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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 23:28

      Plusieurs dizaines d'islamistes se sont rendus sur le parvis de l'hôtel de ville d'Epinay-sur-Seine hier. Ils y ont organisé une prière publique : sans aucune réaction des autorités, un imam a lancé un tonitruant appel à la prière, pendant que les musulmans présents s'installaient sur leurs tapis et lançaient des  "Allah Akbar".

 

      Cette manifestation publique et illégale fait suite à la fermeture d'une mosquée suite à de graves troubles à l'exercice du culte et à l'ordre public.
      L'affaire fait suite à des querelles d'influence entre courants islamistes, dans cette mosquée qui est la propriété de la mairie d'Epinay. Après la démission du précédent gestionnaire, le nouvel imam a été boycotté par une partie des occupants de la région, qui l'ont menacé physiquement. Il avait été nommé par la mosquée de Paris, influence que dénoncent les musulmans à Epinay. Des violences auraient été commises contre lui.


       Les manifestants d'Epinay ont publié le communiqué suivant, particulièrement menaçant :

 

Toute la communauté musulmane est concernée car il s'agit d'envoyer un message très fort aux politiques de ce pays ; il n'y aura jamais d'islam de France ! Il y a un seul et unique islam, pratiqué majoritairement dans notre pays, par des citoyens français musulmans. Car nous en profitons pour rappeler, qu'au grand damne de la République et de nombreux de nos concitoyens, aujourd'hui l'enracinement et la visibilité de cette religion n'est pas le fait de l'immigration mais bien le fait de l'existence sur notre territoire de citoyens français musulmans toujours plus nombreux ! Et c'est cela qui fait toute la différence, car si les premières générations de musulmans n'osaient pas se manifester et réclamer leurs droits, aujourd'hui les Français musulmans entendent être respectés exactement dans les mêmes proportions que leurs concitoyens ! Ni plus ni moins !

 

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25 novembre 2010 4 25 /11 /novembre /2010 09:09

      Il y a trois ans, dans un train de la banlieue parisienne, la jeune Anne-Lorraine Schmitt, 23 ans, succombait aux coups de couteaux d’un criminel récidiviste.

 

      L’homme, l’étranger Thierry Deve-Oglou, avait déjà été condamné pour viol, sur la même ligne ferroviaire, et déjà commis sous la menace d’un couteau. Il n’avait été condamné pour ce crime qu’à trois ans de prison ferme. C’est pour s’être défendue qu’Anne-Lorraine est morte ; surtout parce qu’un régime criminel a laissé en liberté sur notre sol un criminel étranger qui n’y avait pas sa place. C’est les 13, 14, et 15 décembre prochains que sera jugé le criminel étranger Deve-Oglou ; il ne risquera pas la peine de mort, qui n’est appliquée, en France, qu’aux victimes innoncentes.

 

       Anne-Lorraine aurait eu 26 ans.

http://img220.imageshack.us/img220/7741/bougieok.jpg


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18 novembre 2010 4 18 /11 /novembre /2010 14:14

Voici extrait de l'ouvrage de Lucien Rebatet paru aux Editions de La Reconquête, Les Etrangers en France (*).


 

      Tous les journalistes, au cours de leur carrière, ont reçu quelques lettres datées de Port-au-Prince, de Fort-de-France, et dont la signature, au prénom fleuri, ne laisse aucun doute sur la race du correspondant. Je pourrais en citer pour ma part une demi-douzaine. Elles contiennent, en termes divers, les mêmes doléances, vives, surtout en Haïti. Ces braves gens se plaignent que nous les négligions. Nous ne leur adressons que des rossignols de librairie, des films éculés, dont ils sentent très bien le ridicule. Hollywood, au contraire, les inonde de ses derniers succès. Mais ils ne veulent pas apprendre l’anglais. Ces noirs refusent, aussi rigoureusement que les Canadiens, de se laisser américaniser. Cette fierté, ce souci de leurs vieilles traditions françaises, sont très touchants. Si nous demeurons, aux îles comme dans tous les autres pays, incapables d’organiser notre propagande, nous avons offert une assez large compensation aux Antillais, sujets français ou non, en ouvrant à leurs fils, surtout depuis la guerre, nos écoles et nos universités.

      Ces grands et joyeux garçons, très communicatifs, beaucoup plus mêlés que les Jaunes à la vie de leurs camarades blancs, constituent, avec les troupiers, l’essentiel de la colonie noire de Paris (trois ou quatre mille membres environ). Le reste de cette colonie est formée par un petit prolétariat de manœuvres, de chauffeurs, d’artisans, enfin par la troupe des messieurs dont les occupations hésitent entre le jazz, la boxe et le vagabondage spécial.

      Je parlais, au début de cette enquête, du cosmopolitisme nécessaire du Quartier Latin. Rien ne le justifie mieux, en apparence, que le cas de ces exotiques. On peut se demander pourtant si l’accueil, de plus en plus large, qui leur est fait, répond exactement à leurs intérêts. Nos universités devraient recruter, parmi les étudiants de l’extérieur, ceux qui ont déjà acquis chez eux une formation équivalant à notre licence, et qui viennent surtout nous demander un perfectionnement, une spécialité, ceux qui, par leur intelligence ou leur état de fortune, sont appelés à jouer dans leur pays un rôle de premier plan. Les jeunes Antillais affluent chez nous, sitôt après leurs études secondaires (quand ils ne les ont pas faites dans nos lycées), parce qu’ils ne possèdent aucun autre centre intellectuel. Souvent aussi l’attrait d’un séjour à Paris suscite chez eux des vocations médicales ou juridiques d’une solidité ou d’une utilité douteuses. Nous confectionnons ainsi une armée d’avocats, de journalistes et de médecins, appelée, à son retour dans les îles qui n’ont aucun besoin d’elle, à bien des déboires.

       Ces garçons suivent avec une passion atavique nos querelles de partis. Leur politique a gagné, par notre exemple, de se corrompre, de s’embrouiller davantage encore, si cela est possible. Je sais que l’extrémisme ne les a guère marqué jusqu’à ce jour. Pourtant, c’est un intellectuel antillais qui a été l’instigateur de La Voix des Nègres, le journal communiste et anti-impérialiste, où l’on réclame le soulèvement de la Guyane, de la Martinique, de Madagascar et du Sénégal contre le tyran français.

      Il va de soi que notre climat est plein de risques pour ces pays chauds. Nous en avons tous connu, lamentablement délabrés, au physique comme au moral, après un ou deux hivers de brumes. Il faut bien dire aussi que ces danseurs et joueurs nés sont poussés vers les milieux les plus interlopes. Ce qui n’était que sensualité et nonchalance sous les tropiques devient chez nous dépravation. On est étudiant depuis six, sept années. On veut arrondir ses mensualités, on joue du saxophone ou on tient la batterie dans quelque boîte. C’est la pente vers le trafic des femmes et de la drogue. Le souteneur noir de la place Pigalle, qui vient beaucoup moins rarement qu’on ne l’imagine de l’armée ou du Quartier Latin est, par malheur, un personnage très parisien. Celui-là, on s’en doute, nous reste pour compte, sans aucun espoir de retourner aux îles. La création, chez les Antillais, d’une université française, mieux adaptée à leurs besoins que les nôtres, eût été un encouragement à leur culture et leurs traditions plus flatteur pour eux, plus rationnel et utile que leur interminable et hasardeux apprentissage en Europe.

      Notre ami Lucien Dubech s’amusait un jour du poncif qui exige qu’un auteur dramatique, pour indiquer chez son héroïne le dernier degré de la perversité, lui fasse mettre un nègre dans son lit. Ces caprices de dames mûres devraient toujours appartenir au vaudeville. Mais notre confrère Edouard Helsey, dans une enquête sur l’Afrique occidentale, a raconté un roman qui ne relève plus des curiosités spéciales. C’est celui de la petite boutiquière, de l’employée éprise d’un superbe tirailleur, de famille royale bien entendue. Les parents, « qui n’ont aucun préjugé », consentent à une union. Un an plus tard, ils s’aperçoivent que leur gendre était un voyou de Dakar, que la vie de leur enfant a été marqué d’une aventure amère et grotesque.

      Il arrive que l’on rencontre aux alentours des casernes, le ménage légitime d’une blanche apparaissant le plus souvent comme une domestique campagnarde et d’un Sénégalais, d’un sous-officier martiniquais, d’un Malgache affecté aux sections d’infirmiers ou d’intendance, exécrable soldat, mou et vicieux, dont la peau prend, sous notre ciel, d’affreuses couleurs blettes, vert-de-grisées. Ces cas ne sont pas assez fréquents pour que les démographes en tiennent compte, pas assez isolés pour faire retourner la tête des badauds. Mais ne signifient-ils pas que les doctrines égalitaires ont fait, chez nous, leur chemin dans les plus humbles cervelles au détriment du sentiment racial ? Il est regrettable qu’aucune disposition légale ne mette entrave à ces unions, dont on ne peut pas imaginer l’avenir sans pitié. Passe encore pour le temps où l’homme a son uniforme, ses galons. Mais ensuite ? La femme l’accompagnera-t-elle en Afrique, pour se trouver vis-à-vis des autres blancs dans la plus humiliante condition ? Soit ici, soit à la colonie, les enfants risquent d’être le plus souvent des déclassés. Leur situation sera de toutes façons bien inférieure à celle des métis nés d’un père français qui a pu les reconnaître, les guider, les établir.

       Je ne trouve pas si ridicule que la seule idée d’un noir, maître et seigneur d’une femme blanche, soit devenue une phobie chez les Américains, car elle est vraiment contre nature. Nous n’aurions pas connu ces tristes mariages sans le stationnement en France des contingents indigènes, dont ce n’est pas le seul inconvénient. Demandons l’avis des officiers coloniaux. Ils diront tous qu’après quelques mois de service en France, en dépit de toutes les précautions, un impeccable bataillon sénégalais n’a plus les mêmes qualités militaires, que l’ancien soldat noir revenu de la métropole devient neuf fois sur dix un insupportable vaurien. On n’ignore pas que ces troupes indigènes ont été appelées chez nous pour suppléer à la faiblesse de nos contingents. Mais dans ce cas, c’est la loi d’un an, une fois de plus, qui a tous les torts.

 



Lucien Rebatet, Les Etrangers en France, Editions de La Reconquête, 152 pages (28 euros + 10 euros de port courrier avion AR aux Editions de la Reconquête ou dans les librairies diffusant l'ouvrage : Primatice (10 rue Primatice, 75013 Paris - 01.42.17.00.48, primatice@wanadoo.fr ; Librairie France Livres (21 rue Monge, 75005 PARIS - 01.43.25.36.67, librairiedupetitpont@free.fr ; Librairie Dobree (14 rue Voltaire, 44000 Nantes - 02.40.69.84.84 - info@librairiedobree.com).
Les Editions de la Reconquête sont dirigée par Philippe Régniez qui participe à la rédaction de Club Acacia.

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17 novembre 2010 3 17 /11 /novembre /2010 17:17

      « A l’heure actuelle, l’Europe compte plus de 5 millions d’immigrés clandestins et leur nombre tend à augmenter. » Cette déclaration a été faite à Sotchi (mer Noire) le 5 octobre dernier, par Nicolaï Patrouchev, le secrétaire du Conseil de sécurité russe et sur base des données fournies par l’UE.

       Et ce haut responsable de l’administration russe ajoutait : « on s’attend à une augmentation de 350 à 500 000 personne par an » lors de cette réunion des représentants des Conseils de Sécurité de 44 pays. En conclusion de son intervention, N. Patrouchev insistait : « Il est nécessaire de mettre en place des accords intergouvernementaux sur l’accueil et le rapatriement des immigrés illégaux et de prendre des mesures de prévention conformes ».

 

 

La Belgique, terre d’accueil, caverne d’Ali Baba ou vache à lait ?

 

      9,1% des habitants du plat pays sont des étrangers, et un tiers proviennent du Maghreb. Mais depuis 1970 plus de 900 000 ont été naturalisés et tous les ans 40 000 immigrés obtiennent la nationalité belge, ce qui place notre pays au 5ème rang (sur 27) des naturalisations en Europe ! Parmi tous ceux qui deviennent « belge » beaucoup conservent leur nationalité d’origine, ce qui autorise certains abus…

 

      Mais ce qui est scandaleux réside dans le fait que, parmi les dizaines de milliers de dossiers de demandeurs d’asile que reçoit l’Office des étrangers tous les ans, plus de 80% sont fantaisistes ou farfelus ! Et pendant les mois (ou les années) que dure l’instruction de leur dossier, ces étrangers vivent aux frais de la société et leurs enfants squattent nos écoles alors que souvent les parents vivent de nos subsides… pendant que 1,5 millions de nos compatriotes, eux, survivent avec moins de 800€ par mois ! Stop ou encore ?

      Durant l’examen de ces dossiers de demandes d’asile, c’est FEDASIL qui doit prendre en charge le logement et la subsistance de tout de monde. Depuis de longs mois, cet organisme est totalement débordé par le tsunami migratoire et selon une récente déclaration de Mieke Candaele (porte-parole de Fedasil) parue dans Gazet van Antwerpen « un demandeur d’asile coûte moins cher si on le loge à l’hôtel (36€) que s’il se trouve dans un centre d’accueil (53€). Pour la fin de 2010, plus aucun demandeur d’asile ne sera hébergé dans les hôtels. »

 

 

Combien çà coûte ?

 

      Au 1er mai 2010, FEDASIL avait la charge de 18 882 personnes, dont 16 579 dans ses centres et 1 024 logés dans les hôtels. Dépenses quotidiennes :

      1 024 en hôtel X 36€ = 36 864€/ jour

      16 579 en centres X 53€ = 878 687€/ jour

      TOTAL = 915 551 €/ jour, soit 334 millions par an !

 

      Et une récente décision du Conseil des Ministres augmente de plus de 4 000 le nombre de places dans les centres d’accueil… soit une dépense supplémentaire de 212 000€ par jour et 77,4 millions € par an !

      C’est pourquoi FEDASIL réclame un budget de 430 millions € pour 2011…

      N’oublions pas non plus que des dizaines de milliers de dossiers de régularisations de clandestins sont toujours en suspend, suite à l’accord gouvernemental entre partis de mars 2008, qui est un phénoménal incitant à venir en Belgique pour tous les « sans papiers » de la planète, parce que obtenir un permis de séjour chez nous, ouvre le droit au minimex ou à défaut le paiement d’allocations distribuées par les Centres Publics d’Aides Sociales.

 

 

L’Europe n’est pas le dépotoir de l’Afrique, Bruxelles n’est pas la poubelle de l’Europe !

 

      Les prophètes du multiculturel et du pluriethnique sont ceux qui depuis trop longtemps ne cessent de nous culpabiliser et de vanter les bienfaits d’un « melting-pot » véritable génocide de nos peuples. Nous devons nous libérer de ces saboteurs qui nous ont mené d’échecs en désillusions, de mensonges en félonies, de trahisons en défaites.

 

      Nos ennemis se trouvent dans toutes les strates administratives, économiques et politiques de nos sociétés, régionales, nationales et européennes. Le point d’orgue de la décadence, du déclin et de la décrépitude de notre civilisation a été atteint ce 28 octobre 2010 à Bruxelles.

 

 

      Jugez-en : «  A la requête d’un Congolais, demandeur d’asile arrivé en Belgique le 18 août 2010, le tribunal du travail de Bruxelles a condamné l’Agence Fédérale pour l’Accueil des Demandeurs d’Asile (FEDASIL) à lui verser 500 € pour chaque journée durant laquelle Fedasil ne lui aura pas trouvé un logement (éventuellement une chambre d’hôtel). Le requérant a fait exécuter la condamnation. Il a chargé un huissier de saisir chez Fedasil 15 ordinateurs et 4 véhicules Peugeot pour un total de 15.980 € correspondant aux 31 jours « sans logement » depuis le 19 août, augmentés des frais divers ! ! ! »

Pour ce Congolais, la Belgique est le pays du jackpot permanent.

 

      Si l’on en croit un article de l’hebdomadaire Jeune Afrique du 18/01/2010, le PIB par habitant et en dollars US a évolué de la manière suivante dans les pays ci-dessous :

 

Sénégal 257 $ en 1960 et 1 030 $ en 2010. Gabon 291 $ en 1960 et 8 624 $ en 2010

Niger 147 $ en 1960 et 402 $ en 2010. Congo Brazza 130 $ en 1960 et 3 142 $ en 2010

Tchad 106 $ en 1960 et 806 $ en 2010. Madagascar 132 $ en 1960 et 424 $ en 2010.

Mali 65 $ en 1960 et 684 $ en 2010. Mauritanie 102 $ en 1960 et 1 084 $ en 2010.


 

      Tous ont donc multiplié leur PIB respectif par habitant, par 3, par 4, par 8, par 10 et même par 24 et par 30 pour le Congo Brazzaville et le Gabon.

      Mais qu’en est-il donc pour la République Démocratique du Congo (ex-Congo belge, ex-Zaïre) ?

      En 1960 le PIB par habitant se chiffrait à 222 $ par an et en 2010, ce même PIB annuel par habitant était de 184 $: un recul de 20% !!! Cherchez l’erreur...

 

      Le « demandeur d’asile » Congolais, arrivé en Belgique le 18 août 2010 et bénéficiant depuis le 19 août 2010 de 500€/ jour, s’est retrouvé 1 mois plus tard avec un capital d’environ 16 000 €, soit l’équivalent d’environ 22 000 $, ce qui correspond « en gros » à 100 ans de PIB/ habitant en R.D.C, mais sur base non dévaluée de 1960. Avec un tel traitement de l’ancienne puissance coloniale, pourquoi donc suer et trimer à Lubumbashi, Kamina ou Bukavu ?

 

      Oui ! En Europe, en 2010 il est possible pour un immigré de gagner en 1 mois sans travailler, ce qu’il gagnerait chez lui en 20 ans – au minimum – en travaillant, dur.

 

      Ceci est le résultat de laxisme, d’irresponsabilité, d’hypocrisie, d’incompétence, de suffisance, de clientélisme et de corruption additionnés.

 

      D’une manière ou d’une autre, il faut mettre la mafia socialo-libero-democrato-ecologiste hors d’état de nuire, cette fratrie maléfique qui a gangrené toutes les administrations et les partis politiques d’Europe.

 

      Curieusement, une adepte de l’atlantisme tout azimut vient d’ouvrir un œil : le samedi 16 octobre 2010 la chancelière allemande Angela Merkel avouait « l’approche Multikulti a échoué, totalement échoué ! » C’est un bon début et ce diagnostic nous, nationalistes, nous l’avions pronostiqué depuis des lustres. Maintenant nous attendons les mesures que pourrait envisager l’État-major aux commandes du Conseil de L’Union européenne afin de renverser la vapeur et de réparer les dégâts infligés à nos peuples par le « multikulti ».


http://img339.imageshack.us/img339/3874/congocheztintinok.jpg

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1 novembre 2010 1 01 /11 /novembre /2010 22:22

      Le Parti des immigrés racistes ne masque plus son racisme antiblanc ni sa haine de la France. En témoigne la campagne déclenchée par ce parti de l’étranger « Touche à ma nation ».

      Voici comme le PIR (Pari des indigènes de la République) présente cette campagne sur son site :

 

« En ce premier novembre, où nous célébrons le déclenchement de la Révolution anticoloniale en Algérie, quelques mois après la magnifique victoire de nos frères vietnamiens à Dien Bien Phu, le PIR lance une vaste campagne de mobilisation contre l’islamophobie et la négrophobie dont le moment fort sera la Marche du 8 mai prochain à Paris. Contre les conceptions ethniques de la nation, défendues sans complexe par l’actuel gouvernement, et les manipulations des pseudo-antiracistes comme SOS-Racisme et Bernard-Henri Lévy, cette campagne sera également l’occasion de réaffirmer notre détermination à décoloniser la République et la notion de "nation" qui lui est attachée. Ci-dessous, vous trouverez notre déclaration, intitulée "Touche à ma nation ! Rebeus, Renois, tous solidaires... Et vous ?", qui définit les grandes lignes de cette campagne ».

 

 

      Le racisme est omniprésent, sous prétexte de lutter contre la "négrophobie" et "l'islamophobie". Il suffit de regarder l’affiche et de constater que les Européens ont déjà été éliminés. Ce processus de haine du Blanc est a mettre en parallèle avec l’action parallèle du système des publicitaires, ennemis de toujours de la France et de son essence, qu’il s’agisse de Maurice Lévy, directeur de Publicis ou simplement de ce haut patronat complice de toutes les trahisons et de toutes les ignominies. Pour ceux-là, la disparition de la France passe par le métissage. Pour ceux-ci, c’est l’élimination pure et simple par la colonisation de peuplement. Pour ces étrangers pour qui la France n’est déjà plus une terre européenne, mais déjà une colonie d’un pays « islamo-négre » pour reprendre leurs propres termes qui n’existent que dans leurs têtes de malades. Traîtres et étrangers unis dans le même processus quoi que prétende le PIR.

 

      Racistes, mais menteurs et manipulateurs : le PIR est toujours certains : SOS Racisme serait ainsi « une parole de Blanc adressée à des oreilles de Blancs ». Blanc Julien Dray ? Blanc Harlem Désir ? Blanc Fodé Sylla ? Blanc Malek Boutih ? Blanc Dominique Sopo ? Ce sont là pourtant les fondateurs et présidents de cette association.


Mais les vérité, qu'elles soient politiques, historiques ou autres n'importent pas : chacun peut s'en convaincre à la lecture des extraits. Ce qui compte c'est détruire, en choeur avec le système, la France et notre sang :

 

« Le combat qui est le nôtre a pour but de déblayer le terrain à une véritable alternative pluriculturelle décoloniale, indissociable de tous les dispositifs qui doivent également être mis en place contre les inégalités raciales. »

 

« Il nécessite, en outre, la révision d’une laïcité, trop marquée aujourd’hui par son sectarisme vis-à-vis des cultes et par quelques privilèges accordés à l’Eglise catholique. Une autre laïcité devra préserver la séparation de l’Etat et des institutions religieuses mais considérer les croyances, chrétiennes, musulmanes, juives comme les spiritualités d’origine africaine, antillaise ou d’ailleurs, comme autant de besoins sociaux et comme des composantes à part entière de l’identité de ce pays. Le pluriculturalisme et l’interculturalisme réellement assumés ont également comme impératif une réforme des programmes de l’enseignement destinée à battre en brèche le national-chauvinisme et l’européocentrisme qui les caractérisent actuellement. »

 

 

http://img87.imageshack.us/img87/2899/afficheracistedupirrebe.jpg

 

 

      Nous sommes prévenus : pour relayer ce message de haine de la France et des Blancs, cette glorification des assassins communistes contre la France, une « marche des indigènes de la République » est prévue le 8 mai 2011 à 15h, Métro Barbès, à Paris.

 

      Charles Maurras le précisait : nous devons utiliser tous les moyens. Mêmes légaux.

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 11:11

 

      Les jeunes filles immigrées étaient présentées comme l’avenir de l'intégration face à des mâles "en perte de repères", "déscolarisés" ; les chiffres de la délinquance et de la criminalité de ces mineures connaît une incroyable explosion. Elle signe la fin de l'un des mythes de l'intégration qui tombe, après des années de mensonges. Cette explosion est le symbole du total sentiment d'impunité de ces populations, mais également de la totale incapacité de la République face à ces phénomènes.

 

      Selon les chiffres officiels de la République, via l’observatoire du haut dignitaire franc-maçon, ami et coreligionnaire de Sarközy Alain Bauer, depuis 1996, la courbe des mineures mises en cause par la police et la gendarmerie a augmenté de 133%, contre 40% pour les mineurs mâles. En 2009, la part des filles mineures mises en cause a atteint 15%.

      En cinq ans, le nombre mineures impliquées dans des violences et menaces a cru de plus de 80%. Surtout, il est remarqué qu’elles n’hésitent plus, à l’image de leurs congénères mâles, à utiliser l’ultra-violence. Si l’immigration n’est évidemment pas mise en cause en tant que telle, l’observatoire national de la délinquance remarque que « même très jeunes, les filles n'hésitent plus à frapper pour régler les contentieux parfois les plus minimes, motivées par la jalousie, la vengeance ou au prétexte que la victime leur aurait manqué de respect [...] tandis que dans les cités, les filles participent de plus en plus aux violences collectives ».

 


      Le nombre de mineures mises en cause en 5 ans a augmenté :

-de 45% pour les vols avec violence ;

-de 75% pour les violences à dépositaires de l'autorité ;

 

      En un an, le nombre de mineures mises en cause a augmenté :

-de 44% pour les cambriolages ;

-de 30% pour les vols simples ;

-de 13% pour les vols à l'étalage ;

 

http://img163.imageshack.us/img163/8295/mineuresdelinquance3.jpg


http://img534.imageshack.us/img534/2515/mineuresdelinquance1.jpg
http://img191.imageshack.us/img191/798/mineuresdelinquance2.jpg

 

Le dossier est téléchargeable ici : «  Les mineures mises en cause pour crimes et délits non routiers en 2009 », Repère n°13, septembre 2010 [pdf|655ko].

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 10:10

Pour ne pas oublier que des Blancs subissent ce climat chaque jour, un article du Parisien sur « Le ras-le-bol des médecins de la cité ». Rien de très grave, presque rien de pénalement répréhensible, rien de vraiment remarquable : juste une vie insupportable pour ceux qui subissent...

 

 

 

Insécurité grandissante et provocations régulières pourraient avoir raison des médecins généralistes d’un quartier sensible de Nogent. Ils envisagent de mettre la clé sous la porte.

 

Ville-Verte, ils n’en peuvent plus. Pourtant, c’est avec détermination qu’ils se sont installés en 2006 dans ce quartier de Nogent-sur-Oise. Ces quatre médecins voulaient répondre « à une attente, un vrai besoin des habitants » dans ce qui était un vrai désert médical. Mais depuis, la petite délinquance les empêche de travailler normalement.

 

 

 

Au point qu’ils pensent désormais à partir. « C’est dommage, quand on est arrivés ici, tout se passait très bien. »

 

« L’insécurité a clairement augmenté », assurent les patients dans la salle d’attente de ce cabinet presque anonyme, au pied d’un immeuble. « On est empoisonnés par une minorité », renchérissent les médecins. En cause, les jeunes qui se regroupent devant l’entrée du cabinet. « Cet été, ils pouvaient être une bonne dizaine en même temps, raconte un docteur. Du coup, les patients sont escortés par une haie de jeunes avec des remarques ou des regards pesants. »

 

Plus grave, les médecins assurent que pendant une quinzaine de jours, en juin, les vols étaient quotidiens. Les jeunes filles, elles, ont droit aux sifflets ou commentaires déplacés. Si bien qu’il est arrivé à un docteur de les raccompagner, le soir, jusqu’à leur voiture. Les soignants s’arrangent aussi pour programmer les personnes âgées le matin, quand les jeunes ne sont pas encore réveillés.

 

« Ils sont chez eux, tranche une patiente. Le quartier, c’est leur appartement. Devant le cabinet médical, c’est leur chambre. Ils font leur loi ici. » La jeune patiente poursuit : « Il y a ceux qui ne font que traîner et puis il y en a qui font du trafic. » Selon le maire PS de la commune, Jean-François Dardenne, la délinquance se serait déplacée de la galerie commerciale voisine à cette zone, après une opération de police.

 

« Il faut vraiment faire quelque chose, ça devient infernal », enrage ce retraité. Les médecins, eux, ont essayé le dialogue. « Il y a ceux avec lesquels on peut discuter et ceux qui nous rient au nez. Et pourtant, ils viennent parfois prendre rendez-vous pour eux ou leurs parents. » Le maire les a également reçus. Et a accédé à une de leurs demandes : construire un terrain de foot, qui verra le jour dans quelques jours. « De telles infrastructures participent à la politique de sécurité », commente-t-il.

 

En attendant, les médecins ont fait appel à lui pour trouver une solution technique au problème. Les rambardes sur lesquelles les jeunes s’asseyaient jusqu’à présent ont été sciées et l’entrée du cabinet devrait être mieux éclairée. La municipalité réfléchit aussi à l’installation de haies plus hautes, qui bloqueraient l’accès aux fenêtres à travers lesquelles certains jeunes s’amusent à regarder pendant les consultations. Les médecins espèrent que cela ne restera pas sans effet. « Si ça continue cette année, on déménagera peut-être… »

 

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29 septembre 2010 3 29 /09 /septembre /2010 06:06

      Après l'évasion de  Youcef Achibanne du tribunal de Nanterre, c'est une nouvelle affaire d'évasion d'un criminel qui a été signalée à Nice.


      Raby Benzria avait été condamné par les assises de Nice à six mois de prison ferme pour recel de malfaiteurs et usage de stupéfiant : il avait participé à une fusillade puis hébergé Wissem Ben Jalel, le tireur, chez lui. Il avait également été poursuivi pour un vol avec violence. Il n'est pas considéré par les autorités comme "dangereux".

 

      Une enquête a été ouverte concernant son évasion. De retour d'une sortie dans le Parc naturel du Mercantour (seulement deux semaines après sa condamnation, l'Etat lui paye des sorties dans la nature), le véhicule dans lequel il se trouvait s'est arrêté à un feu rouge. Raby Benzria a alors tout simplement ouvert la porte et s'est enfuit...

      Son portrait robot n'a pas été diffusé. Il ne serait pas de type européen.

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 11:11

Voici un article écrit par Ahmed Al-Sarraf il y a quelques semaines et paru dans le quotidien Al-Qabas. Fondé en 1976, ce journal populaire tirant à environ 60 000 exemplaires est le premier des quotidiens "indépendants" du Koweït -  indépendance tout aussi relative au Koweït qu'en France dans la presse dominée, entres autres, par Bloch et Rothschild. Un point de vue intéressant d'une des conséquences de l'immigration imposée à l'Europe. Il s'agit du point de vue musulman, malheureusement limité à la seule présence étrangère musulmane sur nos terres.

 

 

      L’Europe est parfois appelée le Vieux Continent, mais elle reste la mère de la civilisation moderne, le centre de la culture mondiale et l’incarnation de la conscience internationale. L’Europe, et surtout l’Europe occidentale, joue le rôle humaniste qui a fait sa réputation et combat le sous-développement en ouvrant grand les bras aux miséreux, aux mal­traités et aux opposants pourchassés par des dictateurs. Quand elle défend son identité et sa façon de vivre, nous n’avons pas le droit de nous en offusquer. Elle ne fait que défendre la démocratie et les libertés individuelles contre une pensée religieuse, celle de l’islamisme.


      Il faut être objectif pour comprendre les réactions de colère des Européens face à “l’assaut humain et culturel” musulman. Au bout d’une ou deux générations, le monde entier, et le monde arabe en premier lieu, regrettera l’Europe telle qu’elle avait été jusque-là. Celle-ci aura été transformée sous l’effet de l’immigration musulmane. Les Européens ont donc raison de s’inquiéter. Mettons-nous à leur place : dans les pays du Golfe, ne nous inquiétons-nous pas de l’influence exercée par les immigrés asiatiques sur nos propres modes de vie ?

      Les ghettos musulmans prolifèrent autour des grandes villes européennes, le voile s’y est banalisé, le niqab y progresse jour après jour et les mosquées y attirent plus de monde que les églises. Il y aurait quarante-cinq millions de musulmans en Europe, ce qui ne serait pas si grave s’ils voulaient vraiment s’intégrer. Or beaucoup soutiennent le principe des attentats, les crimes d’honneur sont courants et les femmes se voient souvent traitées par leurs familles comme si elles étaient encore dans leur pays d’origine. C’est effrayant de voir que ceux qui ont fui des dictatures politiques, militaires ou religieuses voudraient transformer l’Europe en quelque chose qui ressemblerait à ce à quoi ils cher­chaient à échapper.

      Nous écrivons cela simplement afin de nous élever contre la victimisation qui accompagne la défense du droit des musulmans de vivre conformément à leurs convictions. Cela est d’autant plus inacceptable que nous-mêmes, dans nos propres pays, nous refusons à toutes les minorités, y compris aux Européens, de simplement respirer et ne cessons de vouloir leur imposer nos choix.

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28 septembre 2010 2 28 /09 /septembre /2010 08:08

      La « grande manifestation » de la Techno Parade, bénéficiant pourtant d’un fort soutien médiatique, n’a réuni que 30 000 personnes, 3 fois moins que l’an passé.
      Comme c'est la régle désormais, les racailles sont descendues faire leur marché. Il n’y a eu « aucun incident grave » selon les autorités, ce que démentent les rares images des agressions.
      Une trentaine d’occupants de « véritables hordes d'individus encapuchonnés, dont beaucoup de grands ados d'origine africaine, intimider des badauds et fondre sur la foule » (selon le Figaro) ont été arrêtés pour cette « 12e édition de cette fête colorée ».
      Au moins deux cents individus connus pour ces faits de violences ont été comptabilisés.


 

 

 

 

      Il faut noter que l’UMP ne reste pas passive face à ces débordements à répétition. L’un des ministres de Sarközy s’est particulièrement illustré.



      L'histoire ne dit pas si Frédéric Mitterrand, pour finir la soirée,  a ramené un petit "boxeur" tunisien chez lui.

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