Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Chacun connaît le refrain dû au miroir : « Miroir, gentil miroir, s’il te plaît, dis-moi qui est la plus belle. » Récemment, en cette période de rentrée littéraire, je ne sais plus qui, et cela n’a pas d’importance, a affirmé que la dernière baudruche culturelle à la mode, Michel Houellbeck, était par ses écrits le miroir de notre époque.
Grossière erreur causée par un évident manque de recul, car le véritable miroir de notre époque est bien, nous semble-t-il, la République islamique d’Iran. Dès qu’on l’interroge où que l’on s’y frotte, ce miroir nous répond sans flatteries et du tac-au-tac. Ainsi, tous nos grands mythes sont d’un coup démontés, toutes les vérités déguisées à force de propagandes incessantes apparaissent dans leur froide et terrible nudité. Il en est ainsi des mérites méritant du petit peuple qui a tant souffert, du pouvoir atomique dissuasif, de l’inutilité de la peine de mort, de la validité du système électoral démocratique, du nationalisme ou de l’attachement à la mère patrie, de la religion même pour ne pas dire du manque de Foi. Dernier en date, à l’occasion d’une lapidation annoncée, ce miroir nous a renvoyé l’horrible réalité putaresque de la première dame de France, alors que tous les sujets de ce bon pays avaient encore dans les yeux son image avec la reine d’Angleterre, son image comme femme la plus élégante du monde, comme chanteuse à la voix si douce, comme épouse éprise de son flambloyant mari.
Las, au-delà de ce bref reflet qui sera vite oublié, l’événement apporte une question : on connaît l’islamisation de l’Europe à marche forcée que nous impose ceux qui dirigent nos destinées ; imaginons-donc sous peu, et c’est loin d’être une vue de l’esprit, une République islamique de France, notre première dame de France d’aujourd’hui risquera-t-elle alors, de la main de ceux qu’elle a participé à faire venir, la lapidation ?