Le 13 février 1945 à Dresde, l'un des plus terrible crimes de la Seconde Guerre mondiale se déroule.
La "Florence de l'Elbe", dénuée de tout intérêt stratégique, ne possédant aucune troupe ni siège de commandement, est désginée comme cible par Winston Churchill, alors que la ville est devenue un lieu de refuge pour des centaines de milliers d'Allemands ayant fui l'invasion soviétique et ses innombrables atrocités.
Le premier ministre britannique ordonna, le jour même de son entrée en fonction, d'intensifier l'offensive contre les villes allemandes. Dresde sera le point culminant de sa folie criminelle. Churchill en informa ses complices à Yalta, où, Roosevelt et Staline se partagèrent le monde quelques jours plus tôt.
Les assassins profiteront de la nuit pour perpétrer leur crime : il est environ 22 heures, ce 13 février, quand le massacre commence. Mais il se poursuivra le 14, et encore le 15 février. Un millier de bombardiers anglais et américains déversent 650 000 bombes, incendiaires ou à fragmentation, sur Dresde.
Plus de cent mille civils sont assassinés.
En trois jours, la ville - que protégeait une convention internationale - est transformée en un champ de ruine et de mort.
A Dresde, en 1950, une Allemande rend hommage aux morts de Février.
Pas plus que Katyn, Hiroshima, Nagasaky et tant d'autres, ce crime contre l'humanité commis par les "Alliés" ne sera jamais reconnu, ni jugé.
Son souvenir est toujours perpétué par les nationalistes allemands et, au delà, par tous les Européens conscients.