Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
Il y a une semaine, les nationalistes allemands et leurs camarades européens participaient massivement à la Trauermarsch pour rendre hommage aux victimes de l’anéantissement de Dresde.
Cet après-midi, une autre manifestation était organisée et plusieurs milliers de nationalistes ont convergé vers Dresde pour commémorer l’anéantissement de la ville du 13 au 15 février 1945 et exiger le droit à manifester après les interdictions les années passées.
Les forces de l’ordre ont été rapidement débordées par les extrémistes qui ont attaqué et débordé les policiers, avant de semer le chaos dans la ville, détruisant plusieurs véhicules, attaquant les magasins et des immeubles, incendiant de nombreuses poubelles, etc.
Les contre-manifestants gauchistes, soutenus par l’Église et la plupart des corps constitués, ont tenté d’empêcher la marche du souvenir par la violence. Une dizaine de voitures au moins ont été détruites, un immeuble a été attaqué par les anarchistes.
Sur la vidéo ci-dessous, les gauchistes attaquent courageusement des bus, avant de fuir dès l’arrivée de la police.
De nombreux nationalistes ont été empêchés par les autorités de se rendre sur les lieux de la manifestation. Au cours de l’après-midi, toutes les voies d’accès à Dresde ont été bloquées à l'extérieur par la police, et en divers points intérieurs par l’extrême gauche. Plusieurs milliers de nationalistes étaient encore présents en fin d’après-midi sur place, alors que d’autres se dirigeaient ou étaient détournés vers Leipzig où la manifestation nationaliste devait être relocalisée.
Les forces de l’ordre ont procédé à de très nombreuses arrestations ; le nombre de nationalistes interpellés n’a pas été précisé.
Les débordements des extrémistes étaient prévisibles et la responsabilité des autorités est mise en cause : « seulement 4 600 agents sont déployés » note le journal Bild. Les autorités auraient voulu que des débordements se produisent, ils n’auraient pas agi autrement : le gouvernement et les partis associés n’ayant pu obtenir l’interdiction de la marche, en laissant agir les extrémistes, la manifestation ne pouvait qu’être stoppées.
De plus la préméditation ne fait aucun doute : et les autorités ont délibérement laissé les extrémistes organiser plusieurs semaines à l'avance une manifestation illégale, se rassembler dans la ville plusieurs heures avant la manifestation nationaliste, s'équiper puis dévaster les rues de Dresde.
La situation était telle qu’à 17h00, la police a demandé la déclaration de l’état d’urgence. Peu avant dans un quartier de la ville, des affrontements opposaient 1 200 nationalistes à 700 extrémistes, sans que la police ne puisse intervenir.
Ce soir, les nationalistes arrivaient à Leipzig, où ce sont cette fois les policiers qui tentaient de les empêcher de manifester.