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26 novembre 2010 5 26 /11 /novembre /2010 11:11

      Julia Lemigova est la fille d'un colonel soviétique ; elle fut la dernière Miss URSS.

      Elle vécut à Paris au milieu des années 1990, passant du mannequinat aux affaires, en montant sa propre société de cosmétique, White Russian, et en ouvrant le luxueux Joiya Spa, rue de la Renaissance.

 

      En 1997, sa vie change lorsqu'elle rencontre le financier milliardaire Stern et entame une aventure avec lui.

Stern était séparé de sa femme Beatrice David-Weill, avec qui il avait trois enfants.

      Il entretenait de nombreuses autres liaisons illicites, notamment lors d'orgies sado-masochistes.

      Même dans une ville fameuse pour son hédonisme, les témoins disent que ces parties sexuelles se déroulaient sous des conditions de sécurité extrêmes : des agents secrets armés contrôlaient chaque soirée, pour garantir la sécurité – et l'anonymat – des éminents participants.

 

      Avec Stern, « très proche de Sarközy » comme note le Dailymail (1), elle eut un enfant, Maximilien, mort dans des conditions suspectes. Julia Lemigova est parvenue, après plusieurs années, à faire rouvrir l’enquête.

 

      Toujours selon le Dailymail, cette affaire pourrait être « le plus gros scandale du mandat de Sarközy » ; mais si les casseroles s’accumulent pour l’occupant de l’Elysée, il faudrait encore que les médiats français fassent leur travail d’information et d’investigation. Dans cette affaire d’un nouveau-né mort dans des conditions suspectes à Paris, un rapport d’autopsie a été caché. Il n’y a eu aucune enquête pour ne pas troubler la vie de l’ami de Sarközy, non plus que les nombreux membres de son entourage impliqués dans les orgies, notables et hommes politiques en vue.

 

      Les enquêteurs suisses ont relayé d’autres graves accusations : « des agents du gouvernement français ont fait disparaître des documents "très importants" de la maison de Cécile Brossard ». Les policiers français auraient fait disparaître photos, carnets d’adresse et de téléphone, et des disques durs d’ordinateurs, qui contiendraient des preuves concernant la mort du petit Maximilien.

 

      Cécile Brossard était l’une des amantes de Stern. Elle a été condamnée pour la mort du milliardaire israélite. Ce dernier a été retrouvé entravé dans un costume sado-masochiste en latex le recouvrant de la tête au pied. Attaché à une chaise, il avait le corps criblé de quatre balles. Durant son procès elle s’est montrée d’une grande discrétion sur les soirées de débauche organisées auxquelles elle participait et sur les participants. Elle en a été bien récompensée : après seulement cinq ans de prison, elle a été libérée.

 

 

      Lemigova n’a pas tourné le dos à ses années de dépravation : elle vit avec une ancienne joueuse de tennis, fervente militante des "droits" des « lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres » [sic] Martina Navratilova qui, à bientôt 60 ans, envisage d’adopter des enfants. Elle assure qu’elle sera une mère « fun ».





1. Les citations sont extraites de l'article paru le 20 novembre 2010 dans le Daily Mail : « Tennis legend Martina, VIP orgies and the mystery of her model lover's 'murdered' baby »)

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14 novembre 2010 7 14 /11 /novembre /2010 11:11

 

Censure judaïquement et islamiquement correcte de l’ARPP

 

      L’Autorité de régulation professionnelle de la publicité (ARPP) a censuré deux visuels de la Fondation Brigitte Bardot contre l’abattage rituel des animaux selon les lois étrangères de la communauté juive et de la communauté musulmanes. Cet abattage est toléré alors même qu’il est en infraction avec la loi qui oblige, par humanité, d’étourdir les animaux avant qu’ils ne soient saignés. Selon les préceptes des religions du désert, l’animal doit être égorgé vivant.

 

      L’ARPP prétend que ces visuels pourraient « ridiculiser ou choquer » et refuse donc pour ce motif que les Français soient informés des pratiques barbares qui sont tolérés sur notre sol.

 

« On peut afficher, sur tous les murs de France “Fièrement Halal” mais il nous est interdit d’informer le consommateur sur ce qu’est réellement l’abattage rituel sans subir la censure. »

 

a dénoncé Brigitte Bardot.

 

 


http://img253.imageshack.us/img253/5986/abattagerituelhalalcash.jpg

 

http://img828.imageshack.us/img828/9679/abattagerituelhalalcashz.jpg

 

 

 

 

      Ci-dessous, une vidéo d’un abattage casher réalisé dans les locaux d’Agriprocessors, société dont nous avions évoqué ici les multiples scandales : cette plus grande société de nourriture casher au monde employait des clandestins gardés par des gardes armés, parfois des enfants, polluait l’environnement, etc.

       Les images sont susceptibles de heurter la sensibilité des plus jeunes

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23 octobre 2010 6 23 /10 /octobre /2010 15:15

 

(Article écrit durant les années 60 par François Brigneau, à une époque où les nationalistes français ont pu, par engagement anti-arabe à l'issue de la guerre d'Algérie, oublié les causes de la Seconde Guerre mondiale, l'attitude des leaders juifs durant la guerre d'Algérie et soutenir Israël. Une erreur dont tous sont revenus, remplacé par d'autres qui, eux, n'ont aucune excuse.)

 

 


      Lundi soir Paris avait rajeuni de neuf ans. Comme au mois de juin 1958, la ville en fièvre manifestait contre le monde arabe manipulé par l'internationale communiste. Des groupes hostiles défilaient devant l'Humanité. En se tenant les mains, de grandes chaînes d'hommes et de femmes montaient vers l'Étoile. Sur les boulevards, avenue de Wagram, rond-point des Champs-Élysées des processions d'automobiles s'organisaient spontanément. Enfin, pour ajouter à l'illusion, dans la nuit de printemps, retentissait à nouveau le ti-ti-ta-ta-ta des avertisseurs. Seulement, cette fois, il ne signifiait plus : « Algérie française. » Il voulait dire : « Israël vaincra. » Et bien si c'était le même air, chanté contre le même ennemi, on ne pouvait s'empêcher de remarquer que les chanteurs avaient changé.

 

      En 1962 quand vingt millions d'Arabes profitèrent de l'appui de l'U.R.S.S. et de la « neutralité » active du président de Gaulle pour chasser un million d'Européens d'une terre qu'ils occupaient depuis cent trente ans et qu'ils avaient transformée en jardin eux aussi, leur exode ne souleva aucune émotion. Aucun fonds international ne daigna quêter à leur profit. Dans les journaux on aurait cherché en vain un appel à la solidarité signé des éminentes personnalités dont la sensibilité vient de se réveiller. M. Daniel Mayer n'avait pas honte d'être un socialiste, un Français et un homme quand l'humanité laissait l'impérialisme arabe bouter hors de sa terre le petit peuple socialiste et français d'Algérie.

      Fait plus étrange encore : nul n'ignorait que parmi les rapatriés d'Afrique du Nord se trouvait une forte minorité d'Israélites. Tout le monde savait également que la victoire de M. Ben Bella allait fatalement ajouter à l'agressivité de l'Islam dont l'ennemi était Israël. Et cependant, à Paris, le grand tam-tam de l'intelligentzia juive battit pour les fellouzes.

 

 

      Dans cette monstrueuse alliance on pèsera plus tard la part qui revient à la reconnaissance pour le gaullisme et à l'attirance pour le marxisme. Pour l'heure il suffit de ne pas oublier la responsabilité que M. Lazareff de France-Soir, M. Siegel d'Europe 1, M. Servan-Schreiber de L’Express, comme M. Bellaiche et M. Aboulker d’Alger Républicain portent dans le drame qui menace l'existence de l'État juif et peut-être celle du monde tout entier. Car en aidant les Arabes à détruire l'Algérie française, ils préparaient la tentative de destruction d'Israël à laquelle nous assistons aujourd'hui.

 

 

      Contrairement à ceux qui font ti-ti-ti-ta-ta en 67 après avoir chanté Chérie, je t'aime, chérie, je t'adore, en 62, nous, nous n'avons pas changé.

      Depuis 1917, la révolution mondiale tentée par le communisme menace le visage et l'âme de la terre des hommes. Depuis 1917 nous sommes donc engagés contre elle dans une guerre unique, permanente et totale qui se déroule au travers de conflits contradictoires, limités et intermittents.

      L'un de ceux-ci eut pour théâtre l'Algérie, province française, tête de pont de l'Europe sur le continent africain. Nous l'avons perdu.

      Un autre se déroule actuellement dans le Moyen-Orient. Il suffit de regarder les camps en présence pour savoir que le nôtre perdrait encore si, après Alger, le drapeau arabe flottait sur Tel-Aviv.

 

 

      Qu'on m'entende bien. Je ne dis pas qu'Israël a toutes les raisons de son côté et les Arabes tous les torts. Les responsabilités sont certainement partagées dans l'explosion qui vient de se produire. Les malheurs historiques du peuple juif ne suffisent pas toujours à établir le bien-fondé de son comportement. La lecture de certains journaux le montre. Trop de transes et d'outrances. Et tant d'angoisse viscérale, que tout de suite le délire est là, l'hystérie qui pousse à l'affirmation frénétique de contre-vérités flagrantes.

 

 

      Ainsi le titre de France-Soir lundi matin, sans aucune possibilité de vérification: Les Égyptiens attaquent, que l'on rangera soigneusement au musée des bobards de presse – type même du « faux patriotique » que M. Lazareff condamnait si vivement chez les autres.

 

 

      Détail dira-t-on. Certes. Mais qui permet de douter de ce rôle de victime éternelle dans lequel Israël se complaît et qui lui va moins bien qu'il le croit.

      Pourtant accordons qu'en l'occurrence tout cela paraît bien secondaire au regard de l'essentiel qui est le jeu terrible du communisme. Pour ne pas remonter au-delà du pacte germano-soviétique, partout et toujours, aux moments chauds de l'histoire de notre génération, de la Corée à Cuba en passant par Berlin, les Soviets ont multiplié les grandes manœuvres diplomatiques qui mirent le monde aux portes de la guerre.

      Aujourd'hui après que M. Gromyko s’est entretenu avec le colonel Nasser, elle est là. Encore circonscrite à quelques dizaines de milliers de soldats. Mais nul ne peut dire ce qu’il adviendrait de nous si, face à l’ennemi prêt à provoquer un troisième conflit mondial pour assurer l’avenir de sa politique, le front anti-communiste se désagrégeait.

 

      C’est pourquoi nous souhaitons aux Juifs d’Israël, engagés dans le dernier épisode d’un long combat où nous avons fait notre part, ce que Spellman au Vietnam souhaitait aux soldats américains : la victoire et la paix.


http://img135.imageshack.us/img135/3126/titititata2.jpgUn air d'occupation

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16 octobre 2010 6 16 /10 /octobre /2010 10:10

Il y a peu, la réalisatrice du film La Rafle affirmait :

 

« Je me méfie de toute personne qui ne pleure pas en voyant le film. Il lui manque un gène, celui de la compassion (...) On pleure pendant La Rafle parce que… on ne peut que pleurer. Sauf si on est un "enfant gâté" de l’époque, sauf si on se délecte du cynisme au cinéma, sauf si on considère que les émotions humaines sont une abomination ou une faiblesse. C’est du reste ce que pensait Hitler : que les émotions sont de la sensiblerie. Il est intéressant de voir que ces pisse-froid rejoignent Hitler en esprit, non ? ».

 

 

      Elie Wiesel a renchéri aux propos de Rose Bosch. Il a déclaré solennelement à Genève :

 

« J'exige que l'on se souvienne.  ».

 

      Il évoquait les camps de concentration allemand de la Seconde Guerre mondiale. L'Université de Genève venait de faire de lui un docteur honoris causa.

      Le militant sioniste et holocaustique a violemment attaqué la Suisse :

 

« Pendant longtemps, j'ai eu des problèmes avec la Suisse. Pendant et avant la Deuxième Guerre mondiale, la Suisse n'était pas à la hauteur de mes idéaux [sic] pour un grand peuple. [...] En politique, la neutralité est envisageable, en philosophie morale non ».



      Juste avant lui, José Manuel Barroso, également devenu docteur honoris causa avait déclaré :

 

« Le racisme, la xénophobie, l'antisémitisme et l'intolérance n'ont pas leur place en Europe. [...] Des courants exploitent la crise économique pour provoquer un réflexe de repli identitaire. »

 

      Le président de la commission n'a pourtant reçu aucun mandat pour s'exprimer au nom des Européens. Au contraire. Il n'a aucun titre pour dire ce qui a sa place ou non en Europe. Nous Européens, avons des droits pour définir qui a sa place ou non sur notre terre.
      Le Portugais a violemment insulté le nationalisme qualifié de "poison ultime".

 

 

      José Manuel Barroso aurait pu commenter les propos d'Elie Wiesel, tenu dans Legends of Our Time, New York, Avon Books, 1968, p. 177-178), où le prix Nobel de la Paix écrivait :

 

«  Tout juif, quelque part en lui, devrait se ménager une zone de haine - une haine saine et virile - pour ce que l'Allemand personnifie et pour ce qui persiste dans l'Allemand. Agir autrement serait trahir les morts. »

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8 octobre 2010 5 08 /10 /octobre /2010 06:20

Berlusconi l'Israélien

       L'occupation de l'Europe se poursuit, avec la complicité active des dirigeants, de l'extrême gauche aux libéraux et conservateurs. Après les dirigeants allemands et leurs reptations devant le Lobby, c'était hier au tour de Berlusconi de s'applatir devant Israël et ses dogmes :

"La visite au camp d'extermination d'Auschwitz - de même que l'horreur pour la barbarie de l'"holocauste"- a fait naître en moi un sentiment de solidarité ineffaçable: depuis, je me sens Israélien. [...] La sécurité d'Israël dans ses frontières et son droit à exister comme Etat juif sont pour nous Italiens un choix éthique [sic] et un impératif moral contre tout retour à l'antisémitisme et au [révisionnisme] et contre les menaces récentes, pour nous intolérables, d'agresser et de détruire l'Etat d'Israël".

 

      Le féal d'Israël et de sa colonie américaine n'a pas oublié d'attaquer le courageux président iranien Mahmoud Ahmadinejad. Il ne manquera d'envoyer mourir demain les Italiens dans les plaines iraniennes pour satisfaire ses maîtres...


      Il participait avec l'ensemble des dirigeants italiens à une réunion intitulée "Pour la vérité, pour Israël". Le titre suffit à en décrire l'esprit mensonger et manipulateur.


      Gianfranco Fini a tenté de s'assurer un avenir politique en Italie en s'applatissant plus encore devant les maîtres du temps. Il a osé déclarer :

 

"Israël est l'avant-poste de la démocratie des valeurs de l'Occident au Moyen Orient".




      Signe du terrible cancer qui ronge l'Europe, l'ancien Premier ministre espagnol Jose Maria Aznar avait également fait le déplacement. Le créateur de la fondation "Amis d'Israël" a ajouté au déshonneur le mensonge  :

 

"Israël n'est pas un pays du Moyen Orient mais un pays occidental du Moyen Orient. [...] Nous partageons avec Israël la même histoire et les mêmes menaces. [...] Chaque problème d'Israël est un problème pour nous tous".

 

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7 octobre 2010 4 07 /10 /octobre /2010 14:14

      Il y a quelques jours le président de la Réplique allemande Christian Wulff avait affirmé être aussi le président des Allemands musulmans, laissant entendre qu'il est surtout celui des Juifs et des chrétiens :

 

« Le christianisme et la judaïsme appartiennent sans nulle doute [sic] à l'Allemagne. C'est notre [sic] histoire judéo-chrétienne. Mais désormais, l'islam aussi fait partie de l'Allemagne »

 

 

      Les « judéo-chrétiens » constitueraient donc une sorte de nouvel étalon de la germanité. Angela Merkel s’est démarqué de ses propos qui banalisent trop la présence juive en Allemagne. Ce peuple, pourtant ethniquement et spirituellement étranger aux racines de l’Europe, n’a jamais réussi à s’intégrer malgré une présence parfois de plusieurs centaines d’années. Il a cependant su s’insérer dans certains rouages importants des sociétés européennes, au point de faire voter, par exemple, des lois restreignant grandement la liberté des Européens de souche et à cause desquelles aujourd'hui, de nombreux dissidents sont persécutés.

      Angela Merkel, après les protestations de la banalisation de la présence islamiste en européenne a été contrainte de se lancer dans une surenchère surréaliste sur le judaïsme en Allemagne

 

« L'Allemagne est marquée par ses valeurs chrétiennes, par ses valeurs juives. [...] C'est ce qui marque notre Histoire. Entre-temps bien sûr nous avons des musulmans en Allemagne. »

 

« Notre culture s'appuie sur des valeurs chrétiennes et juives depuis des centaines d'années, sinon des milliers d'années »


a affirmé la chancelière allemande contre toute vérité, les valeurs du judaïsme ayant été toujours combattu dans l'histoire des sociétés européennes et particulièrement en Allemagne, depuis les régimes féodaux jusqu'au régime national-socialiste.



« Chez nous prévaut la Loi fondamentale et non la charia. [...] »

 

a-t-elle précisé, laissant clairement entendre qu’un rôle particulier a été accordé à la religion juive dans le texte qui sert de Constitution à la République allemande.



      Cette offensive anti-européenne est générale s’inscrivant dans la violente campagne philosémite à l'œuvre en Allemagne (comme d’ailleurs dans le reste de l’Europe notamment via la manipulation des éléments les plus conscients par des groupuscules prétenduement nationalistes ou identitaires et inféodés aux forces étrangères sionistes). Le président de la CSU, Horst Seehofer, a déclaré :


« La base pour la vie en commun au sein de la République fédérale est la Constitution. Elle est basée sur les racines judéo-chrétiennes [sic], l’humanisme et les lumières. Nous voulons une société "d’un avec l’autre" plutôt que "d’une à côté de l’autre" ou que "d’un contre l’autre". La société multiculturelle est une culture "de l’un contre l’autre" qui en conséquence a échoué. »

 

Il visait bien entendu l’islam et non la présence et l’influence des étrangers, osant prétendre qu'il existerait une même culture judaïque et européenne.

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2 octobre 2010 6 02 /10 /octobre /2010 20:29

Article d'Eric Delcroix publié dans l'hebdomadaire Rivarol du 1er octobre 2010.

 

 

      Pour ceux des lecteurs de Rivarol qui l’ignoreraient, le CEPE est le Comité d’entraide aux prisonniers européens, animé par son président Richard Roudier, devenu aussi président de la Ligue du Midi. J’avais jusqu’ici une image très positive de cette association car, lorsque j’étais l’avocat de Michel Lajoye, elle avait apporté une aide matérielle déterminante afin d’établir la logistique requise pour sa mise en liberté conditionnelle, presque autant que les généreux lecteurs de notre hebdomadaire. Une réussite dont Michel Lajoye, par son attitude remarquable d’homme (presque) libre, nous récompense chaque jour comme je peux en témoigner.

 

      Après que Vincent Reynouard eut été embastillé, cet été, j’ai benoîtement et en confiance demandé l’engagement du CEPE, qui me paraissait évidemment aller de soi... Eh bien non ! Et seul un refus implicite – rien d’explicite, la chape de silence des grands media du système – m’a été opposé. J’ai écrit ma grande déception au président Roudier ; je la crie ici...

 

      Voyons les choses en face : le CEPE, qui prétend sur son site internet [A] appuyer les victimes des « loi liberticides », refuse d’aider un prisonnier, le prisonnier condamné au titre de la plus emblématique de ces lois en France, la trop fameuse loi Fabius-Gayssot. Et pourtant M. Reynouard, délinquant d’opinion, a bien besoin d’aide, pour lui certes mais aussi et d’abord pour sa famille, pour sa femme et ses huit enfants.

 

      Je ne crois pas trop m’avancer – mais il me faut bien me risque faute d’explicitation de la part du CEPE – en voyant dans cette attitude une dérive qui dénature le Bloc identitaire dont la Ligue du Midi de Richard Roudier est l’une des composantes [B]. Cette dérive, fondée sur une analyse fausse, à la Geert Wilders (1), consiste à chercher à plaire aux sionistes, en y voyant bien naïvement des alliés contre l’islamisation. (Je renvoie là-dessus nos lecteurs à la mise en garde de Pierre Vial, « Grandes manœuvres juives de séduction à l’égard de l’extrême droite européenne », dans Terre & Peuple (2) été 2010). D’où une hypocrisie « cachez ce révisionniste que je ne saurais voir »...

 

      Ces apprentis sorciers ignorent que judaïsme et islam sont l’avers et l’envers d’une même médaille levantine. L’islam n’est que le judaïsme à l’usage des Goyim : hallal ou casher, c’est exactement la même chose. J’entends par là deux aspects d’un même esprit oriental typique, savoir le sémitisme. Très pertinemment analysé par Isaac Kadmi-Cohen dans son livre Nomades, essais sur l’âme juive, 1929. Esprit que Renan avait déjà assez bien défini en son temps, caractérisant tout ce qui le sépare inexorablement de l’âme européenne. Comment ces militants, souvent inventifs et courageux [B], peuvent-ils négliger à ce point leur formation pour ne pas comprendre le caractère très limité et codé des conflits intra-sémitiques ? Si les presque 130 millions d’Arabes essentiellement musulmans, gorgés de pétrole et richissimes en pétro-dollars, étaient anti-juifs, Israël n’existerait plus depuis belle lurette. Ne voient-ils pas que c’est l’armée arabe et musulmane égyptienne qui boucle le sud du gigantesque camp de concertation qu’est Gaza et en assure le blocus ? Ils ne soutiennent les Palestiniens martyrisés que par de mâles mais vaines paroles, avec quelques chèques encaissés via la banque Leumi Israël qui palpe les agios... Seuls les régimes arabes résolument laïques ont réellement combattu Israël (l’Iran n’étant pas un pays arabe). Et, pour rester chez nous (?), les naïfs ne voient-ils pas que la plus virulente des ligues de vertu "antiracistes", dans la chasse aux contempteurs de l’islam, est la très sioniste LICRA ?

 

      Les jeunes Beurs ne s’y trompent pas, qui sont bien plus agressifs avec les souchiens qu’avec les jeunes israélites, même si l’écho médiatique est sans commune mesure quand les seconds sont inquiétés. Qu’espère le CEPE en ignorant l’emprisonnement du révisionniste Vincent Reynouard : avoir un tabouret à l’office, pour grappiller les reliefs cashères du dîner annuel du CRIF (3) ?

 

      Adieu CEPE. Et vive la soupe au cochon, saperlipopette, bien goûteuse et discriminatoire à souhait !

 

Eric Delcroix,

Libre discriminateur,

Président des Amis de Rivarol.

 

 


1. Parlementaire hollandais pro-sioniste et anti-musulman, qui prend l’islam pour... un fascisme !

2. BP 46 – 69380 Lozanne.

3. Conseil représentatif des institutions juives.

 

[Les notes suivantes ont été ajoutées par nos soins]

A. Le site internet ne semble plus accessible depuis. Le CEPE, relancé artificiellement pour la libération de René Galinier a-t-il été replongé dans son sommeil pour laisser la place à un « Comité Galinier », dont la première action a été parrainée par le député sioniste UMP Elie Aboud ?

B. Ce n’est pas une première : lors de la fondation du Bloc "identitaire" [sic], après un article du Mondepointant du doigt la présence sur le stand du CEPE de cartes postales représentants plusieurs anciens prisonniers politiques européens – Codreanu, Brasillach – la direction du parti avait dénoncé l’association, interdisant immédiatement la double appartenance (pas israélienne/française, mais BI/CEPE), Richard Roudier annonçant qu'il allait se démettre du CEPE.

C. Courage assez peu visible quand ils attaquent (ou font attaquer) des nationalistes, par surprise et toujours – vieille méthode de la LDJ – en nombre supérieur aux agressés.

 

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 10:10

      Voici la reproduction (avec diverses circoncisions) de l’article apologétique du Figaro après la mort de Georges Charpak.

 

« Né en Pologne [...] dans une famille juive [...] Deux ans plus tard, ses parents partent pour la Palestine, à Haïfa [...]. Les temps sont difficiles [...] et décident, au bout de deux ans, de rentrer en Pologne. [...] A 8 ans, il rejoint la France et se prénomme désormais Georges. L'objectif du voyage est l'exposition coloniale de 1931 mais les Charpak [...] s'installent définitivement et deviennent des immigrés en situation irrégulière. 

Georges Charpak [...] se met à fréquenter les Faucons rouges, scouts laïcs d'obédience socialiste. [...] Il refuse de porter l'étoile jaune [mensonge historique vu la chronologie, NDLR] et s'insurge contre ses camarades «bourgeois» qu'il juge trop «passifs» dans la guerre contre le [national-socialisme]. L'antisémitisme prend de l'ampleur au lycée et Charpak sent la nécessité de s'engager. Les socialistes le lassent, le non engagement de Léon Blum lors de la guerre d'Espagne le choque.

La lecture de La condition humaine est déterminante, il devient communiste. Averti par le père d'un copain policier d'une prochaine arrestation de juifs, la famille fuit Paris et le jeune Georges attérit [sic] à Montpellier où il intègre la Résistance [sic]. [...] Quelques temps après, il est déporté à Dachau. [...] Puis, arrive 1945 et les GI qui l'embarquent, lui offrent des haricots blancs. [...] Charpak entre comme stagiaire au CNRS. Puis Léon Lederman, lui propose de rejoindre l'équipe qu'il créait au Cern pour travailler sur les hautes énergies et il quitte alors la France pour Genève. [patriote, on vous le dit] ».

 

 

      En 1956, après le massacre des résistants à Budapest par les troupes de Staline, ce grand « humaniste » est toujours communiste. Il « s’interroge », donc, mais ne semble d’ailleurs jamais avoir condamné les crimes du communisme, le plus sanglant régime dans l’histoire de l’humanité, ni avoir fait repentance pour avoir été le serviteur de cette idéologie génocidaire.

 

      C’est sans doute parce qu’il a violé nos frontières, menti à notre justice, quitté notre pays pour l’argent et le prestige social et qu’il fut un actif (?) partisan de Staline que Sarközy a pu saluer hier « l'homme engagé, le résistant, le combattant infatigable du savoir et du progrès » rendant « hommage à ce grand humaniste dont la vie et l'engagement sont un exemple pour le pays et pour sa jeunesse ».

 

       Georges Charpak, ou la version intellectuelle et levantine des mercenaires footeux importés d’Afrique pour colorer l’équipe de France ?

 

http://img535.imageshack.us/img535/440/ideolobbiepetit.jpg

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27 septembre 2010 1 27 /09 /septembre /2010 16:00

Avec l'appui général des grands médiats, Raphaël Haroche sort  aujourd'hui un nouvel album. Chanson remarquée et particulièrement mise en avant : "Le Patriote". Le nom original de la chanson était "Bleu blanc rouge".

 

[...]

 

Mais la France parfois ca m’déprime

et les français sont désolants

 

Le conformisme des enfants

Qui peuvent pas aligner deux phrases

Et le courage de leur parents

Devant le monde qui s’embrase

Les étrangers, ça va dans des camps

On va quand même pas sauver le monde

Et mes Santiago dans tes dents

C'est toujours mieux que d'te répondre

Avec mes amitiés viriles

Et c'est sûr, la France, ça me déprime

 

Il faut chanter la marseillaise

Et avé’ la main sur le cœur

Moi je la siffle avec les beurs

Prie pour qu’au foot on soit de la baise

L'ordre moral est bien partout

La démago de gauche à droite

J'aime mieux attendre qu'ils soient bien saouls

Avant de me battre

 

[...]

 

Ca parle encore dans les cafés

Ca parle toujours dans les journaux

C'est toujours nous qu'on va payer

Tous des pourris, tous au poteau

Que les meilleurs partent en premier

Restent donc que les bons connards

Ca fait longtemps que je l'avais noté

Planqué derrière mes lunettes noires

J'ai comme une idée qu'il faut que j'te dise

Cette France, hé bien moi, j’la méprise

 

[...]

 

 

 

 

 

 

« Raphaël » est né d’un père juif métisse (métisse ashkénaze-sépharade) et d’une mère présentée comme originaire « d’Argentine ». Il ne s'est pas prononcé sur l'Hatikvah (Lהתקווה ou הַתִּקְוָה) : la siffle-t-il avec les Palestiniens - qui, eux, sont chez eux et n'agissent pas par haine de la France.

Il est titulaire d'un DEA de Droit de la propriété littéraire et artistique. Au cas où... Un vrai rebelle au système, on vous dit.

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9 septembre 2010 4 09 /09 /septembre /2010 17:17

        Le Wall Street Journal a lancé une campagne de presse contre le commissaire européen au Commerce Karel de Gucht. Il avait déclaré le 2 septembre au micro d'une radio  (voir notre article) :

 

« Il ne faut pas sous-estimer l’influence du lobby juif au Capitole. C'est le groupe de pression le mieux organisé qui y existe. En d'autres termes, il ne faut pas sous-estimer l'emprise du lobby juif sur la politique américaine. Que ce soit dans le camp démocrate ou républicain, ça revient à peu près au même. »


        Face aux pressions du lobby qu'il dénonçait l'ancien ministre belge des Affaires étrangères a été contraint de s'excuser.

 

« Je veux qu’il soit clair que l’antisémitisme n’a pas sa place dans le monde d’aujourd’hui, et que celui-ci va à l’encontre de nos valeurs européennes [sic]. »

 

 

        Ce geste de soumission a été considéré comme insuffisant par le Wall Street journal qui réclame la tête de l'homme politique dans un éditorial. Le journaliste condamne les autorités européennes et n'hésite pas à dicter les gestes qui doivent être adoptés par les politiques en Europe et par la Maison Blanche.
        Sûr de lui-même et dominateur, le journal rappelle un précédent,  comment l'Autriche avait été mise au ban des nations après l'élection par le peuple Autrichien de Jorg Haider, suite à une violente guerre médiatique.


        Le Wall Street Journal n'hésite pas à exiger qu'Obama annule un sommet EUA-EU en novembre prochain, si Karel de  Gucht n'est pas limogé. De nombreux leaders communautaires participent à cette chasse à l'homme, au premier desquels Abraham Foxman, directeur de l'Anti-deafamtion league.


        Le Wall Street Journal est l'un des journaux les plus lus aux Etats-Unis et dans le monde : en mars 2010, il éditait 2,1 millions d'exemplaires (comparativement, USA Today's ne tirait qu'à 1,8 million).

        Connu pour son sionisme, il a été racheté en 2007 par le très influent membre de la communauté juive Rupert Murdoch.

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