"Oui, le drapeau est davantage que la mort."
(Chant de la Jeunesse hitlérienne.)
La naissance, la vie et la mort des idées (des "mythes" au sens positif du terme) - qu'il s'agisse d'une religion, d'une philosophie, d'une doctrine sociale - dépendent avant tout de ce facteur vital : le sang. Parce qu'une âme est ainsi construite, elle produira tel type de croyance, de culture, aura tels dieux et non d'autres. Précisément les tendances mystiques, si décisives pour toute doctrine, pour tout idéal sont essentiellement biologiques.
Pour ces raisons, le combat entre les idéaux demeurera toujours le plus important. Si vous voulez tuer une race, commencez par détruire ses idéaux et veillez à ce qu'elle n'en produise pas de nouveaux, c'est-à-dire, pour parler moderne, "rééduquez"-la. Enseignez-lui la calomnie de ses grands hommes, inculquez-lui des valeurs contre nature, démocratiques, humanitaristes. Si vous réussissez, vous avez détruit le lien qui unissait ses ressortissants. Sans foi et sans patrie, l'âme mourante et solitaire, ils s'en iront dans le crépuscule. Pour parler concret, la natalité baissera, la foi nécessaire à la procréation manquant.
Nous devons placer l'idéal au-dessus de tout, car il nourrit les âmes.
Le sacrifier pour acheter la survie des corps et des égoïsmes, quel marché de dupes !
Maintenons nos dieux !
A l'heure de la mort, soyons au moins des exemples, car les exemples sont les troupes de choc de l'idée.
Entre temps, la dénatalité européenne s'est installée - a été installée ! Parallèlement, nos valeurs ont été calomniées.
* L'homme d'honneur passe pour un imbécile ;
* La patrie, pour une illusion ;
* L'amour maternel, pour un obstacle professionnel que l'avortement peut écarter ;
* La beauté dans l'art est proscrite ;
* La laideur obligatoire. Les peuples blancs vont à la mort.
G. A. Amaudruz