Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Ces jours-ci sort le DVD du film American Trip (Get Him to the Greek), réalisé en 2010 par l’israélite "britannique" Nicholas Stoller (1). Le scénario est signé par Jason Segel (2) et Nicholas Stoller. La production est assurée par Judd Apatow (4), par ailleurs réalisateur de films aux titres évocateurs comme 40 ans toujours puceau ou En cloque, mode d’emploi ainsi que Phil Eisen et Rodney Rothman avec un budget de 40 millions de dollars.
Le sujet de ce chef-d’oeuvre, une fausse suite de Sans Sarah rien ne va (Forgetting Sarah Marshall) est palpitant.
Le rocker Aldous Snow, interprété par Russell Brand (1) sort un album qui fait un bide. Sa petite amie le quitte, et il se met à boire et à se droguer sans limites.
Aaron Greenberg, ambitieux stagiaire de 23 ans, doit se rendre à Londres et ramener le chanteur à temps à Los Angeles, pour le lancement d’une tournée au budget astronomique.
Les critiques n'apprécient pas tous le film à sa juste valeur :
« Les répliques au ras du slip et l'humour à fleur de peau sont fidèles à la tradition Apatow. Le film, en revanche [sic], est trop inégal dans son écriture comme dans ses improvisations pour convaincre. »
lit-on dans le Nouvel Obs.
Sado-masochisme, drogue, mélange des races, vulgarité, mais aussi blasphème (anti-catholique bien entendu) : rien n’échappe au quintet Apatow-Stoller-Segel-Eisen-Rothman.
1. Nicholas Stoller, né de parents juifs en Angleterre, a erré aux États-Unis où il s’est marié religieusement, à la synagogue, en 2005.
2. Fils d’un avocat juif, Jason Jordan Segel est un acteur, scénariste et musicien vivant aux États-Unis. Il est apparu dans la série How I Met Your Mother et le film Freaks & Geeks, diffusés en France sous ces noms, sans même qu’un effort soit fait pour la traduction.
3. Judd Apatow, producteur, réalisateur et scénariste israélite dont les "œuvres" ont rapporté près de 500 millions de dollars.
4. Russell Brand est présenté ainsi par le Times :
« héroïnomane et obsédé sexuel avoué, Brand reconnait avoir eu une enfance "perturbée", depuis le visionnage de vidéos pornographiques avec son père à 4 ans, une agression sexuelle par un tuteur à 7 ans, une boulimie adolescente, plusieurs exclusions d'écoles, 11 arrestations pour motifs divers... Il reste cependant très proche de sa mère, et il est un des rares comédiens britanniques pris au sérieux actuellement aux Etats-Unis. »