Comptine

J’aiun p’tit boulot peinard,

Je dors bien, je me lève tard,

Pas de rendement, pas d’horaire,

Pas de patron, pas d’actionnaires.

Je prêche à tort et à travers

Des couplets plus ou moins pervers,

Sans risque de me faire sacquer,

Je suis l’Iman de la mosquée !

Pas besoin d’aller au turbin,

J’ai une douzaine de bambins,

Et tous les mois grâce aux morpions,

Je palpe de grosses allocations.

J’suis un seigneur, j’suis un Imam,

J’ai le droit d’être polygame.

Et tous les soirs à la casbah,

Je me goinfre tel un gros rat.

On me laisse faire mon p’tit business,

Une femme et deux ou trois maîtresses.

Ici c’est cool, c’est le bonheur,

J’ai le beurre et l’argent du beur !

J’suis un barbu, j’suis un notable,

Un protégé, un intouchable.

Et j’appelle mon avocat,

Dès qu’on emmerde mes meufs en burqà.

Et pendant que les Belges turbinent

Pour entretenir mes combines,

Moi j’me promène en djellaba,

Dans l’plat pays d’Ali-Baba ! ! !

Comments

[Lucien Rouvère]

Pour demeurer dans les "couplets plus ou moins pervers", voici une bedide jansson qui semble assez bien évoquer le sort des petits juifs, permières victime (sacrificielles et JAMAIS nommées comme
telles) de l'entité qu'on ne présente plus:


(sur l’air de « Sympathie » des Beattles)


 C’est moi Groucho, tapi dans la City,
J’ai acheté(¹) un très bon prix
Tout Israël, et bien sûr à crédit −
Mon crédit, banque de Varsovie
                         (t’as compris)


 Refrain


Ô sympathie pour le pauvre youpiÔ sympathie, oui sympathieÔ sympathie pour les élus meurtris
(C’est toujours bien pleurer qui nourrit).


 C’est moi Rico, de(²) Nouillorque City,
Que j’ai poussé la garantie
Il y fallait « six millions » de youpis −
C’est pas cher pour voler un pays
                           (mon z’ami)


 Refrain


Depuis Herzl et jusqu’à Ben Gourion
Tirer ficelles et sacrifions
De ces vies quelles valaient Israël ? −
Ca ne suffisait pas le(³) pognon
                          (mon mignon)


 Refrain


 C’est moi le vrai petit agneau Lévy
Le seul qui ait donné sa vie
Moi, j’ai sauté en flammes à Varsovie :
Tout pour mieux garantir le crédit
                          (aux zamis)


 Ô sympathie pour le
pauvre youpiÔ sympathie, oui sympathieÔ sympathie − oui, mais sous l’air
contrit
C’est toujours le petit qui pâtit...


_____________


(¹) Prononcer « chez »
(²) Prononcer « des »
(³) Prononcer « les »

[Hammer]

Selon fiqh, les kâfirûn devront subir la sharî'a selon fard kifâya dans le dar al-harb. Ils feront peut être hudna mais jamais cela ne sera
durable.


Première leçon sur le Coran (soumission)


Nous serons bientôt ces akdhâms (caste d'esclaves préposée aux basses besognes) soumise au zaîm. Iqra !


Va falloir apprendre à baisser la tête et ne jamais regarder dans le yeux. Vu.


Quoique cela se pratique déjà dans nos rues.


N'entends t-on pas "pour un regard cela a dégénéré". Mais savez-vous vraiment pourquoi ? La raison sous-jacente ? Non pas le regard soutenu perçu comme un défi, non cela c'est pour les incultes.
La raison première.


L'infidèle doit regarder le sol, toujours il lui faut baisser la tête devant sont zaîm. Les yeux de l'infidèle ne doivent pas contempler la face du saigneur. Interdit.


Fermer les yeux, pas de regard impurs sur les nouveaux élus fer de lance des vrais "élus".


Cela ne vous rappelle rien. Comme quoi on change de prophète : de momo à momo et on garde les mêmes attitudes lorsque que l'on doit contempler le $aigneur. Chez les uns seul certain peut aller
lui dire bonjour à condition de se voiler la face, chez les autres pas facile de faire bosser un esclace avec un torchon sur le visage et puis on ne pourrait pas les reconnaitre ses animaux, alos
on leur fait baisser la tête, faut s'adapter.  Ici, ce n'est plus le $aigneur des torturés du 8e jour, non, on a descendu d'un cran, il s'agit des soumis qui veulent soumettre en copiant le
texte des autres et en se l'aménageant façon pouvoir.


A lire pour devenir Marteau :


http://the-savoisien.com/wawa-conspi/viewtopic.php?id=1016