une négresse journaliste s’offusquer, sous les projecteurs, de ce qu’un monsieur agé ait dit que les nègres ne travaillaient pas beaucoup, mais rester silencieuse quand un de ses frères de couleur de peau déclare aux antilles que « les blancs puent ». On voit la vie continuer comme de rien, comme la pluie qui tombe toute droite, sans bourrasques… lamentable.

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18 octobre 2010 1 18 /10 /octobre /2010 10:10

         Ils en redemandent !... Ils en redemandent !... On les leur fait miroiter comme l’absolu du progrès humain et social, comme une revanche prise sur les imperfections du Créateur, alors qu’elles ne sont que chaînes et boulets qui les empêchent de marcher.


         Avant elles, rien. Avant elles, l’Homme n’en n’était pas vraiment un, pas plus que la vie sur terre. Imaginez un peu avec effroi la chose… un monde sans Sécurité sociale et sans Retraite, car, étant les deux branches du compas essentiel pour garder le cap, elles sont ce pour quoi l’on vit, ce pour quoi l’on travaille (Il en est même qui vont jusqu’à se moquer du Paradis de l’au-delà, tout en attendant leur retraite).


         Revenons aux bases : Le travail est une activité nécessaire, le travail est amour, le travail est utile au mental et au physique, pourquoi devrait-on arrêter de le pratiquer à une limite donnée par des inconnus ? Comme pour toutes choses, notre Etat socialisant prévoit et gère tout. L’individu n’a aucune marge de manœuvre, il ne peut faire des choix, il n’a plus de responsabilité, on lui a coupé les bras et les jambes, il avance sur des moignons qu’on lui répare au fur et à mesure gratuitement (gratuitement ?). Tout ce qui était épreuve humaine formatrice a été transformé en lois avilissantes, tout ce qui découle de l’ordre naturel a été catégorisé et coulé, comme du mauvais plomb, en des relations contre-nature (et, pour bien assuré la chose, on a fusillé dans le dos la famille, cette obligation et ce soutien). La retraite et la sécurité sociale créent un monde de galériens, de mendiants, d’irresponsables, de cadavres en sursis.


         Celui qui vit sans la sécurité sociale, qui doit payer pour ses dépenses de santé, pour ses remèdes, fait autrement attention à  ce qui lui arrive que celui qui peut dépenser sans compter en puisant dans un trou sans fond. Bien sûr, nous dira-t-on, car c’est la façon de raisonner de ce monde-ci, niez-vous les bienfaits de l’assistance médicale pour tous, pour les pauvres, les démunis ? Certes non, mais elle existait avant, elle avait pour nom charité, et, qu’elle fut d’ordre privé, étatique ou religieux, elle était organisée selon cette vertu, elle avait ses belles histoires et ses histoires horribles. On voudrait nous faire confondre progrès médical technique et sécurité sociale – droit à ce qui se fait de mieux en matière de médecine pour tous et à tout moment… raconte à tout un chacun le marchand de sable.


         Toujours est-il qu’avec ces deux rails qui accompagnent l’être humain du berceau jusqu’à la tombe, un monde faux est imposé. Les jeunes travaillent pour leurs vieux jours, mais savent-ils seulement avec ce monde qui ne colle plus avec la réalité ce qu’est la vieillesse ? Prévoir pour les jours où l’on ne pourra plus travailler est de la responsabilité de chacun, certains feront comme la fourmi, d’autres comme la cigale, mais ce seront eux au travers des épreuves et avec leurs moyens propres qui l’auront fait. L’absence de risques produit des amorphes sans ambition personnelle, des habitués de la petitesse. Aurions-nous eu les Pères blancs, les croisés, les colonisateurs, les héros et les modèles avec la retraite et la sécurité sociale ?


         L’Homme d’aujourd’hui est fier, celui qui est issu de la révolution croit pouvoir tout dominer. Dans une certaine mesure, c’est vrai, ses réussites sont parfois impressionnantes, voire séduisantes, mais le prix à payer est exorbitant : il s’agit ni plus ni moins de ne plus avoir barre sur sa vie, de ne plus la mener avec la dignité et la liberté de l’homme qui est seul devant les tribulations, et qui, pour sa survie et celle de ceux qui dépendent de lui, doit faire les choix qui sont en accord avec un surnaturel qui lui est de loin supérieur.

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14 octobre 2010 4 14 /10 /octobre /2010 11:11

         Interrogé sur la réforme des retraites et sur les trois millions de Français qui manifestaient dans la rue, ainsi que sur la signification et la  portée de ce mouvement, le joueur de ballon rond Eric Cantona répondit peu ou prou que cela ne voulait rien dire, et que cela ne servait à rien. Après avoir ainsi bloqué le ballon, le joueur prépara sa relance en déclarant qu’aujourd’hui tout « le système » était contrôlé par les banques, ayant ainsi fixé la défense de l’adversaire, il décocha un tir puissant : ce qu’il faudrait, poursuivit-il, c’est que ces trois millions de personnes – et quand je dis trois, pourquoi pas dix ? – aillent retirer tout leur argent et tous leurs avoirs des banques, plus d’argent plus de banques, et là on verrait ce qui se passerait.

         Suggestion amusante et pleine de bon sens qui doit certainement faire partie de l’arsenal à déployer contre le règne étouffant de l’usure. Mais le cercle est bien fermé, et comment en sortir puisque, comme chacun peut le vérifier chaque jour, les banques tiennent effectivement tout ?

         A ce propos, il peut être utile de consulter la définition africaine du cercle : « le cercle, c’est une ligne droite que l’homme blanc a tordu pour faire que le début et la fin de la ligne droite se touchent afin qu’on ne sache plus où ils sont et qu’on ne puisse plus en sortir. Le cercle, c’est un truc de blancs »

         Et quand bien même, combien d’individus seraient prêts à aller retirer leurs avoirs de leur banque, tant il est vrai que les esclaves aiment leurs chaînes, car ils n’ont que cela.

 

Philippe Régniez

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12 octobre 2010 2 12 /10 /octobre /2010 15:15

         L’Europe, Ah ! l’Europe… Au fait, l’Europe d’après eux c’est quoi ? Ouvrons le beau livre en couleurs et regardons les images : plus de frontières, plus de guerres, l’amitié entre les peuple, la libre circulation des biens et des personnes, une solidarité économique à toute épreuve, un brassage des peuples et des richesses culturelles, un adversaire de poids face aux géants de la planète, une union qui fait la force, sur les plans diplomatiques, commerciaux, militaires, et que sais-je encore…

         Eh bien non ! Grave erreur, l’Europe c’est avant tout un espace géographique où les invertis, les pédérastes (on nous assure que ce n’est pas tout à fait la même chose), les pédophiles, les « trans », les « bis », enfin bref tous les déviants et les malades sexuels, doivent pouvoir sortir dans la rue pour exhiber en groupe leur monstruosité au lieu de la vivre individuellement honteusement caché comme cela devrait être le cas dans toute société relativement normale.

         Car « ça » commence par là l’Europe, par le trou du cul. Comme le disait le grand Céline : Une fois qu’on s’est laissé enculer une fois, une seule toute petite fois, on est foutu. La grande symbolique que l’appropriation du trou du cul de l’autre ! Dans le même registre, l’un de nos amis, fin politologue, déclarait à la fin d’un repas : Tous ces débats sur la démocratie et ses mérites, ça se termine toujours de la même façon, avec une bite dans le cul. Après quelques moments de reflexion, il se reprit et il ajouta : avec une bite circoncise dans le cul…

         Et pour cela on ne lésine pas sur les moyens : des miliers de policiers armés pour protéger une poignée de malades, des véhicules blindés, des tirs de gaz lacrymogènes, comme si le pouvoir était en péril, comme si l’Europe allait vaciller.

         Alors ceux qui ont senti le véritable danger derrière la provocation du lobby pédéraste, ceux qui ont refusé de laisser satan envahir les rues de leur capitale, ceux qui ne veulent pas qu’on leur dise à eux et à leurs enfants que les pratiques contre-nature sont normales et que ce sont eux les anormaux, sont descendus, tels les soldats des thermopyles, dans les rues pour physiquement et matériellement tenter de réveiller les peuples européens, et pour leur montrer que l’inacceptable devait rester inacceptable.

         Rappelons quand même le rôle des populations des Balkans dans l’histoire, celui d’être aux avant-postes et de toujours défendre l’occident chrétien, et donc l’Europe, contre les attaques venues de l’Orient.  Sous des déferlements de bombes, avec la création de nations musulmanes fictives pour pourir le fruit, et la mise en place au pouvoir de pantins, l’OTAN a bien essayé de faire taire ces guerriers, apparemment le succés ne fut pas total.

         Car enfin, chacune des personnes interpellées – et bien entendu, elles ne peuvent être que des monstres de l’extrême droite – lors des heurts risque huit ans de prison, et les autorités si soucieuses de plaire aux maîtres de Bruxelles ont déjà déclaré qu’elles seront intraitables et demanderont à la justice des sanctions exemplaires (Ah ! leur justice… quelle saloperie). Et le moment est venu de citer une nouvelle fois Céline : « Celui qui refuse de se laisser négrifier est un fasciste qu’il faut pendre. » Bagatelles pour un massacre, 1937.

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