26 mai 2009
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16:02
Dès les premières lueurs du jour, environ 900 bombardiers américains décollent à destination de la France.
La technique du gouvernement américain n'a pas varié : terroriser et massacrer les populations européennes au prétexte d'objectifs militaires. Crimes d'autant plus impardonnable qu'ils sont ordonnés contre un pays contre lequel les Etats-Unis n'ont pas déclaré la guerre.
A Chambéry, 164 tonnes de bombes sont déversées. 420 personnes sont tuées, on relève des centaines de blessés et des milliers d'habitants sont désormais sans-abris.
A Lyon ce sont environ un millier de civils qui sont massacrés.
A Nice et dans la Vallée du Var, les services de secours du gouvernement de Vichy retrouveront 284 cadavres ; 100 personnes sont portées disparues. Environ 500 personnes sont blessées et des milliers d'autres ont perdu leur habitation.
A Saint-Étienne, les criminels font 912 morts. Parmi les bâtiments détruits par les terroristes, l'école primaire de Tardy. 24 enfants y trouvent la mort ainsi que 8 maîtres de classe.
A Chârtres, une cinquantaine de Français sont tués.
...
Fête de la Pentecôte, fête sanglante... de Lille à Marseille, d'Epinal à Nantes, de Nice à Rouen, plus de 5 000 morts, plus de 7 000 blessés, plus de 100 000 sinistrés en trois jours.
Dans les ruines, on relève les corps de Marius Vivier-Merle, délégué du Comité national de la Résistance, mais aussi du professeur Rochaix, l'un des principaux chercheurs de l'Institut bactériologique Pasteur.
Une association souhaitait organiser aujourd'hui une manifestation dans le 8e arrondissement de Lyon.
Seul un rassemblement a pu être obtenu : la visite d'un l'abri anti-aérien aurait rappelé les crimes des armées de "libération". La mairie de Lyon, via le Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise, s'est opposée à cette commémoration, alors même que diverses organismes de l'anti-France organisait impunément une contre-manifestation, insultant la mémoire de ces milliers de morts.
Demain, la France commémorera le 65e anniversaire des bombardements sanguinaires sur la Provence.
Dans la seule ville de Marseille, 1979 Français meurent, on ne compte plus les blessés et les habitations détruites.
La technique du gouvernement américain n'a pas varié : terroriser et massacrer les populations européennes au prétexte d'objectifs militaires. Crimes d'autant plus impardonnable qu'ils sont ordonnés contre un pays contre lequel les Etats-Unis n'ont pas déclaré la guerre.
A Chambéry, 164 tonnes de bombes sont déversées. 420 personnes sont tuées, on relève des centaines de blessés et des milliers d'habitants sont désormais sans-abris.
A Lyon ce sont environ un millier de civils qui sont massacrés.
A Nice et dans la Vallée du Var, les services de secours du gouvernement de Vichy retrouveront 284 cadavres ; 100 personnes sont portées disparues. Environ 500 personnes sont blessées et des milliers d'autres ont perdu leur habitation.
A Saint-Étienne, les criminels font 912 morts. Parmi les bâtiments détruits par les terroristes, l'école primaire de Tardy. 24 enfants y trouvent la mort ainsi que 8 maîtres de classe.
A Chârtres, une cinquantaine de Français sont tués.
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Fête de la Pentecôte, fête sanglante... de Lille à Marseille, d'Epinal à Nantes, de Nice à Rouen, plus de 5 000 morts, plus de 7 000 blessés, plus de 100 000 sinistrés en trois jours.
Dans les ruines, on relève les corps de Marius Vivier-Merle, délégué du Comité national de la Résistance, mais aussi du professeur Rochaix, l'un des principaux chercheurs de l'Institut bactériologique Pasteur.
Une association souhaitait organiser aujourd'hui une manifestation dans le 8e arrondissement de Lyon.
Seul un rassemblement a pu être obtenu : la visite d'un l'abri anti-aérien aurait rappelé les crimes des armées de "libération". La mairie de Lyon, via le Syndicat Mixte des Transports pour le Rhône et l'Agglomération Lyonnaise, s'est opposée à cette commémoration, alors même que diverses organismes de l'anti-France organisait impunément une contre-manifestation, insultant la mémoire de ces milliers de morts.
Demain, la France commémorera le 65e anniversaire des bombardements sanguinaires sur la Provence.
Dans la seule ville de Marseille, 1979 Français meurent, on ne compte plus les blessés et les habitations détruites.