Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
(à l’occasion de la « découverte » d’un « document » qui aurait été annoté par la main du Maréchal Pétain, « document » remis au Mémorial de la Shoah par un « donateur anonyme » et qui prouverait l’antisémitisme forcené du Maréchal.)
Un salaud ! Un salopard, qu’on vous dit ! Mais, se désolent les pleureuses habituelles, c’est une vérité plus vraie que la Vérité avec un grand V qui ne veut pas rentrer dans le crâne des Français. Peut-être qu’ils ont déjà beaucoup de choses dans le crâne, les Français, alors ! exhumer la mémoire du Maréchal pour que surtout on n’oublie pas qu’il ne faut pas oublier et qu’on récolte un peu d’oseille au passage. Car, ça rapporte d’insulter les morts, les héros de la France.
Et les Klarsfeld, père et fils, héros des médias et de ceux qui les manipulent, qui s’autodécernent le titre d’experts, experts en quoi au juste ? en documentologie ? d’ailleurs on ne le leur en demandait pas tant, on sait qu’ils ont le flair, l’instinct de là où il faut chercher pour les trouver les Nazis, les criminels contre l’humanité, là, sous ce caillou, dans ce gribouilli sur cette facture de supermarché, derrière ce mot, cette tonalité… Baissez les yeux ! car si vous ne dites pas que Pétain, oui Pétain tout court, ne fut pas une immonde saloperie dégoulinante de merde et du sang d’innoncents, vous êtes son complice ! Et encore pire que son complice, c’est que vous êtes comme lui, et que vous allez en baver, même après la mort, on ne vous laissera pas tranquille, ni vous, ni vos descendants qui ne peuvent être que des salauds et qui devront payer en bon argent.
Ah, bien sûr, Pétain c’est plus facile que Mamhoud, Mouloud, Abdul qui tuent la boulangère, c’est plus facile que les avorteurs, les trafiquants de drogue, et le clergé moderniste pendant qu’on y est, c’est plus facile encore que les Lehman brothers et autres usuriers pourris qui étranglent de par le monde les familles, qui ruinent les pays, formentent les guerres, détruisent les forêts, les petits oiseaux, et qui sont là, eux, bien vivants et bien punissables.
Mais le Maréchal Petain c’était autre chose que ceux qui se jettent aux basques de sa mémoire, rappelons la fin de son discours suite à la plaidoirie de ses avocats lors de son procès : "Disposez de moi selon vos consciences. La mienne ne me reproche rien car, pendant une vie déjà longue et parvenu par mon âge au seuil de la mort, j'affirme que je n'ai eu d'autre ambition que de servir la France. "
Et cela, à l’heure où il faut achever les nations, ils ne le lui ont toujours pas pardonné.