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Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants

De l'expulsion

      L’extrême gauche s’organise pour faciliter l’invasion de la terre de France. Journaux et associations, payées par la haute finance et l’État, mobilisent, manipulent, agissent. Cela commence par inciter les immigrés à s’inviter en Europe, avec la justification implicite des réseaux criminels de trafics d’être humains. Une fois sur place, il s’agit de loger prioritairement les immigrés au détriment des autochtones dans un contexte de grave crise sociale, d’un chômage de masse, d’une répartition jamais aussi inégale des richesses et d’une crise du logement sans précédent. C’est également le soutien à toutes les mesures sociales ( CMU pendant que réapparaissent des maladies qui avaient été éradiquées), la justification de toutes les dérives (émeutes urbaines), les mensonges (la natalité "française"), la promotion et le soutien aux lois anti-européennes (loi anti-révisionniste de pornographie mémorielle, lois antiracistes, discrimination dite "positive"), etc.

 

      Il arrive malgré tout que, dans de rares cas, la justice veuille procéder à l’expulsion d’un clandestin. En 2009, seuls 96 109 clandestins avaient été interpellés ; 85 101 avaient fait l’objet d’une mesure d’éloignement (89%), qui n’était devenu effective que dans 29 288 cas (30%). Deux tiers (21 020) ont été reconduit contre leur gré (22%). Chiffres dérisoires qu’il faut encore relativiser encore par le pourcentage élevé d’expulsions dans les territoires d’outre-mer.

      Précisions statistiques : la même année, plus de 20 000 clandestins ont été régularisés. Ils seraient plusieurs centaines de milliers en France, probablement plus de 500 000 (1), dont seuls quelques 5% sont donc expulsés. Sans compter les autres dont la présence n’est pas plus légitime.

 

      En cas de tentative d’expulsion, pour l’extrême gauche, c’est l’heure de l’agitation, médiatique et physique.

      En témoigne cette récente tentative d’expulsion d’un délinquant malien que nous avions évoqué la semaine dernière. Jeudi après-midi, l’Unité nationale d'escorte, de soutien et d'intervention (UNESI) de la Police de l’air et des frontières (PAF) accompagne le clandestin à Roissy et l’embarque dans un avion pour Bamako. Un policier précise :

 

« Un expulsé va entrer dans l'avion, il risque de crier pendant cinq minutes mais tout ira bien après. Ne faites rien, car vous encourez l'expulsion de l'avion. »

 

en distribuant ce tract :

 

http://img706.imageshack.us/img706/9111/paf1.jpg

 

http://img251.imageshack.us/img251/3104/paf2.jpg

(cliquer sur les images pour agrandir)

 

 

      Sans surprise, le clandestin briefé par les associations de l’anti-France entre et hurle comme un animal. Il faudra de longues minutes pour que quelques passagers finissent par s’agiter. Soixante-cinq ans de "dénazification" et d’occupation ont bien fonctionné : parmi les rares passagers à s’opposer à l’expulsion figurent une dizaine d’Allemands. Ils seront sortis de l’avion avec trois autres passagers ; onze seront placés en garde à vue.

 

 

 

      Après un mouvement, l’avion reviendra à la zone d’embarquement. Il est certain que les agitateurs n'encourent aucune peine sérieuse. La PAF n’a pas précisé si le clandestin avait été expulsé. Au total des dizaines de milliers de francs (2) dépensé pour une hypothétique expulsion.

 

 


1. Le Bureau international du travail (BIT) les estimait à 400 000 en 2006. La même année, Sarközy, qui était alors ministre de l’Intérieur, affirmait que 80 à 100 000 clandestins entraient chaque année en France. Le compte est rapidement fait : avec 20 000 expulsés et 20 000 régularisés, reste entre 40 et 60 000 clandestins supplémentaires chaque année, soit en trois ans, entre 120 et 180 000.

 

2. En 2009, les reconduites à la frontière forcées ont couté au contribuable français 2,7 milliards de francs [415,2 millions d’euros], donc près de 140 000 francs par expulsion [20 970 euros].

Ce coût ne comprend que l’escorte policière (2,2 milliards de francs), le fonctionnement des centres de rétention administrative (188 millions de francs), les frais d’éloignement (275 millions de francs), la prise en charge sanitaire et sociale dans pour les seuls centres de rétention administratives (CRA) (66 millions de francs), et 33 millions de francs en crédits de paiement au titre de l'exercice des droits des clandestins.

Ne sont pas comptabilisés l’énorme coût social, le travail dans les préfectures, l’aide juridictionnelle payée aux avocats pour la défense des immigrés, les frais de tribunaux, etc.

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