La librairie de Pedro Varela vandalisée par des militants marxistes
Une vingtaine de militant d’extrême gauche ont profité de la grève générale pour saccager la librairie de Pedro Varela en Espagne. Pedro Varela a été condamné le 8 mars 2010 à 2 ans et 9 mois de prison à cause des ouvrages qu’il a diffusé. Il a fait appel de ce jugement. Il dirige la Libreria Europa à Barcelone.
Dans sa Lettre n°19, Pedro Varela écrivait à ses militants (propos retranscrits dans le n°524 du Courrier du continent de G. A. Amaudruz dont l’adresse est : Case Postale 5694, CH-1002 Lausanne, Suisse).
« Magiciens des mots, Magiciens de la loi »
La condamnation est déjà connue, 2 ans et 9 mois de prison, qui s'ajoutent aux 7 mois de la précédente condamnation, ce qui fait un total de 3 ans et 4 mois. C'était à prévoir. Aucun juge suppléant désireux de prospérer à Barcelone ne peut oser prononcer une sentence contre « le vent de l'histoire ». (...)
Déduisons que si l'on condamne un éditeur pour des livres interdits, c'est qu'il en existe une liste ; où peut-on la consulter ? Qui décide du catalogue ? (...) Et s'il n'en existe pas, il n'y a pas de livre à interdire en Espagne. (...) L'éditeur condamné, il y aurait lieu de supposer que les auteurs l'ont été au préalable. Mais jusqu'aujourd'hui, il n'existe aucun auteur condamné pour un livre. (...)
La juge Estela, érigée en nouvelle inquisitrice, affirme que les œuvres que cet éditeur met en vente « sont unidirectionnelles quant à leur contenu, avec un manque total de pluralité » et « dirigées vers une unique ligne de pensée ». Et alors ? (...) Quelle pluralité trouve-t-on dans les librairies gays, évangéliques, catholiques, anarchistes, féministes ou talmudistes ? (...).
Ceux qui lisent l'espagnol peuvent obtenir une documentation plus complète auprès de : Pedro Varela, Apartado Correos 34010, E-08080.
Dans la même Lettre Pedro Varela disait aussi (lu sur le site de l'Américain John de Nugent):
« Comme le tribunal constitutionnel de Madrid a admis que, au moins en partie, il n'est pas punissable de douter de faits qui sont présumés historiques, la nouvelle Audience Provinciale de Barcelone, dans le procès antérieur, et le « procureur rouge » maintenant, réalisent une contorsion judiciaire et intellectuelle en affirmant que, bien qu'ils ne puissent m'accuser de « nier l'Holocauste » parce que [la négation] n'est pas punissable [...], ils m'accusent de le « justifier ». Mais, comment peut-on justifier un crime dans lequel on ne croit pas ? Il est évident que les règles de la logique traditionnelle ont cessé d'être valides dans la justice politique. »
Report du procès de Dirk Zimmermann
Le procès de Dirk Zimmermann avait été programmé le 20 septembre par le tribunal de Heilbronn. Le site Altermedia Allemagne (« Selbstanzeiger Holocaut Prozes von Dirk Zimmermann auf 7 oktober vertagt ») rapport que ce procès a été reporté au 7 octobre et se tiendra donc ce jeudi. Dirk Zimmermann avait envoyé un exemplaire du livre de Germar Rudolf Lectures on the Holocaust à trois personnes : le maire de sa ville, le pasteur et le curé de sa communauté. C'est pour ces faits qu'il est poursuivit. Dans un premier procès, ce père de deux enfants, sans casier judiciaire avait été condamné à 9 mois de prison ferme.
Une lettre de Robert Faurisson publiée dans Rivarol
En réponse à un courrier de lecteur, voici une réponse de Robert Faurisson publiée dans le courrier des lecteurs Rivarol n°2967 du 24 septembre 2010, p. 6.
La réponse des juges de Saverne
Dans sa livraison du 17 septembre 2010, Rivarol a publié "à propos de Vincent Reynouard" une lettre de lecteur qui commençait par les quatre questions suivantes:
« Comment [V. Reynouard] a-t-il pu croire que sa brochure négationniste (il revendique cette épithète) ne lui vaudrait pas de sérieux ennuis ? Il n'avait pas entendu parler de la loi Gayssot ? Il croyait à la liberté 'd'expression' en France ? A-t-il été inconscient ou volontairement imprudent ? »
Dans leur jugement du 8 novembre 2007, en page 8, les juges du tribunal de Saverne (Monsieur Picard, président, Mesdames Watiez et Rodrigues, assesseurs) se trouvent avoir répondu en quatre alinéas à l'ensemble des quatre questions que posait ce lecteur. Ils l'ont fait dans les termes suivants:
« De façon calme, claire et très déterminée, Vincent Reynouard expliquait lors des débats qu'il avait déjà fait l'objet dans le passé de poursuites judiciaires sur le même fondement, qu'il avait été déjà condamné pour des faits de même nature mais que rien ni personne ne l'empêcherait de poursuivre la rédaction et la diffusion de ses écrits révisionnistes qu'il assumait pleinement et dont il connaissait parfaitement l'illégalité au regard de la loi française.
« Il précisait à l'intention du tribunal que nulle peine d'emprisonnement ferme ne pourrait le détourner ou l'empêcher de poursuivre sur cette voie.
« Il ne comprenait pas pourquoi il ne pouvait présenter, sans encourir de sanctions pénales, sa version des faits sur cette période de l'histoire tout en précisant que ses écrits n'étaient pas antisémites et qu'ils n'appelaient pas à la haine raciale.
« Il résulte de la procédure et des débats à l'audience que les faits reprochés à Vincent Reynouard sont établis, caractérisés, reconnus et même revendiqués par le prévenu. »
Réponse de Pierre Marais à Présent
Le 4 septembre 2010, en page 2, le journal Présent, quotidien de la presse nationale et chrétienne, s'en prenait à Luc Ferry, ancien ministre de l'Éducation nationale, dans un article intitulé « Contradictions au Figaro : l'ânerie de Luc Ferry ». L'article se terminait par ces mots :
« Les affligeants propos du seul Mgr Williamson totalement imprévisibles n'ont en effet été approuvés par aucun autre évêque et encore moins par le pape. On aimerait que les propos incroyablement racistes de certains rabbins en Israël soient désavoués par leurs pairs avec la même fermeté que celle du Vatican pour les propos de Mgr Williamson. »
Pierre Marais, auteur de Les camions à gaz en question, de En lisant de près les écrivains chantres de la Shoah: Primo Lévi, Georges Wellers, Jean-Claude Pressac et de Contribution au révisionnisme historique a envoyé la lettre de protestation suivante :
Mesdames, Messieurs,
Comme vous pourrez le vérifier, je suis lecteur (abonné) de votre quotidien depuis de nombreuses années.
En page 2 de votre numéro du 4 septembre je lis, sous le titre « Contradictions au 'Figaro': l'ânerie de Luc Ferry » :
« Les affligeants propos du seul Mgr Williamson... »
Pouvez-vous me dire en quoi les propos de cet ecclésiastique sont « affligeants » ? Qu'ils soient « imprévisibles », j'en conviens. Mais qu'ils « n'ont été approuvés par aucun autre évêque et encore moins par le pape » ne prouve pas que lesdits propos soient contraires à la VÉRITÉ.
Comment est-il possible que les journalistes de Présent ne sachent pas que « les chambres à gaz nazies » - puisque c'était l'objet des propos que vous trouvez « affligeants » - ne sont qu'un [censuré] ? Que vous ne le proclamiez pas dans votre journal, c'est compréhensible – la loi Gayssot veille – mais au moins vous pourriez rester neutres sur cette question.
Pour éclairer votre lanterne, je pourrais vous adresser - gratuitement - ma plaquette de 127 pages intitulée En lisant de près les écrivains chantres de la Shoah. Je doute que le qualificatif « affligeant » que vous appliquez à l'évêque Williamson vous amène de nouveaux lecteurs.
Croyez, Mesdames, Messieurs, à ma parfaite considération.
Pierre Marais
René-Louis Berclaz publie un guide de survie
Les Éditions de Cassandra, dont le responsable est René-Louis Berclaz ont édité une petite brochure intitulée Florilège pour la fin d'un monde. Il s'agit d'un « guide de survie » qui « s'adresse avant tout aux microcéphales talmudisés, mais ne doutons point que cette thérapie de choc rendra de précieux services à l'ensemble de l'humanité. Il contribuera à sortir les uns de l'état de stupeur dans lequel ces malheureux végètent depuis trop longtemps et il avertira les autres que la roue tourne aussi pour eux ».
En voici un petit extrait :
Ces pages solidement charpentées nous font toucher le fond de l'abîme dans lequel l'Occident chrétien se trouve plongé depuis la Révolution française. Les Lumières n'éclairent plus le monde et ont été remplacées par la froide lueur des projecteurs du théâtre de Satan. Leurs faisceaux ne saisissent que ce qui doit être vu et laissent dans l'ombre ce qui doit être caché. Seule reste « une allumette sur la banquise » selon l'heureuse formule consacrée par un libre chercheur, courageux et intègre : nous n'avons guère d'autres choix, vu l'air du temps, pour éclairer notre lanterne...
Ces rares lumignons ont suffi toutefois à déclencher l'ire d'une multitude de thésards et autres plumitifs à la gamelle, lesquels ne ménagèrent point leur maigre sueur pour s'efforcer, par de laborieux procès d'intention, de prouver qu'il ne s'agissait là que de pures fantasmagories, voire de dangereuses incitations à perpétrer à nouveau les crimes les plus abominables...
Pour pallier les carences de la fine fleur de ces mercenaires de l'intelligentzia, il fallut bien faire appel à la police et édicter des lois de censure et de discrimination. Cette pauvre réplique ne saurait faire oublier les grandes disputes de l'âge d'or de l'Université, quand les meilleurs esprits du temps se confrontaient en public sur un thème qui appartient toujours à la plus brûlante des actualités.
C'est pourquoi il devient urgent d'abroger ces lois scélérates, contraires aux prétendues valeurs démocratiques. Les initiatives se multiplient, et la dernière en date, diligentée par l'historien Paul-Eric Blanrue, demande l'abrogation de l'alinéa 24 bis de la loi de 1881 sur la presse (loi Fabius-Gayssot) et la libération de l'historien révisionniste Vincent Reynouard, condamné à une peine d'un an de prison ferme pour délit d'opinion par la République française. Cette initiative a reçu, entre autres, le soutien du philosophe américain Noam Chomsky, présenté par les médias comme « le plus grand intellectuel vivant au monde ».
En Suisse, l'Union Démocratique du Centre (UDC), le plus important parti politique du pays, a inscrit à son programme de législature 2007-2011 l'abrogation de l'art. 261 bis du Code pénal, une loi qui restreint de même la liberté d'opinion et d'expression.
Ce "Florilège", 45 pages en A5, 10 euros franco peut être commandé à l’adresse suivante (Chèque à l'ordre de René-Louis Berclaz) :
Les Editions de Cassandra
Case postale 141
CH-3960 SIERRE (Suisse).
Nouvelles de Vincent Reynouard
Le site du Comité de soutien à Vincent Reynouard a publié une lettre du prisonnier politique dont voici un extrait :
Ici, tout va bien. Je ne puis que me féliciter du traitement qu’on me réserve. Je ne suis pas considéré mieux que les autres (sauf que je suis encore seul en cellule) mais tout simplement comme les autres, sans qu’on puisse déplorer un quelconque acharnement contre moi.
Je mesure les étonnantes facultés d’adaptation de l’être humain ; car, après un peu plus d’un mois, je me sens ici « chez moi » : ma cellule est devenue ma chambre, le lit en fer mon lit, les codétenus que je vois à la promenade mes amis (on discute en marchant comme on discuterait à la terrasse d’un café), les horaires mes horaires… Finalement, cette vie me rappelle celle que j’avais quand j’étais étudiant et, s’il n’y avait la séparation de ma famille, cela ne me pèserait plus du tout à présent. J’apprends l’allemand (ma prof par correspondance est très satisfaite de son élève…), je perfectionne mon dessin, j’ai de nombreux correspondants et je lis Platon.
(Suite sur le site du CSVR)
Une interview d'Ingrid Zündel de 1998
Voici un long entretien en anglais entre Ingrid Rimland et Ernst Zündel. Ils se sont mariés deux ans plus tard. A cause de ses activités révisionnistes, Ernst Zündel a fait sept ans de prison.
Les époux Zündel sont séparés de force depuis sept ans et le sont toujours. Ernst Zündel a été libéré mais n’a pas le droit de quitter l’Allemagne. Ingrid Zündel est sous le coup d'un mandat d'arrêt international. Elle ne peut donc pas quitter le Tennessee.
Un bon dessin de Chard vaut mieux qu'un long discours de Castro
Personnes ou institutions citées dans cette édition :
-La librairie de Pedro Varela : <www.libreriaeuropa.es>
-Le site d'information Altermedia Deutschland : <de.altermedia.info>
-Les Editions de Cassandra : Case postale 141, CH-3960 Sierre (Suisse).
-Le Courrier du Continent : Case Postale 5694, CH-1002 Lausanne, (Suisse).
-L'hebdomadaire Rivarol : <www.rivarol.com>
-Le site internet de John de Nugent : <www.johndenugent.com>
-Le Comité de soutien à Vincent Reynouard : <csvr.wordpress.com>
-Le blogue non officiel de Robert Faurisson : <robertfaurisson.blogspot.com>
-Le site d'Ernst Zündel : <www.zundelsite.org>
-Les dessins de Chard : <dessinsdechard.free.fr>