Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Oskar Freysinger aurait "évité de justesse une agression au couteau" selon un "journaliste".
« J'étais accueilli à la gare par six personnes de la sécurité qui m'entouraient tout le temps, qui ne laissaient personne s'approcher. Ils m'ont accompagné jusqu'à une voiture. Ensuite on a mis un gilet pare-balles. Bon. Moi j'ai un peu pris ça à la rigolade je me suis dit ils en font peut-être un peu trop, il n'y a qu'une dizaine de manifestants. Cependant là par exemple, ils ont choppé un gars qui a essayé de s'introduire dans la salle avec un couteau, éffilé, très pointu, typiquement pour tuer, pour poinçonner quelqu'un. J'ai compris que la sécurité n'était pas un luxe.
Je dois dire, je suis assez refroidi [sic] de constater ce [incompréhensible].
Si on prend ça dans le ventre, eh bein on passe un mauvais quart d'heure. »
A la question : « Et ce couteau, il vous était destiné ? », débonnaire, il répond :
« Oui. Ostensiblement. J'étais visé. Bon alors ils l'ont arrêté. Je sais pas ce qui va pas se passer. Sensiblement une tentative de ne pas venir racler du fromage à raclette. »
Et l'internationale des menteurs sionistes de relayer cette non-vérité qui devient, au fur et à mesure où la rumeur enfle, l'agression presque mortelle contre le futur président suisse.
Bivouac ID : « Oskar Freysinger : "la sécurité a arrêté un suspect qui essayait de s’introduire dans la salle avec un couteau" » ;
L'islam en France : « Oskar Freysinger aurait évité une agression au couteau à Paris » ;
Poste de veille : « Oskar Freysinger évite une agression au couteau après son discours aux Assises » ;
Le Post : « Oskar Freysinger a évité de justesse une agression au couteau samedi soir à Paris ! » (même titre pour l'Action française [sic] ;
Extreme centre : « Oskar Freysinger victime d’une agression au couteau après son discours aux Assises sur l’islamisation » ;
E-deo : « On a tenté de tuer Oskar Freysinger hier à Paris ».
Vérification faite, Freysinger a soit menti sciemment, soit a été manipulé par les organisateurs. "L'assassin" était selon les témoignages un militant qui souhaitait assurer sa sécurité face aux manifestants à l'extérieur d'une réunion pro-Israël, pro-pédéraste, pro-laïque, antifasciste et pro-féministe à Paris le 18 décembre. Le "terroriste musulman" putatif, simple passant français, a laissé choir le couteau de sa poche. Il aurait été viré manu militari.
Un autre exclu s'interroge :
« J’ai dit qu’on était envahi. Dans mon immeuble, il y a des prostituées africaines, voilà, on n’a plus rien le droit de dire ? »
Soucieux d'un minimum de crédibilité, l'agence de propagande du groupuscule organisateur n'a pas relayé ce mensonge.
Les organisateurs n'ont, eux, pas perdu leur temps : le jour suivant le Bloc qui ose toujours se prétendre "identitaire" (parfois dénommé "juidentitraitres" pour diverses raisons) diffusait un communiqué résumant les objectifs de son entrée en politique républicaine :
« Nous invitons chacun à adhérer à une association ou à un parti qui mène ce combat, en fonction de sa propre sensibilité et à tisser des liens entre individus, groupes et pays pour que naissent des réseaux très forts. C’est seulement ainsi qu’ils seront capables de résister au totalitarisme islamique, sexiste et homophobe, qui cherche, par la démographie et l’intimidation, à faire disparaître une civilisation humaniste. Nous refusons l’obscurantisme, la superstition et la soumission aveugle de l’homme à des préceptes indignes et mortifères.
En ce jour, nous avons fondé une libre association d'organisations indépendantes. Nous formons une équipe. Nous avons un combat. Nous lançons ce jour un mouvement de résistance européen fondé sur la défense de notre civilisation [sic] face à un nouveau totalitarisme. »
Pour la vérité historique, rappelons que François Duprat a, lui été réellement assassiné par les amis de M. Freysinger et des "identitaires" par des étrangers dont l'occupation n'est ni un fantasme, ni l'illustration d'un phénomène migratoire mortel imposé par la République.