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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 12:12

Editorial du dernier numéro de de la revue nationalite Militant.

 

 

      Courant décembre, le landerneau politico-médiatique s’est offusqué des propos de Marine Le Pen relatifs à l’occupation des rues par les musulmans en prière et comparant cela à l’occupation allemande entre 1940 et 1945. Ces propos, surtout destinés à l’usage interne du FN en vue de mieux mobiliser les militants frontistes en sa faveur lors du Congrès de janvier 2011, ne remettront pas en cause le processus de dédiabolisation lancé par le régime, tant celui-ci a besoin du FN pour canaliser le juste mécontentement des Français face à la politique criminelle de trahison de la France qu’il conduit. La critique de cette occupation de la voie publique est certes justifiée et les cris de la politicaillerie régimiste d’autant plus bêtes ou tartuffes – à moins que ce ne soit une nouvelle manifestation de son veule esprit de dhimmitude volontaire - que le ministre des affaires religieuses d’Algérie Bouabdallah Ghlamallah, a déclaré le 10 juillet 2010 au quotidien Le Temps, que les prières devaient se faire dans les mosquées et que, s’il n’y avait pas de place à l’intérieur de celles-ci, les fidèles devaient prier chez eux et non dans la rue.

      Quant à Marine Le Pen, sa rhétorique est pour le moins maladroite : au nom de la laïcité républicaine, elle risque de conforter la multiplication d’interdictions, par leur "république" – dont on ne répétera jamais assez qu’elle n’est pas la France mais un régime idéologique universaliste utilisant la France comme centre de diffusion – des processions ou célébrations religieuses catholiques sur la voie publique, attaquant un peu plus les fondements de la France. En effet, tout Français, qu’il soit ou non croyant, relève d’une tradition chrétienne, plus clairement catholique en France, et à ce titre, doit savoir que les seules manifestations publiques religieuses naturelles y sont celles du culte catholique qui ont pour beaucoup actualisé d'antiques manifestions païennes emblématiques de notre identité. Tout autre culte relève du domaine privé. Fustel de Coulanges, agnostique, l’avait bien compris, lui qui demanda des obsèques catholiques par respect pour la civilisation de ses pères.

 

      Mais le véritable problème n’est pas là : il réside dans le fait que, si en 1940, la Wehrmacht défilait dans Paris, si en 2010, des musulmans prient sur la voie publique et obstruent ainsi la circulation en enfreignant la loi, c’est que la France est en situation de vaincue. Le vrai problème, c’est leur république déliquescente, anti-nationale, plus préoccupée d’universalisme que de francité. Que ne soit pas assuré le renouvellement des générations des naturels Français, que l’immigration illégale déverse plus que jamais ses flux sur notre sol, que notre industrie soit toujours plus sinistrée, que les financiers et l'idéologie néolibérale exploitent comme jamais les salariés pour le profit de quelques uns, que l’inculture gagne les jeunes générations, leur république n’en a cure.

      Elle se préoccupe de savoir qui doit gouverner en Côte d’Ivoire, de recenser les propos antisémites ou négationnistes à l’étranger et de les moucharder comme ce fut le cas dernièrement en Lithuanie où Petras Stankeras fut démissionné de l’administration de cet État à la suite d’une telle dénonciation, comme le rapporte Actualités juives du 9 décembre 2010, p. 36. Oui, le vrai problème est ce régime qui affaiblit la France, la détruit depuis plus de deux siècles et qui, depuis lors, gangrène toute l’Europe. Nous savons cependant que de telles dérives ont une fin.

 

      Des bouleversements insoupçonnés nous attendent ; ils seront dramatiques mais nous savons aussi que la décomposition et la putréfaction sont annonciatrices d’un monde renouvelé et sain. Il appartient aux nationalistes, ce petit noyau de gens lucides, formés et inaccessibles au découragement d’agir pour que ce renouveau soit celui d’une France et d’une Europe fidèles à leurs traditions millénaires. Plus que jamais, cette action doit être continuée. Tel est le vœu que forme MILITANT pour cette nouvelle année 2011.

 

 

http://img443.imageshack.us/img443/576/militant625francesdf.jpg

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 21:21

      Le journal VSD (1) a fait réaliser par l’institut Harris un sondage sur les personnalités les plus insupportables. L’ami d’Arlette Chabot Marine Le Pen réussit l’exploit de se placer en 3e position, juste derrière la pasionaria rose du chabichou Ségolène Royal et le raciste franc-maçon auvergnat Brice Hortefeux. Aussi insupportables qu'ils soient, reconnaissons à Brice Hortefeux d'avoir, contrairement à Marine Le Pen, le mérite de faire expulser quelques clandestins.


      73% des personnes interrogées estiment que Ségolène Royal énerve le plus contre 70% pour Brice Hortefeux et 64% pour Marine Le Pen.

      Comble du comble, Marine Le Pen parvient à apparaître encore plus irritant que le menteur maniaco-compulsif Sarközy que seulement 63% des sondés trouvent insupportable.


      Martine Aubry et François Bayrou parviennent à dépasser de justesse les 50% de ce bien peu valorisant sondage, contrairement aux communautaires Jean-François Copé (47%), Jean-Muc Mélenchon (46%) et du violeur Dominique Strauss-Kahn (30%).

      Le premier ministre tire son épingle du jeu : bien qu’en exercice, il ne se trouve que 39% des personnes interrogées François Fillon à le trouver pénible.

 

      Sans surprise, la Communauté fait carton plein dans les médiats : Benjamin Castladi est considéré comme le plus insupportable (61%) des personnages télévisuels, presque à égalité avec Jacques Essebag (dit Arthur, 60%) et devant le grec Nikos Aliagas (55%).

      Carton plein encore du côté des couples puisque c’est sans surprise Bernard-Henri Lévy et Arielle Dombasle qui l’emportent (qui sortent par les yeux de 54% des sondés), devant Johnny et Laeticia Hallyday (50%), Bernard Kouchner et Christine Ockrent (35%) et Eric Naulleau et Eric Zemour (32%).

 

      Pour les personnalités du "show-bizz", c’est Carla Bruni-Sarközy qui emporte la palme de la plus agaçante (52%), devant Alain Delon (47%) et Gérard Depardieu (46%). Chez les sportifs, converti européen et trotzkystes dépassent converti et musulmans d’outre-Méditerranée et Africains : Franck Ribéry et Raymond Domenech obtiennent en effet 68% sur cette côte d’agacement, Anelka recueillant 64%, loin devant Zidane (31%) et Tony Parker (25%).

 

 

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29 décembre 2010 3 29 /12 /décembre /2010 17:17

      Deux terrifiantes affaires mobilisent en Alsace. Ce ne sont pas des marquages « mort aux Blancs » ou « nique la police » qui mettent colons, occupants et leurs relais médiatiques habituels en émoi, mais deux marquages présentés l’un comme « antisémite », l’autre comme « raciste ».

 

      Le représentant de la LIC(R)A en Alsace a retrouvé sur le mur de son domicile l’inscription « sale juif » (au feutre bleu, ce qui donne une idée de l’importance de "l’agression", corroborée par la photo de l’agression). Philémon Lequeux est un intellectuel au fort potentiel, comme le prouve sa rapidité à identifier le groupe criminel. En « guise de signature » se trouvait en effet « une croix entourée d'un cercle, le symbole du GUD (1), a précisé l'intéressé qui a porté plainte » rapporte les médiats.

      Ces derniers précisent que le mois dernier déjà, on avait incendié une porte de sa maison, sans que cette attaque génocidaire criminelle n’ait été rapportée dans la presse.

 

      L’UMP, que personne n’entend quand il s’agit de défendre un homme assassiné en tentant de protéger son véhicule contre un vol la semaine dernière, ni après la mort d’une jeune femme dans le métro, assassinée par un voleur, s’est indignée violemment, dénonçant la « lâcheté » [sic] d’actes « totalement scandaleux » et demandant « à la police et à la justice de tout mettre en œuvre pour que, de la manière la plus rapide, le ou les auteurs soi(en)t identifié(s) puis interpellé(s) et sévèrement puni(s) ». Les familles de victimes évoquées ci-dessus apprécieront les priorités de l’UMP.

      Lequeux, lui, se défend contre le peinturlurage infamant : « je ne suis pas juif » explicite-t-il ; la  rumeur précise que, tout protestant qu’il est, sa femme appartient bien, elle, à la Communauté. Il y a donc une certaine logique à le retrouver à Réseau éducation sans frontière comme militant de la submersion de la France.

 

« J’en ai ras-le-bol, j’ai déjà subi des menaces anonymes par e-mail et par téléphone, ça commence à faire beaucoup. Et je commence aussi à avoir peur. [...] Ceux qui font ça sont vraiment des imbéciles. En plus, je ne suis pas juif, mais ils sont trop bêtes pour imaginer qu’un non-juif puisse présider la Licra ».

 

affirme M. Lequeux. Faut-il être bête et imbécile pour préciser à ses agresseurs qu’ils atteignent leur but en lui faisant peur ?

      Ce qu’il faut espérer, c’est que ce nouveau crime contre l’Humanité n’a pas de lien avec la création à Strasbourg d’une section de la Ligue de Défense Juive ce mois-ci (ouverture qui a sans aucun doute réjouit les membres du Bloc dit identitaire (sans doute par antiphrase) (2)).

 

http://img63.imageshack.us/img63/9678/salej.jpg

(Tous droits réservés)

 

 

      Le génocide à Schiltigheim n’a pas empêché celui d'Oberhausbergen. Dans ce petit bourg colonisé d’Alsace, c’est sur la maison d’un dentiste turc qu’ont été retrouvées des inscriptions. Toujours au feutre bleu, le « sale juif » a laissé la place à un moins descriptif mais plus impératif « dehors les Turcs ». Pour faire bonne mesure, une croix gammée accompagnait l’injonction.

      A quelques jours du changement d'année, ces deux « agressions racistes » permettent une belle augmentation des statistiques. Les agressions et dégradations à caractère raciste et antisémite atteignaient péniblement la quinzaine pour 2010 dans la région strasbourgeoise.

 

      Aux dernières nouvelles, ni Alex Moïse ni le rabbin Gabriel Farhi n’ont été entendus dans ces affaires. Axel Moïse avait été condamné par la justice pour s’être envoyé de multiples menaces "antisémites". Se revendiquant du Likoud en France et de la Fédération Sioniste de France, il avait déposé notamment plainte le 9 janvier 2004 pour l’une des ces « agressions antisémites » qui n’ont jamais existé que dans l’esprit malade de leurs inventeurs. Dans son jugement, le tribunal notait qu’il y avait lieu « d'observer que la commission de ce délit est de nature à affaiblir la lutte nécessaire contre les propos ou menaces à caractère raciste et antisémite, à rendre plus difficiles les poursuites engagées de ce chef et à discréditer les intérêts protégés par les incriminations correspondantes ».

      Le rabbin Farhi avait été, lui, victime le 3 janvier 2003 d’une agression au couteau : tous les médiats avaient fait leur "Une" de ce fait divers. Mais les experts avaient été formels : la description de l’agression ne tenait pas : les coups sur les vêtements du rabbin indiquaient une automutilation. L’arme du "crime" était un laguiole, offert par le Mouvement juif libéral de France, pas l’arme d’un terroriste islamiste. Les lettres de menaces émanaient, elles, d’un membre du mouvement juif libéral de France selon les expertises graphologiques. Ni Sarközy, ni Fabius, ni Lang, ni Lustiger, ni Boubakeur, ni Balladur ni même les Français Alain Juppé et Lionel Jospin, ni aucun médiat qui, tous, avaient participé à des cérémonies et dénoncé "l’agression", n’a fait repentance pour avoir colporté ces mensonges.

 

 

 


 

1. "Groupe union défense, une organisation d'extrême droite" précise un journaliste.

 

2. Jacques Cordonnier, alsacien et membre fondateur et dirigeant du Bloc "identitaire" :

 

« La population juive fait intégralement partie du substrat alsacien. Ils sont là depuis mille ans… Nous n’avons aucun ressentiment à leur égard […] Nous appartenons à la même civilisation. [...] J’espère que nous pourrons faire chacun un pas vers l’autre et nous rencontrer… c’est urgent. [...] Je connais des militants d’Alsace d’abord qui meurent d’envie d’aller à une sortie de synagogue rencontrer des juifs alsaciens pour les supplier de nous croire… »

 

 

Pour Jeune Alsace, Fabrice Lauffenburger ajoutait :

 

« Je ne suis pas antisémite parce que je ne crois pas à la théorie du grand complot [sic]. Les juifs sont seulement un peuple politique, un peuple cérébral, voilà tout. En revanche, je crois à la puissance du courant idéologique de la gauche qui est, elle, un réseau qui existe et agit vraiment. Je ne suis pas antisémite parce que je n’ai pas de vision monolithique de la communauté juive. [...] Il faut tout remettre à plat, comme le font nos camarades flamands qui impriment des affiches en yiddish… Moi, je suis prêt à le faire, ici en Alsace… »

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20 décembre 2010 1 20 /12 /décembre /2010 10:10


« Grâce à notre totale mobilisation, globalement, la délinquance recule en France, et ce pour la huitième année consécutive. Il y a une baisse réelle des atteintes aux biens. Même si elles n’augmentent quasiment plus, les violences aux personnes restent un défi à relever. Il y a des difficultés en Seine-Saint-Denis, à Marseille et à Grenoble — où je me rendrai une nouvelle fois dans les tout prochains jours. Tous les moyens sont mobilisés et nous obtenons d’importants résultats sur le terrain. »

 

déclarait hier Brice Hortefeux au Parisien.
      Les Français seront ravis d’apprendre qu’il n’y a, en France, que de rares et éparses difficultés à Saint-Denis, à Marseille et à Grenoble, eux qui étaient déjà étonnés de savoir qu’ils ont pour ministre un homme deux fois condamnés dans l’exercice de ses fonctions et toujours en poste.

      Chacun peut juger de la probité d’un ministre qui affirme que depuis 8 ans la délinquance baisse, que les atteintes aux personnes n’augmentent plus, quand, en seulement 5 années, sont passées de 174 000, en 2004, à 240 000, en 2009.

 

http://img507.imageshack.us/img507/2943/atteintesauxpersonnes.jpg

Graphique tiré du rapport 2009 de l'Observatoire national de la délinquance, dirigé par un autre
franc-maçon notoire, Alain Bauer, nommé par son coreligionnaire Sarközy.

 


      La vérité selon les sarközystes :
les hausses de 3% en un an, de 10% en deux ans et de  37% en cinq ans  des atteintes volontaires à l'intégrité physique des personnes deviennent, dans la bouche d'un ministre d'Etat la négation d'une tragique réalité avec un "n'augmente quasiment plus".

      Ce doux euphémisme est intolérable dans la bouche d'un ministre de l'Intérieur quand il en va du bien-être des Français.

      240 000 agressions violentes contre les personnes est donc un chiffre acceptable pour lui qui ne reléverait que d'un challenge amical ?


      Les Français d'en-bas doivent donc accepter de vivre chaque jour dans la crainte d'une telle agression et se satisfaire que les violences aux personnes n'augmentent plus que de 3% par an ?


       Si Brice Hortefeux doit démissionner parce qu'il a été condamné à deux reprises, s'il doit démissionner parce que son comportement à l'égard de la communauté juive et au détriment du droit animal et du droit des Français est totalement inadmissible, il doit démissionner parce que l'insécurité permanente subie par les Français exige un ministre qui livre une guerre totale à la racaille, à l'immigration, aux communautaristes  et aux maffias.

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14 décembre 2010 2 14 /12 /décembre /2010 17:17

 

« Les Juifs ont certaines caractéristiques. [...] Les Juifs ont une personnalité très agressive, irritante et exécrable. [...] Le truc, c'est l'insécurité. L'insécurité latente. La plupart des juifs ne sont pas sûrs d'eux. Et c'est pour ça qu'ils ont besoin de prouver des choses ».

 

      Voici ce que déclarait Richard Nixon en 1973, précisant ensuite tout le bien qu’il pense des sionistes en Israël (ayant construit leur terre sur le sang et avec l’argent de l’Europe), contrairement aux Juifs américains qu’il n’aimait pas.

      Il n'y a pas qu'à propos des Juifs que l'ancien président des Etats-Unis d'Amérique s'était laissé à quelques commentaires peu amènes :

« Les Irlandais ont certaines... Par exemple, les Irlandais ne tiennent pas l'alcool. Ce que vous devez toujours vous rappeler pour ce qui est des Irlandais, c'est que [alcoolisés] 'ils deviennent mauvais. Pratiquement tous les Irlandais que j'ai connus deviennent mauvais quand ils boivent. Spécialement les vrais Irlandais ».

 

« Les Italiens, bien sûr, ces gens n'ont pas la tête bien fixée sur les épaules. Ce sont des gens merveilleux, mais... »...



      Evoquant un désaccord entre lui et son secrétaire d'État William Rogers à propos des Africains, il déclare :

 

« Il dit qu'ils sont en train de progresser et qu'après tout, au bout du compte, ils vont renforcer notre pays, parce qu'ils sont forts physiquement et que certains d'entre eux sont intelligents, et ainsi de suite. [...] Mon sentiment, c'est que je crois qu'il a raison si on parle de 500 ans. Mais je crois que c'est faux si on parle de 50 ans ».

 


      Bien plus grave, le mondialiste affirmé, soutien d’Israël, joueur de poker, ami de De Gaulle, anti-communiste qui négociera avec la Chine de Mao et la Russie Soviétique qui régnait d’une main de fer sur la moitié de l’Europe, poursuit « par des propos quelque peu confus semblant indiquer qu'il est pour une amélioration génétique de la race noire par croisements. "Il n'y a que ça qui marchera", assure-t-il. » selon l’AFP.

      Il s’était fait remarqué pourtant en parlant des « petits bâtards de Nègres » ou en rappelant que la pédérastie avait conduit la Grèce à la ruine.

 

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11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 15:15

      Le système éducatif britannique, comme l’ensemble des systèmes éducatifs à travers l’Europe est soumis à de terribles problèmes liés notamment aux diverses occupations qui accablent notre continent. La baisse du niveau est généralisée, comme les problèmes de violence ou l’endoctrinement des Européens poussés à la haine de soi.

      Mais c’est de bien plus terribles et horrifiques révélations qui nous sont apportées :

 

« Il s'appelle Mike (le prénom a été modifié), il a 18 ans. Un des meilleurs élèves en français de sa classe, très réfléchi, perfectionniste à souhait, il veut devenir traducteur plus tard. Mais voilà, la "Shoah" [sic], il ne connaît pas. Jamais entendu parler. »

 

se désole un homme présenté comme un journaliste [?], travaillant à Rue89, qui consacre à ce phénomène un très (très) long article. Il raconte sa vie passionnante d’enseignant au Royaume-Uni :

 

« Comme cette fameuse journée où je décide de parler du Front national, pour coller avec le thème du racisme qu'on me demande d'aborder. Sur la feuille que je présente, la célébrissime phrase de Le Pen sur le détail de l'histoire. Je pose une question à Mike, qui me répondra donc avec un air ingénu : "C'est quoi, les chambres à gaz ?". Oh my God. »

 

 

C’est sans doute horrifié par ashoatisme qu’il a décidé de quitter la décidément si perfide Albion antisémite pour revenir en France. Là, M. Lallemand [sic] est ravi : ce que lui et les occupants appellent la "shoah" continuera de polluer l’esprit des petits français car :

 

« En tout cas, en France, on peut se réjouir d'avoir une école qui met bien davantage l'accent sur l'ouverture au monde [sic] et à la culture générale [sic]. »

 

      Le lecteur aura traduit : l’ouverture au monde, c’est l’antiracisme. La culture générale, c’est la culture juive et ses mythes.

 

 

      En écho, les Dernières nouvelles d’Alsaceracontaient il y a peu l’histoire banale de ces 33 lycéens du Lycée Koeberlé de Sélestat choisis pour une séance d’endoctrinement. Ils n’auront pas la chance de partir en pèlerinage à Auschwitz avec Mme Pederzoli sur les traces de ses ancêtres. Ils devront se contenter d’un passage au mémorial de la "shoah" où ils rencontrent Charles Baron, un « rescapé ». Le « survivant », racontent les DNA, a faithuit camps. Le reste de son témoignage n’a pas été précisé. Parmi ces huit camps, combien de camps d’exterminations ? Deux ? Trois ?... Combien de milliers de jeunes Blancs emmenés chaque année à l’autre bout de l’Europe ou à Pairs pour y entendre de telles histoires ?

 

 

      Dans le même temps, un Programme international de l’OCDE pour le suivi des acquis des élèves (PISA) était rendu public (ici en pdf). Ce rapport, publié tous les trois ans rend compte du niveau des élèves de 15 ans dans le monde. Un demi-million d’élèves ont été contrôlés en 2009 concernant la compréhension de l’écrit.

      Les dix meilleurs à ce classement sont le territoire de Shanghaï, la Corée du Sud, la Finlande, Hong Kong, Singapour, le Canada, la Nouvelle-Zélande, le Japon, l’Australie, et les Pays-Bas.

      La France ? Elle se situe au 18e rang sur les pays 34 pays de l'OCDE, dans la moitié des plus mauvais.

      Concernant l'évolution de l'indicateur principal, notre pays se retrouve dans le dernier tiers de tous les pays examinés et toujours dans la moitié des plus mauvais pays de l'OCDE. En neuf ans, l'évolution de la compréhension de l'écrit a été négative. L'indicateur est en recul de 9 points.

      Le rapport note, concernant l'immigration, que "les élèves issus de l’immigration dits de la première génération, soit ceux qui sont nés à l’étranger de parents nés à l’étranger, accusent un score inférieur de 52 points en moyenne au score des élèves autochtones." Obligés de mentir et de traverstir la réalité, les auteurs du rapport s'empressent de préciser que certains résultats "viennent contredire la thèse selon laquelle des taux élevés d’immigration se traduiront inéluctablement par un recul de la performance des systèmes d’éducation." Ces résultats sont ceux des enfants d'immigrés au Liechtenstein, à Hong Kong à Macao et au Luxembourg. Il n'y a évidemment aucun lien entre les enfants de cette immigration de travail  qualifiée et la progéniture issue de la colonisation de peuplement auxquels sont soumis les grands pays européens.

 

 

      A défaut de savoir écrire, compter, analyser et parler, les petits français - et les autres - sortis des laboratoires de l'Éducation antinationale connaîtront par cœur les dogmes de la "shoah" et seront prêt à descendre manifester dans la rue à l’appel de leurs maîtres contre ceux qui protesteraient contre leur écrasement : c'est ce qui importe.

 

http://img600.imageshack.us/img600/1584/shoahmemoirechard.jpg

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 17:35

      Présentation du club oligarchique sectaire français "Le Siècle" sur Radio Courtoisie par Serge de Beketch & Emmanuel Ratier.

      Rappelons que chaque dernier mercredi du mois, les membres de ce club mondialiste se réunissent à l'Automobile Club de France à l'hôtel Crillon (place de la Concorde, VIIIe arrondissement de Paris). Chaque dernier mercredi du mois des militants se mobilisent pour dénoncer cet événement.


Première partie :


 



Seconde partie :






Troisième partie :

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6 décembre 2010 1 06 /12 /décembre /2010 17:17

      Voici un article de Xavier Rauffer publié dans Le Nouvel économiste le 2 décembre 2010, sur la manipulation américaine et médiatique du djihad et d’un islam radical agonisant.

      Il est particulièrement intéressant à l’heure ou le mouvement nationaliste et identitaire est manipulé par les éléments francs-maçons, sionistes ou républicains (Riposte Laïque, Bloc "Identitaire", UMP, etc.) faisant accepter à la France l’immigration, la présence des Juifs, le laïcisme et la République au nom de la lutte contre l'"islamisme". Islamisme totalement marginal comparé à la vague migratoire qui submerge l’Europe et aux terribles ravages du matérialisme, du marxisme, du laïcisme, du féminisme, de la République et du laïcisme en France et en Europe.

 

 

 

 

      Les faits démontrent l’immense écart entre l’affolement politico-médiatique et la débandade djihadiste. Le djihad planétaire n’existe plus, 95% de ce qu’on nomme ainsi relevant plutôt de la guérilla patriotique ou de la résistance à l’oppression - vouées pour l’essentiel à cesser quand ces occupants et oppresseurs partiront.

 

      Vers la fin d’une finale de championnat d’échecs, le connais­seur, jusqu’alors pétrifié par l’attention, se lève et murmure en par­tant : « Les noirs gagnent en cinq coups. »

      S’agissant de l’immense et sanglante aventure du courant salafiste-dji­hadiste, et alors que la première décennie du XXIe siècle tire à sa fin, nous en sommes là. Pour ce fanatisme droit issu des terribles trauma­tismes de l’an 1979 (révolution islamique en Iran, conquête par des fondamentalistes des lieux saints de La Mecque, invasion d’un pays musulman, l’Afghanistan,par l’Union soviétique), la partie est perdue. Cela, seules de régulières crises d’hystérie médiatique et un répétitif et abusif usage du principe de précaution par des puissances apeurées ou manipulatrices, nous interdisent de le réaliser pleinement.

 

      Car l’observation attentive des faits, la prise en compte pleine et en­tière de la réalité, révèlent vite l’insondable gouffre désormais béant entre l’affolement politico-médiatique et la manifeste débandade d’un courant djihadiste aujourd’hui plus proche du phénomène de persistance rétinienne que de la menace majeure. Ainsi, oublions les titres affolants (« Al Qaida menace Paris ! ») et exposons plutôt d’incontestables faits.

 

      Quelle est la seule activité palpable d’entités terroristes, sinon clandestines et pétries de secrets ? L’attentat, la bombe, l’embuscade, l’homicide. Tout le reste est hypothétique, peut être falsifié ou manipulé – seul l’attentat est indéniable. Mais à trois conditions : d’abord, être indubitablement islamiste ; ensuite, être signalé à la fois par de grandes agences de presse et des médias locaux ; enfin être grave (un mort minimum dès sa commission).

      Du 1er janvier à fin octobre 2010, à l’échelle mondiale, la base docu­mentaire de notre Département de recherches (www.drmcc.org) recense 1 045 de ces attentats graves. 522 en Irak, 174 au Pakistan, 165 en Afghanistan, 133 en Somalie, 36 au Yémen, 8 en Algérie, 6 en Thaïlande et 3 en Ouganda. Sur 1045,997 ont frappé les trois champs de bataille planétaires : Afghanistan/ Pakistan, Irak, Somalie/ Ouganda. Moins de 5% des attentats djihadistes ont été perpétrés ailleurs dans le monde, hors guerre civile ou résistance à l’occupation militaire. Dès lors et dans les faits, il est clair que le djihad planétaire n’existe plus. 95% de ce qu’on nomme ainsi relevant plutôt de la guérilla patrio­tique ou de la résistance à l’oppression – vouées pour l’essentiel à ces­ser quand ces occupants et oppresseurs partiront.

      Également, il n’est pas de mois sans qu’un grand nom de l’islamisme radical, prêcheur, docteur de la foi etc. ne renonce à la violence ar­mée. De La Mecque à Londres, les fatwas antiterroristes fleurissent, publiées par d’ex-complices ou admirateurs de Ben Laden, comme le palestinien-jordanien Abu Muhammad al-Maqdisi (de son nom Isam Mohammad Tahir al-Burqawi) ou Noman Benotman, chef du Groupe combattant islamique libyen, naguère étoile majeure de la galaxie al-Qaida. Même le plus grand "télévangéliste" musulman, Cheikh Yusuf al-Qardawi, proche des Frères musulmans et qui ap­prouvait naguère les attentats-suicides visant les civils irakiens, tonne désormais dans ses prêches contre « ceux qui tuent à l’aveu­glette et donnent à l’islam la pire des réputations ».

 

      Voilà pour le contexte. Voyons maintenant ce que, de nos jours, fait concrètement "al-Qaida". Pour pouvoir comparer, remontons un peu en arrière. Istanbul, novembre 2003 : 4 attentats, 63 morts, dont le consul britannique; Madrid, mars 2004 : 191 morts à la gare d’A­tocha ; Londres, juillet 2005 : 3 attentats visant des transports en commun, 52 morts, 700 blessés. Telle était, au début de notre dé­cennie, la terrible efficacité d jihadiste.

 

      Aujourd’hui et depuis deux ans déjà, al-Qaida accumule les échecs. Taux de réussite : zéro. Déjouées en amont, les tentatives d’atten­tats aériens échouent les unes après les autres (dont, fin 2009, celle de l’étudiant nigérian Umar Farouk Abdulmutallab). Par ailleurs, quelques déséquilibrés armés de couteaux de cuisine s’en pren­nent, de ci de là, à des dessinateurs ou à des cinéastes.

      Arabie Saoudite : matés par la police du prince Nayef ben Abdela­ziz,le ministre de l’Intérieur, les djihadistes ont fui au Yémen. Dans le monde malais (Indonésie, Malaisie, Philippines) les groupes is­lamistes sont traqués, parfois en déroute.

      En mai 2010, les djihadistes sont écrasés à Gaza par le Hamas. Le même mois, un primitif véhicule piégé, bricolé par un maladroit, fait long feu à New York. De loin en loin, de grossiers colis piégés sont expédiés de façon si inepte, qu’ils sont neutralisés avant d’exploser – ou de foirer. Le djihad mondial réduit à imiter « Unabomber » ! Pas vraiment de quoi pavoiser.

 

      Et la relève ? Les jeunes générations ? De France ou d’ailleurs en Europe, de rares fanatiques juvéniles font le pèlerinage afghan – la plupart étant repérés et arrêtés dès leur retour.

      Pire encore pour Ben Laden : par pans entiers, ses fidèles dégénè­rent et sombrent désormais ouvertement dans le crime organisé : en témoigne l’explosion des vols à main armée et des kidnappings en Irak, mais surtout, la situation au Sahel, où les moudjahidine d’ « al-Qaida au Maghreb islamique » Aqmi pratiquent toujours plus le commerce des otages, le mercenariat au profit des tribus locales – et même le trafic de stupéfiants ou de cigarettes. Au point d’être ainsi ironiquement décrits par un responsable de la sécurité en Al­gérie: « Abou Zaïd, c’est djihad le jour et Marlboro la nuit. »

 

      Ainsi donc, Ben Laden peut finalement se targuer d’une seule – mais importante – victoire : avoir obnubilé le gouvernement des États-Unis et de grands médias mondiaux, au point qu’une boîte en carton garnie de fils électriques et d’une pile de 3,5 volts suffit désormais à semer la panique et à quasiment paralyser le trafic aérien mondial. Pourquoi ? Comment expliquer cette obsession américaine et jour­nalistique du djihadisme ? Sans doute un effet médiatique du « pa­radoxe de Tocqueville », lequel remarquait dès le XIXe siècle que, socialement, plus un phénomène désagréable diminue, et plus ce qu’il en reste devient insupportable.

 

 

      Ouvrons cependant les yeux car, dit le philosophe Clément Rosset, « la réalité est insupportable, mais irrémédiable ». De­puis les années 70 du XXe siècle, le monde a connu trois grandes vagues terroristes. La première, celle des Orga­nisations communistes combattantes (Brigades rouges, etc.) est retombée avant même la chute du Mur de Berlin.

      La seconde vague, celle du terrorisme moyen-oriental (Abou Nidal, etc.) reflua peu après, lors de l’abolition de l’ordre mondial bipolaire. Vers 1980,la vague salafiste-djihadiste a commencé à enfler. Son apo­gée aura sans doute été le 11 septembre 2001. Depuis, elle tente sans cesse de revenir, mais s’affaiblit à mesure. Bien sûr des attentats dji­hadistes surviendront encore – le crocodile agonisant donne de ter­ribles coups de queue. Mais le temps approche où l’on pourra appliquer en confiance, au djihad de Ben Laden,la jolie formule de Heinrich Heine (dans Religion und Philosophie) : « Entendez-vous la cloche tinter ? A genoux ! On apporte les sacrements à un dieu aganisant. »

 

Xavier Raufer.

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29 novembre 2010 1 29 /11 /novembre /2010 11:11

      Il y a trois ans, Sarközy l’assurait : lui élu, plus une personne ne dormirait dehors en France. Plus un clochard ne crèverait de froid dans la rue.

 

 

 

      Il a été élu, depuis trois ans. Et pas plus cette promesse-là, que ses promesses sur la sécurité ou sur les retraites n'a été tenue.

 

      Vendredi, une femme âgée d’une quarantaine d’année est morte dans une rue de Marseille. Personne ne connaît son nom, ni son âge.

 

      Le « samu social » a confirmé qu’elle était morte de froid en précisant que ses services ne la connaissaient pas.

 

 

      Sarközy n’est pas le seul à se moquer du sort des Français – et des autres – qui vivent dans la rue. Roselyne Bachelot avait montré elle aussi tout l’intérêt qu’elle portait aux plus pauvres des Français.

 

 

 

 

      Ce même vendredi, le président de l’Olympique de Marseille annonçait un grand acte de générosité de la part de l’actionnaire principal de ce club de football. Margarita Louis-Dreyfus a, veuve de Robert Louis-Dreyfus, décidait, après la victoire de cette équipe face au Spartak Moscou, de doubler la prime de match.
      Chaque joueur a ainsi touché plus de 430 000 francs [66 000 euros].

      Au total, le club a déboursé 8,7 millions de francs [1,32]

 

« On ne s'était pas qualifiés en huitièmes depuis la nuit des temps, les joueurs sont venus naturellement me demander si je pouvais faire un effort. Il n'y avait aucune obligation. Avec Margarita Louis-Dreyfus, Vincent Labrune et Antoine Veyrat, on a estimé que c'était bien de le faire. On en a les moyens, on ne met pas en danger les finances du club. »

 


      Cela représente 982 mois de salaire au SMIC.

      Cette prime de match aurait suffit à payer un « sans domicile fixe » pendant 40 ans, charges patronales comprises.

      Un peu moins en produits dopants, en drogues et en prostituées.

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27 novembre 2010 6 27 /11 /novembre /2010 13:13

Lettre du professeur d'histoire au journal du système La Provence limogé par le ministre de l'Education nationale en personne pour un cour sur l'avortement dans lequel il avait mis à disposition des élèves, entre autres, des arguments pro-vie.




       Je tiens à vous faire part de mon indignation devant le lynchage médiatique dont j’ai fait l’objet dans ce journal.

      Tout d’abord, je suis écoeuré par votre manque de déontologie car, au nom du principe d’équité, vous auriez du me consulter pour recueillir mon avis, avant parution. D’autant plus que l’administration a du vous informer que mon fils aîné, âgé de 11 ans, a été renversé et très gravement blessé vendredi dernier. Je suis resté à son chevet jour et nuit jusqu’à maintenant, à l’hôpital à Marseille et je viens d’avoir connaissance de votre « article ».

      Vous n’avez même pas tenté de me joindre par téléphone ou mail, contrairement à vos allégations.

      C’est du fait de cet accident que je n’ai pu me rendre au rectorat mercredi. Sur le fond, je tiens à vous préciser que j’ai organisé, comme on me l’ordonne en éducation civique, juridique et sociale, des débats sur des sujets de société. Ce qui suppose d’utiliser, contrairement à vous, des sources contradictoires.

      L’un de ces débats, proposé à toutes mes classes soit 113 élèves cette année, concernait l’avortement. Il avait été annoncé à l’avance.

      Les élèves pouvaient évidement apporter toutes sources de leur choix, sans tabou ou interdit, pour étayer ce débat. Par ailleurs, le planning familial est intervenu dans toutes mes classes, pour faire l’apologie de l’avortement.

       J’ai utilisé des sources variées suivant les classes : l’image d’un foetus à 12 semaines (neutre donc), texte de la loi Veil, discours de Mme Veil au moment du vote de la loi de 1975 (documents pro-avortement donc, en complément du planning familial), et documentaires vidéo (Sois un homme, No need to argue).

       Concernant ce dernier documentaire, j’ai prévenu les élèves que, décrivant les procédures d’avortement, il était difficile à voir et j’ai invité ceux qui le souhaitaient à sortir. Ce que quelques élèves, une infime minorité, sur les 113 ont fait. Ceci afin de respecter la sensibilité de chacun.

       Par ailleurs, le Rectorat a fait envoyé une lettre à toutes les familles, dans laquelle mon enseignement en ECJS était mis en cause et des accusations graves et injustes portées contre moi. Ceci dans le but de receuillir des témoignages et dénonciations m’accablant. Pratiques qui font penser plus aux régimes totalitaires nazi et soviétique qu’à une démocratie.

       Enfin, une classe m’a remis une pétition de soutien, signée par tous les élèves et, qu’avec leur accord, je divulguerai, accompagné du texte rédigé par eux (34 élèves sur 34).

       Je précise que l’inspection-sanction à la suite de ces débats s’est faite au mépris des lois de la République. Je n’ai été prévenu que le jour même, d’une double inspection, dans deux classes, sur deux heures et deux matières. Alors qu’il est réglementairement prévu de prévenir un professeur plusieurs jours à l’avance.

       J’ai encouragé tous les élèves s’exprimer librement,dans le respect d’autrui et la tolérance. Mais, sur le sujet douloureux de l’avortement, il est interdit de décrire, de tenir compte de la science, de faire preuve de rigueur et d’esprit critique. Seule doit être enseignée et imposée aux élèves l’idéologie de l’Etat. Qui présente l’avortement comme un droit. Et impose à la population de penser comme lui. Ce même état qui souhaite que l’on note les opinions des élèves-et des professeurs- dans le cadre de l’ECJS afin de pouvoir s’assurer une population docile et servile. Certes, M. Chatel, on peut licencier un professeur par intolérance, et haine anti catholique… et en raison de ses convictions religieuses présumées. Mais peut-on arrêter une idée ?

       Quand vos sanctions et discriminations auront échoué, M. Chatel, quelle est la suite des réjouissances dans votre meilleur des mondes ? Qu’est ce qui attend les élèves et les professeurs qui ne pensent pas comme vous, Monsieur le Ministre ? Le goulag, le bûcher, ou la chambre à gaz ?


La vidéo diffusée par le professeur :

 

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