Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Après 25 années de combat politique, Massimo Morsello s'éteignait le 10 mars 200, à peine âgé de 42 ans. Dès son adolescence, élevé dans une famille anticommuniste et influencé par le fascisme, il rejoignit le MSI puis le Fronte della Gioventù et la plupart des groupes nationalistes et néo-fascistes qui fleurissaient alors. Durant les "années de plomb", malgré les morts et la répression, Massimo poursuivit le combat nationaliste radical. Le 10 janvier 1979, lors d'une manifestation, il se tenait aux côtés d'Albert Giaquinto lorsque le jeune homme, âgé de 17 ans, fut abattu froidement par un policier en civil.
Cette manifestation interdite était un hommage rendu à Francesco Ciavatta, Franco Bigonzetti et Recchioni Stefano, trois militants nationalistes abattus un an plus tôt par des terroristes d'extrême gauche et un capitaine des carabinieri. En 2008, à l'occasion du trentième anniversaire de leur assassinat, une rue de Rome a été baptisée du nom des trois martyrs.
Ayant assisté au meurtre d'Albert Giaquinto, Massimo alla témoigner contre le policier assassin ; il fut lui-même alors poursuivi. L'impunité des policiers comme des extrémistes de gauche explique les engagements des radicaux Italiens alors : accusé d'avoir appartenu aux Noyaux armés révolutionnaires (Nuclei Armati Rivoluzionari), Massimo écopa de plus de huit ans de prison.
Il s'exila alors en Angleterre, où il poursuivit son combat, par la musique. Lié à Roberto Fiore, il créa également à Londres une entreprise pour aider les étudiants étrangers à trouver des logements et du travail (entreprise qui existe toujours aujourd'hui sous le nom d'Easy London). Avec Robert Fiore, Morsello est le fondateur de Forza Nuova.
Gravement malade, il fut autorisé par le gouvernement italien à revenir en Italie, où il continua inlassablement à militer et à composer et jouer des chansons. Fasciste authentique, Massimo Morsello fut reconnu pour son talent de musicien au-delà des frontières de son camp politique : son album Punto di non retorno fut ainsi vendu à 15 000 exemplaires. Ses chansons sont des odes à la révolution, au nationalisme et à la vie.
L'une de ses plus célèbres chansons, Canti assassini.
Massimo ? Presente !
A partir du 12 mars, le livre numérique Morsello sera disponible gratuitement sur le site Canti ribelli. L'ouvrage réalisé par l'équipe de Canti ribelli et la Rupe Tarpea Produzione est consacré à l'artiste italien Massimo Morsello, à travers de nombreux témoignages, histoires et anectodes.
Rendez-vous le 12 Mars sur <http://www.cantiribelli.com/>