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Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants

Mafia juive : Agriprocessors, entre viande casher, clandestins, pollution et drogue

      La police fédérale a effectué la semaine dernière un raid contre l'« Agriprocessors plants », une vaste usine agroalimentaire.

      Il s'agissait de la plus vaste opération jamais réalisée dans l'Iowa.
      Il s'agit de la plus grande entreprise agroalimentaire dans sa spécialité du monde.
      389 travailleurs clandestins exploités y ont été arrêtés.
      Un laboratoire de drogue y a été retrouvé.
      Des hommes armés ont été découvert patrouillant dans l'usine.


      Autant de faits qui auraient du conduire à une couverture médiatique importante. Surtout si l'on imagine une seconde que l'entreprise avait produit des aliments réservés aux populations catholiques, et dirigeait par un catholique intégriste.


      Il n'en est rien : Agriprocessors a été fondée en 1987 par Aaron Rubashkin, un juif intégriste loubavitch ; l'entreprise est aujourd'hui dirigée par ses fils, Sholom et Heshy. Le coeur de métier de l'entreprise, c'est la production industrielle de produits casher ; désormais pourtant deux-tiers des produits sont produits pour les goys, sous les marques « Best Iowa Beef », « Aaron's Best » et « Rubashkin ».

      L'usine avait été déjà au coeur de plusieurs scandales dans le passé. L'organisation de défense des droits des animaux PETA avait mis en avant, preuves vidéos à l'appui, les traitements abjects infligés aux animaux, les conditions d'hygiène inadmissibles. Les images ont horrifié jusqu'à des juifs qui ont déclaré l'installation contraire à la loi juive.
      L'établissement, établi au milieu d'une paisible population américaine a par ailleurs conduit à de nombreuses tensions, à tel point qu'un livre est paru : Postville, A clash of cultures in Heartland of America (Postville, un choc des cultures au coeur de l'Amérique). Les dirigeants ont par exemple importé des centaines d'immigrés, la plupart clandestins, dans la ville : 90% des élèves y sont aujourd'hui hispaniques. La ville ne compte que 2300 habitants, majoritairement donc aux mains des employés de Rubashkin.
      Entre autre, la société a du payer 600 000 dollars pour avoir pollué les eaux environnantes, rejetant volontairement les eaux usées en pleine nature ou, il y a deux mois 758 000 francs pour diverses infractions aux lois sur la santé, la sécurité ou le droit du travail.


      Les services des douanes et de répression de l'immigration illégale ont donc mené la plus grande intervention jamais réalisée dans l'Iowa. L'action ne visait cependant que les seuls clandestins, et aucunement les employeurs koshers.
      Selon les informations rassemblées par les services fédéraux, 76% des 968 employés étaient des clandestins, et utilisaient des faux numéros de sécurité sociale. Parmi les accusations, celle d'employer des enfants de 15 ans, de forcer les employés à acheter des véhicules pour pouvoir faire des faux-papiers ou encore des violences, telles celles subies par un travailleur guatémaltèque, les yeux bandés, frappé avec un crochet de boucherie.

      Aucun cadre de l'entreprise n'a pourtant été arrêté ; paradoxalement, l'arrestation des clandestins pourrait avoir permis de cacher d'autres accusations, telles que le travail des enfants selon un syndicat.


      The Last but not the least, durant l'opération les policiers fédéraux ont découvert un laboratoire de méthamphétamine (drogue dure provoquant une très forte addiction). Mais les dirigeants, donc, n'ont pas été interpellés, encore moins incarcérés. Et surtout pas expulsés.



     
      Il y a quelques mois Sholom Rubashkin faisait paraître une lettre ouverte, dénonçant les propos diffamatoires et la campagne menée contre son entreprise. Il rappelait que ses produits étaient « sûrs et sains ».
      Après l'opération, l'entreprise publiait une lettre pour apporter son soutien aux clandestins arrêtés, renouvellait son appel pour que les clients leur accordent toujours leur confiance et affirmait vouloir coopérer avec les autorités.

      Parmis les personnes arrêtés on trouvait : 290 Guatémaltèques, 93 Mexicains, 4 "Ukrainiens" et 2 Israéliens. Ils ont été arrêtés pour vol et falsification aggravée de documents.
Dix-huit jeunes ont été libérés, laissant à penser que l'accusation de travail clandestin de mineurs était fondée, même si le procureur a refusé de s'exprimer sur le sujet.


      Il y a quelques mois, les clandestins avaient tenté de se syndiquer. Les dirigeants de l'usine avait refusé. Il y a quelques semaines, un tribunal avait donné raison aux employés.
      Nul doute que désormais les clandestins y réfléchiront à deux fois avant de vouloir affronter leurs patrons...
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