Comme en 2009, le bilan du nombre de voitures brûlées a été d’environ 42 000 sur toute la France en 2010 (1). Chaque nuit dans notre pays, en moyenne, 115 véhicules ont été détruits par un incendie criminel.
Le phénomène n’est pas récent : il est apparu au début des années 80 en marge des révoltes raciales de la banlieue de Lyon (2) – événements qui avaient donné lieu à une « Marche des Beurs » en 1983 suivie de la création de SOS-Racisme (3).
Peu à peu le phénomène va perdurer, épisodiquement, avant de devenir une coutume des occupants à partir des années 1990 en Alsace surtout d’abord, en région parisienne, à Lyon toujours, dans le Nord. Durant les années 2000, le nombre de voitures brûlées explose, notamment avec l’arrivée de Sarközy au ministère de l’Intérieur. Le bilan catastrophique de ce dernier sera masqué par une intense propagande médiatique qui permettra l’élection de l’étranger sur le thème de l’insécurité. Jamais pourtant le nombre de voitures incendiées n’a été aussi haut, aussi répandu sur le territoire qu’avec Sarközy.
Le nombre de voitures brûlées est tellement important qu’il représente désormais la quasi-totalité des incendies volontaires en France ; moins d’un incendie de voiture sur cinq est élucidé sur la police. L’impunité dont jouissent les criminels, rarement arrêtés et jamais sanctionnés comme ils le devraient n’est pas étrangère à la multiplication de ces actes.
Au-delà du constat évident de l’impossible intégration de millions d’immigrés, du malaise de la jeunesse dans une société de consommation sans idéal, de politiques de la ville désastreuses menées depuis 50 ans, de l’incapacité totale des partis du système – et singulièrement de l’UMP – à assurer la sécurité des Français, les voitures brûlées masquent d’autres réalités.
Pas un médiat, pas plus que l’Observatoire national de la délinquance (OND) - et surtout pas l’Etat - n’en chiffre le coût pour la collectivité. Un coût exorbitant pour les contribuables qui payent les interventions des pompiers et des policiers (4), ces derniers étant désormais obligés d’assurer la protection des soldats du feu, le nettoyage des lieux, l’enlèvement, le stockage et la destruction des épaves. Chaque voiture brûlée est également une lourde perte pour une famille, perte d’un bien précieux et indispensable, souvent pas ou mal remboursé par les assurances ou l’État.
Il dissimule aussi le cas des cités qui sont tenues par les caïds qui imposent la paix, mais au prix de quartiers entiers livrés aux racailles et aux mafias. Ce n’est pas un hasard : les cités envahies de Marseille comptent parmi les plus calmes, alors qu’elles sont livrées comme aucune aux trafics en tout genre, qu’il s’agisse de drogues ou d’armes.
Le désastreux bilan de bientôt dix ans de sarközysme en matière de lutte contre les voitures brûlées ne doit pas non plus faire oublier les agressions de plus en plus nombreuses, de plus en plus violentes. En seulement quelques jours, un étudiant a été assassiné en défendant son père, une jeune femme a été tuée dans le métro par un voleur et une vieille dame est morte de ses blessures en Provence après un vol avec violence (5). Ce n’est pas un hasard si, dans la majorité de ces cas, la victime était blanche et le criminel non-européen.
S’il n'y a pas de lien évident entre l’immigration et la criminalité - la loi interdit de le faire - il y en a un entre un peuple sans avenir dont les gouvernements détruisent méthodiquement depuis 65 ans l’identité, les solidarités, l’honneur, l’histoire et la grandeur, et le fait que ce peuple accepte sans réagir que ses enfants, ses femmes, ses mères soient assassinées par des étrangers, qu’on brûle ses voitures, qu’on viole ses filles, qu’on rackette ses enfants.
1. 42 000, c’est le chiffre donné par l’Observatoire national de la Délinquance, dirigé par Alain Bauer, franc-maçon comme Brice Hortefeux et d’origine juive comme Sarközy. C’est ce "criminologue" autoproclamé qui a fait censurer les chiffres des voitures brûlées pour le 14 juillet et le 31 décembre. Ces chiffres sont donc les chiffres officiels. Il a été constaté à plusieurs reprises que le gouvernement trafiquait les chiffres : les journalistes, par la simple addition des chiffres obtenus dans les préfectures obtenaient les années précédentes des bilans plus élevés que ceux fournis par le ministère de l’Intérieur.
2. Les premières voitures brûlées ont fait leur apparition aux Minguettes.
3. Le mécontentement des immigrés étant récupéré par le Parti socialiste par l’intermédiaire d’un immigré d’un autre genre, l’israélite Julien Dray. Ce dernier se servira de l’association à de fins politiciennes dans la lutte séculaire de sa tribu contre les nationalistes, quand le Front national était une menace, mais aussi pour des fins bien moins avouables et plus personnelles. SOS-Racisme derrière laquelle on trouve par ailleurs la franc-maçonnerie : si « officiellement ses fondateurs sont le député socialiste Julien Dray et Harlem Désir [...] deux parrains se sont penchés sur son berceau: Roger Fajardie et Roger Leray, deux anciens grands maîtres du GODF (Grand Orient de France). Amis de Mitterrand, ils ont convaincu ce dernier de la nécessité de cette création » commente le GODF.
4. Sans compter le coût de la mobilisation de plus de 50 000 forces de l’ordre, un nombre digne d’une période de guerre.
5. Sans compter les viols collectifs comme celui révélé hier à Meaux ou il y a trois jours à Cagnes-sur-Mer, les violences dans les établissements scolaires, les bus caillassés, le racket - terrible quotidien pour combien de dizaines de milliers d’enfants ? - ...