Journal de combat nationaliste et identitaire : informations, formation, doctrine, chants
L'Occupant a obtenu la censure de l'un des plus grands écrivains français du XXe siècle. La culture française est donc aujourd'hui directement commandée par des étrangers qui décident qui les Français peuvent ou ne peuvent pas célèbrer. Laquais d'Israël, Frédéric Mitterrand a lui-même fait supprimer de l'annuaire des commémorations officielles celle de la mort de Céline, sur ordre direct du fournisseur d'enfant pour l'armée criminelle de Jérusalem Klarsfeld.
Que cela n'empêche pas les Français de commémorer le cinquantenaire de la disparition de Louis-Ferdinand Céline, l'immortel auteur de Bagatelles pour un massacre avec ce court extrait.
Il n’est pas inutile de revenir sur ce sujet. Nous disions qu’au départ, tout article à "standardiser" : vedette, écrivain, musicien, politicien, soutien-gorge, cosmétique, purgatif, doit être essentiellement, avant tout, typiquement médiocre. Condition absolue. Pour s’imposer au goût, à l’admiration des foules les plus abruties, des spectateurs, des électeurs les plus mélasseux, des plus stupides avaleurs de sornettes, des plus cons jobardeurs frénétiques du Progrès, l’article à lancer doit être encore plus con, plus méprisable qu’eux tous à la fois. Cette espèce de crétins scientificolâtres, matérialistiques, "cosy-cornériens", prolifie, pullule depuis la Renaissance... Ils se feraient tuer pour le Palais de la Découverte. Quant aux productions littéraires "standardisables", désirées par ces néo-brutes, pires, bien moins artistes (mille preuves) que les Cromagnons, les "chefs-d’œuvre" anglo-saxons modernes en représentent assez bien l’atterrant niveau. Qu’est-il de plus abusif en fait de prédicante connerie, à part les films, qu’un roman anglais très prétentieusement littéraire, dans le genre de Lawrence ? Ou tout autre genre ?... Hardy, Chesterton, Lewis et là suite ? Je vous le demande ?... De plus fabriqué, de plus vain, bêtement bêlant ?... De plus sottement vicelard ? Gaffeusement "tranche de vie" ? Cahotique par impuissance, que les Dos-Passos, les Faulkner, les Cohen et complices ?... Fadasseries "montées force", outrances gratuites "montées délires", ressassages de nos plus désuets naturalistes, des plus cartonnées, des plus éculées "mea âneries", resservies, travesties, "sauce gangster" ?... Encore et encore...
Je les connais un petit peu tous ces personnages éminents de l’art hébraïque anglo-saxon, "damnés" de Bloomsbury, néo-murgériens du "Village", la plus foutue clique en vérité de petits larbins de Juifs, imposteurs esthétiformes qui se puisse imaginer... le plus éculé brelan de mystifiants petits fantoches cocaino-littéraires rassemblé à baver, tortiller, sous la calotte des juives pissotières de copies. Tous ces délicats transis, à la "Wilde". tous ces petits derviches maquillés "Frankenstein" ne persistent dans leur pitrerie. façon "lyrisme", ou façon "puissance" que par l’outrecuidance, par l’énormité des publicités juives, la jobardise croulante des snobs aryens. Voici les clowns pourris de notre débâcle, les fossoyeurs pédérastes de l’époque aryenne.
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Le Juif a déjà presque tout "standardisé" dans le domaine des arts majeurs. Il fait en ce moment de très grands efforts pour standardiser la littérature mondiale, traductions, agences littéraires, cénacles, académies, sont à pied d’œuvre, donnent à fond. Un tout petit fait entre mille : Pensez-vous, chers cocus, que ce soit naïvement, par effet du pur hasard, que l’Académie Goncourt, dans ses choix, lauréats, académiciens... s’enjuive chaque année davantage ?... Il faut au pouvoir juif de nombreux agents, des fourriers très zélés, bien placés, dociles, dévoués, finement gangsters, ils sont indispensables pour que l’armée de standardisation juive procède sans coup férir à l’étranglement de l’art indigène dans tous les domaines, les moindres replis, spirituels, matériels. Les traductions feront le reste, le gros ouvrage d’abrutissement. Mais il est indispensable d’ores et déjà que soigneusement l’on dégoûte, minimise, sape, scie, sans répit, implacablement, par tous les moyens, tous les créateurs, toute l’élite aryenne, Que le lit, le dais, les sinécures, les assurances, les trônes de toutes les pelures, les pires resucées, spongieuses galettes juives, rapidement s’édifient sur les décombres de l’art autochtone. La grande invasion par le film et les traductions ne doit être arrêtée par rien. On encule au millimètre, le premier centimètre c’est le plus dur, le plus coûteux... pour les suivants ça va tout seul ! Tous les pédérastes nous l’affirment. N’importe quel trou du cul peut devenir, bien enculé de publicité, un immense n’importe quoi, l’objet d’un culte, une suprêmissime vedette, un criminel horriblissime, une léviathane catastrophe, un film dantesque, une pâte à rasoir cosmique, un transatlantique qui fait déborder la mer, un apéritif qui fait tourner la terre, le plus grand Lépidaure des Ages, le Président du Conseil qui bouffe les casquettes vivantes. Plus c’est cul et creux, mieux ça porte. Le goût du commun est à ce prix. Le "bon sens" des foules c’est : toujours plus cons. L’esprit banquiste, il se finit à la puce savante, achèvement de l’art réaliste, sur-réaliste. Tous les partis politiques le savent bien. Ce sont tous des puciers savants. La boutonneuse Mélanie prend son coup de bite comme une reine, si 25.000 haut-parleurs hurlent à travers tous les échos, par-dessus tous les toits, soudain qu’elle est Mélanie l’incomparable... Un minimum d’originalité, mais énormément de réclame et de culot. L’être, l’étron, l’objet en cause de publicité sur lequel va se déverser la propagande massive, doit être avant tout au départ, aussi lisse, aussi insignifiant, aussi nul que possible. La peinture, le battage-publicitaire se répandra sur lui d’autant mieux qu’il sera plus soigneusement dépourvu d’aspérités, de toute originalité, que toutes ses surfaces seront absolument planes. Que rien en lui, au départ, ne peut susciter l’attention et surtout la controverse. La publicité pour bien donner tout son effet magique, ne doit être gênée, retenue, divertie par rien. Elle doit pouvoir affirmer, sacrer, vociférer, mégaphoniser les pires sottises, n’importe quelle himalayesque, décervelante, tonitruante fantasmagorie... à propos d’automobiles, de stars, de brosses à dents, d’écrivains, de chanteuses légères, de ceintures herniaires, sans que personne ne tique... ne s’élève au parterre, la plus minuscule naïve objection. Il faut que le parterre demeure en tout temps parfaitement hypnotisé de connerie.