Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Vivant loin de la métropole et n’ayant pas la télévision, mais appréciant de regarder un film récent de temps en temps, nous avons à prendre ce qui passe sur le marché – littéralement un marché, entre les fleurs et les marchandes des quatre saisons.
De temps à autre, pour nous sortir des productions américaines, anglaises ou françaises, nous avons le plaisir de tomber sur un film russe – Quel changement de décor pour notre détente !
Dans les films russes, nous avons affaire à des histoires d’hommes, des histoires humaines, des histoires de blancs vivant dans un monde occidental et chrétien, ils ne prient pas sur les écrans, mais il est possible d’imaginer que dans leur intimité… Il n’y a pas de noirs ou d’Arabes sur l’écran, et quand il y en a ils jouent les rôles d’hommes de main, de trafiquants, ou de terroristes – ce qui, faisons plaisir à nos ennemis, convient à notre vision simpliste du monde.
Les films américains sont pour la plupart imbuvables, joués par quasi-exclusivement des membres de la tribu, produits et réalisés par des membres de la tribu, ils dépeignent un monde où la dépravation est la règle, dans lequel il n’y a aucune morale, où, quand il n’est pas noir, le gars sympa du films est systématiquement un membre de la tribu, bref, une constante redite. Ces productions affirment lourdement l’image d’un monde métissé sympathique où la divinité est le pognon, et où l’ambition est la réussite sociale à n’importe quel prix. A ce propos, les films britanniques sont encore pires et inregardables, on y voit quantités de noirs, parfaitement « assimilés » jouant des rôles de blancs, étant plus intelligents que les blancs, mieux adaptés qu’eux parce que ne possédant pas un lourd passif historique, prenant leurs places, au grand plaisir des blancs et surtout des blanches… Fatigant, fatigant…
S’il vous plait, distributeurs et diffuseurs du monde entier : Donnez-nous des films russes !