Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants

Les suites des deux affaires…

         Aujourd’hui, l’information est reine… reine ? euh, c'est-à-dire…, nous ne trouvons pas le mot exact… Toujours est-il que ce qui est important, crucial, vital même aujourd’hui ! sera totalement oublié, remplacé, demain.

         Bizarrement, étonnamment, un groupe de suspects – pardon, de présumés innocents – a été arrêté dans le cadre du meurtre du « DJ » ultra-marin. Il y en a un même qui se serait rendu de lui-même (très certainement en échange d’une somme rondelette, ou de la promesse d’un stage de réinsertion dans une villa avec piscine).

         Gageons qu’en attendant la suite de la procédure ils sont logés dans l’hôtel qui herbergea l’illustre équipe de France de ballon rond, et que Fadela Amara et Rama Yade sont venues leur assurer que leurs droits,  nous disons bien tous leurs droits, seront respectés.

         Quid du meurtre à l’arme blanche du jeune Français de Montpellier ?... chut, rien, circulez, la police fait son travail, on vous avisera en temps utile, si nécessaire, allez, pensez à autre chose. Imaginez un instant que ce soit la mobylette de l’un des nobles fils de Pinochio qui eût été égratignée, que l’un d’eux se soit fait bousculé, même qu’on lui ait soustrait son portable… enquête musclée immédiate ! Tous les experts au branle bas de combat ! Et l’infâme criminel d’être retrouvé dans l’heure qui suit, et déjà soumis à la question attaché sur une table avec un entonnoir dans la bouche.
         Mais pour ce qui est du Français de vingt-quatre ans assassiné, rien.


         De qui se moque-t-on ? Nous faire croire qu’il est impossible de retrouver, avec tous les moyens dont dispose la police et les services de renseignements, un criminel qui est tranquillement rentré à pieds dans une cité proche, qu’il n’y a pas d’indices, qu’il n’y a pas matière à ? Non, la police ne fait rien, et ne fera rien, car elle a des ordres, les ordres de ne pas faire de remous  (ne parlons même pas de vagues), de ne pas prendre le risque de déplaire à une communauté, à une association…

         Nous en sommes là : chaque jour le pouvoir exprime son mépris le plus profond pour les goyes, qui, assassinés, valent moins que le dernier des bâtards écrasé.

Retour à l'accueil
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article