Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Le tyran communiste Hu Jintao est à partir d'aujourd'hui en France pour un séjour officiel du 4 au 6 novembre. Il sera accueilli comme un grand chef d’État par la République, lui l’héritier du régime le plus sanglant de l’histoire de l’humanité.
Hu Jintao a adhéré au Parti communiste en 1964 et s’est montré un zélé serviteur de Mao durant la Révolution culturelle, période particulièrement sombre de l’histoire de la Chine durant laquelle les traditions, la culture et la civilisation chinoise ont été durement attaqués. Des milliers d’œuvres d’art, de sculptures, de temples furent détruits par les communistes. Hu Jintao, durant ces années-là, était « instructeur politique » dans une université.
Aujourd'hui au cœur du système mondialiste, le Parti communiste chinois toujours aussi dictatorial parvient à concilier les pires traditions des régimes communistes, tout en livrant son peuple à la misère engendrée par l’ultra-libéralisme.
Sarközy a de grands mots quand il s’agit, par réflexe atavique, d’attaquer des régimes européens, vaincus, traînés dans la boue et jugés par des tribunaux iniques il y a plus de 60 ans.
Saura-t-il trouver les mots pour honorer la mémoire de 100 000 000 d’êtres humains assassinés en Chine communiste ? Dénoncera-t-il les milliers de laogaïs mis en place par le Grand Timonier dès 1949 ? Ces gigantesques camps de travail, de rééducation et d’extermination, où sont morts 20 millions d’hommes et de femmes, sont toujours en activité et aujourd’hui, 4 à 6 millions de Chinois catholiques, tibétains, "contre-révolutionnaires" et dissidents de tout horizon y sont toujours détenus. Ces prisonniers qui ne sont ni des criminels ni des délinquants mais simplement des opposants à un régime sanguinaire sont soumis au travail forcé et produisent certains objets qui sont exportés dans le monde. Sarközy exigera-t-il l'érection d'un Tribunal Pénal International ? Fera-t-il arrêter le dictateur communiste ?
Sarközy ignore-t-il vraiment les pratiques industrielles destructrices, les trafics d’organes, les répressions politiques et religieuses ?
Ou les droits de l’homme ne sont-ils valables que lorsqu’il s’agit d'abaisser et culpabiliser les Européens, mais sont oubliés quand il s’agit de commercer entre dictateurs et entre capitalistes ?