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26 septembre 2011 1 26 /09 /septembre /2011 03:23

            Anghel Plovdiv, un jeune Bulgare, a été assassiné vendredi par des criminels tziganes bien connus, notamment le "roi Kiro" chef de ces étrangers en Bulgarie. Le jeune homme promenait son chien quand il a été percuté volontairement et traîné par la voiture des criminels, issus de la « tribu des Rashkov » met en coupe réglée la région de Katunista.

            Une vague d'indignation a secoué le pays ; l'arrestation des étrangers criminels a été exigée ainsi que l'expulsion de la tribu des Rashkov. À travers la Bulgarie, à l’occasion d’événements sportifs ou autres, des moments de silence et de recueillement ont été respectés en la mémoire du jeune homme assassiné. Mais les appels à la justice sont restés vains.

            Face au silence complice des autorités et l’inaction de la police, une manifestation s'est organisée : plusieurs milliers de bulgares ont attaqué un camp des occupants. Trois palais du "roi Kiro" ont été détruits à Katunitsa, mais la police a protégé la fuite des criminels.

            Plus grave encore, les forces de l'ordre ont réprimé sévèrement la révolte des autochtones et un jeune garçon de 16 ans, Pavel, ami d'Anghel, est décédé (d’un « accident cardiaque » selon les autorités). Plusieurs dizaines de personnes ont été blessées et 127 Bulgares ont été arrêtés.

            Les criminels, dénoncés pourtant même au sein de la communauté tzigane, sont parvenus à s'enfuir mais le tueur aurait été arrêté en tentant de franchir la frontière.

 

 

 

 

 

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25 septembre 2011 7 25 /09 /septembre /2011 14:14

 

 



« J’ai formulé l’hypothèse que l’homme a un instinct territorial et que si nous défendons nos foyers et nos patries, c’est pour des raisons biologiques, non point parce que nous choisissons de le faire, mais parce que nous devons le faire ». 


 

Robert Ardrey (La Loi naturelle)    




 

http://img97.imageshack.us/img97/7994/ladefensedufoyerboissea.jpg

 

La défense du foyer - Emile Boisseau

 

 

 

 

 

 

 

 

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 14:14

            Deux proches de Sarközy dont l’un de ses amis intimes ont été enfin mis en examen dans l’affaire dite de Karachi ; il s’agit de l’hébraïque Thierry Goldenberg (dit Thierry Gaubert) et Nicolas Bazire.

            Lors de ventes d’armes au Pakistan, un vaste système de corruption – pudiquement appelé "rétrocommissions" – a été mis en place. Réalisé à partir du sommet de l’Etat alors dominé par le RPR (reconverti quelques années plus tard en UMP), les grands bénéficiaires de cette corruption auraient été Édouard Balladur et Nicolas Sarközy qui menaient alors campagne contre Jacques Chirac lors des présidentielles de 1995. Les comptes de campagne d’Edouard Balladur n’ont d’ailleurs été validé, contre l’avis des rapporteurs, que grâce au corrompu Roland Dumas qui dirigeait alors le Conseil d’État.

 

 

            Thierry Goldenberg était chef de cabinet adjoint de Sarközy au ministère du budget. Le directeur de cabinet était Brice Hortefeux. Sarközy était l’organisateur de la campagne de Balladur. Il est le frère de Patrick Gaubert, ultra-sioniste, ancien président de la LICRA et élu UMP. Émule de Trotzky, Patrick Gaubert se spécialisa sous les ordres de Pasqua dans la traque des nationalistes au sein du ministère de l’Intérieur. Il soutient par ailleurs quelques dictatures en Afrique.

 

            Né à Fort-de-France, Nicolas Bazire est le fils d’un ancien dirigeant de l’ORTF. Frère de Benoît Bazire, PDG d’Areva et d’Arnaud Bazire, PDG de Lamy, ce sarközyste travaillait comme directeur de cabinet d’Edouard Balladur. Très proche de Sarközy, cet affairiste politicien UMP est membre des hautes instances de la banque Rothschild & Cie et travaille pour Bernard Arnault. Première fortune de France, ce dernier est également un proche de Sarközy pour lequel il a été, tout comme Bazire, témoin de mariage. Il participe à la gestion de nombreux groupes (Carrefour, Montaine, Ipsos...).

            Nicolas Bazire a participé cette année à la conférence du groupe mondialiste Bilderberg.

 

 

            Brice Hortefeux est désormais impliqué dans l’affaire Karachi, ainsi que Jean-François Copé. Hortefeux est intervenu totalement illégalement dans la procédure judiciaire en prévenant ses amis de l’avancée de l’enquête et de leur prochaine mise en cause.

            Selon des écoutes téléphoniques du 14 septembre 2011, Brice Hortefeux a appelé Thierry Goldenberg après la mise en examen de Ziad Takieddine, un affairiste "franco"-libanais, présumé acteur actif du financement illégal de la campagne de Balladur en 1995 par la corruption. Contrairement à tous les principes de la justice et de la moralité, il l’a mis au courant de nombreuses informations confidentielles. Brice Hortefeux a obtenu les détails d’une déposition alors même que le juge ne l’a pas encore intégré au dossier.

 

            Ce "rebondissement" intervient après les confessions de la future ex-épouse de Goldenberg, la "princesse" de Hélène De Yougoslavie. Elle a révélé que Goldenberg et Takieddine faisaient régulièrement des voyages en Suisse pour ramener l’argent de la corruption pour les remettre à Bazire. La femme de Takiedinne, qui est également en instance de divorce, a fait d’autres révélations dans ce dossier.

            Le juge a ainsi appris que Copé, Hortefeux, Takiedinne étaient très bons amis. Plus que cela pour l’israélite Copé : il aurait été arrosé par l’affairiste libanais, notamment en échange d’intervention alors que l’étranger était ministre du Budget.

 

 

 

-Elle balance beaucoup apparemment, Hélène

-Qu’est-ce que tu as comme infos là-dessus, toi, parce qu’elle me dit qu’elle dit rien?

-Ça m’embête de te le dire par téléphone (…). Il y a beaucoup de choses, hein… (...) Je te raconterai, poursuit-il, mais ils ont énormément de choses (…). T’as eu Bazire, parce que visiblement il est lui dedans, dans cette histoire.

-C’est pas Hélène qui a parlé directement…

-Elle a été entendue. Elle sait. Elle était beaucoup au courant de tes activités.

-Écoute, euh, essaie de passer un de ces quatre quand même…

 

 

 

            Le ministre-délinquant Brice Hortefeux est parvenu par ailleurs à joindre complice Goldenberg alors même que ce dernier se trouvait en garde à vue.

 

-Allô…

–Oui, c’est Brice.

-Oui, je suis en garde à vue, là.

-Ah bon, d’accord OK, à tout à l’heure.

 

 

 

            Interrogé Goldenberg a démenti avoir reçu un tel coup de téléphone... Avant d’avouer avoir menti après avoir entendu les écoutes. Plus sagement, Brice Hortefeux a reconnu les faits devant les journalistes.

 

 

 

            Il est à noter que dans cette affaire la quasi-totalité des mis en cause sont étrangers :

-Sarközy (Israël et autre)

-Balladur (Turquie, Arménie)

-la famille Goldenberg (Israël);

-Takieddine (Liban)

...

 

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19 septembre 2011 1 19 /09 /septembre /2011 02:02

            Court reportage réalisé par des journalistes de Canal+ sur la francmaçonnisation des esprits au néo-Front national. L'étranger levantin à la tête du parti, fondé autrefois par François Duprat, Léon Gaultier, Roland Gaucher, Pierre Bousquet, François Brigneau, Victor Barthélémy, y a fait entrer des membres de la secte maçonnique qui ont accédé aux plus hautes responsabilités (Gilbert Collard étant président d'un comité de soutien à Marine Le Pen, Va léry Le Douguet étant chargé du dossier "justice" du FN, Richard Sulzer, conseiller de Marine Le Pen etc.)

            Depuis 200 ans, les francs-maçons ont été en France à l'origine de toutes les lois anti-nationales : propagateurs du libéralisme et de l'individualisme, promoteur de l'immigration et de l'ouverture des frontières, instigateurs de la monnaie unique, ce sont les mêmes qui ont activement lutté pour l'instauration de l'avortement de masse, instrument du génocide français, l'abolition de la peine de mort et qui aujourd'hui se mobilisent pour la légalisation des drogues, la régularisation des clandestins et la dissolution de la France dans l'Union européenne.

            Les journalistes passent rapidement sur l'indécent étalage de luxe de la famille Le Pen comme sur les reniements du patriarche concernant les éléments fondamentaux du combat contre le système.

            Le secrétaire général du Parti de la France, Thomas Joly, intervient durant ce reportage pour réaffirmer quelques vérités.

 

 

 

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15 septembre 2011 4 15 /09 /septembre /2011 23:23

Voici un texte inédit de Julius Evola dans sa traduction française et consacré aux Napolas, ces écoles d’élites dans l’Allemagne nationale-socialiste.

La traduction en été réalisée dans le cadre du Forum National Social & Radical et nous le publions avec l’aimable autorisation du traducteur. 

 

 

 

 

             Nous pensons qu’il est intéressant de fournir quelques informations au sujet de certaines nouvelles initiatives germaniques, dont le but est de donner une forme politique particulière au domaine de l’éducation « qualitative », qui à l’époque précédente avait essentiellement été confié à certains instituts privés. Et nous commencerons par un aperçu des dites « Napolas ».             

             Napolas1est l’abréviation de National Politische Erziehungsanstalten, ce qui signifie « Instituts d’éducation nationale-politique »2. Voici quelles furent leurs origines : suite au traité de Versailles, l’Allemagne fut contrainte de fermer certaines écoles d’officiers3; le gouvernement allemand de l’immédiate après-guerre en fit alors les « Staatliche Bildungsanstalten », des instituts éducatifs publics destinés à accueillir des jeunes nécessiteux, négligés par leurs familles. Il s’agissait de scuole medie4discernant des diplômes légalement reconnus, où l’éducation était principalement libérale et apolitique ; elle était complétée par une formation sportive assez développée.

 

             Une fois le national-socialisme arrivé au pouvoir, ces instituts furent de nouveaux transformés pour devenir les Napolas. Celles-ci, contrôlées par l’État nouveau, ont des finalités strictement politico-sélectives. Elles sont destinées à accueillir des jeunes particulièrement doués et à développer en eux les qualités qui peuvent les rendre aptes à exercer des fonctions dirigeantes, pas nécessairement dans l’Armée ou dans le Parti, mais dans n’importe quel domaine de la vie. Une telle conception totalitaire qui accorde une attention particulière au développement des qualités viriles s’accompagne d’une sensibilité « sociale », d’une habitude consistant à considérer ses propres actions dans leur rapport à une communauté.

http://img856.imageshack.us/img856/8072/bundesarchivbild1461978.jpg             Sont ainsi caractéristiques les déclarations que nous avait faites personnellement – au cours d’une de nos visites – l’un des inspecteurs généraux de ces instituts. Celui-ci avait souligné la distinction qui devait être effectuée entre l’éducation familiale privée et l’éducation politique. Il avait contesté que l’éducation politique puisse être considérée comme un développement ultérieure de celle, « naturaliste », que le jeune pouvait recevoir dans le cadre familial. Il s’agit au contraire d’une phase distincte, qui a d’autres pré-requis et se fonde sur d’autres principes, principalement celui de la Soldatische Gemeinschaft5, de la communauté et de la solidarité qui peut exister au sein d’un groupe guerrier. C’est surtout dans un tel sens que veulent agir les Napolas : pas comme une copie ou un prolongement de la famille. C’est à un Ordre différent et plus vaste que le jeune doit se sentir appartenir, un Ordre qui a sa propre loi et sa propre morale.

             Tandis que l’admission aux Staatliche Bildungsanstalten, soit la précédente forme libérale des instituts en question, était libre, dépendait uniquement de la volonté des étudiants, ne viennent à l’inverse dans les Napolas que les jeunes qui ont été signalés dans les écoles inférieures ou par les chefs des organisations de jeunesse du Parti pour leurs dispositions particulières et privilégiées. L’admission peut survenir soit à 10 ans, soit à 14 ans, et le cursus complet dure huit ans dans le premier cas, et quatre ans dans le second.

             Il n’existe pas de tarif fixe pour l’admission dans ces internats scolaires. L’offre peut être gratuite selon les moyens de la famille du jeune qui a été reconnu digne d’être admis. Il n’est pas possible de redoubler une classe. Si dans l’étude ou dans une autre branche de l’éducation, un jeune se montre déficient, il est systématiquement exclu.

 

http://img32.imageshack.us/img32/2646/highres30020518copy.jpg

 

             Dans les Napolas, dans le cadre de l’instruction physique et de la fortification du caractère, on trouve aussi les « preuves de courage » que nous avons déjà mentionnées en parlant d’instituts similaires en Allemagne. Par exemple, on demande même aux plus petits élèves, à ceux de dix ans, de se jeter dans l’eau d’une certaine hauteur, y compris s’ils ne savent pas nager, ou aux plus grands, entre autres, de monter un cheval vif sans selle ; leur comportement est attentivement observé en tant que « preuves de combativité », et ainsi de suite. Du point de vue de l’individu, on cherche la singularité dans un groupe ; une attention particulière est portée aux dons de la camaraderie, comme aux capacités de commandement sur ses camarades et au sens de la responsabilité qui y est lié. Afin de faciliter le développement de tels dons, dans les Napolas est accordée une grande place au principe de l’autodiscipline, c’est à dire que l’ordre est confié à des jeunes auxquels on confère, selon leurs qualités, une autorité sur un certain groupe.

             C’est aussi sur la base de tels dons que l’on juge si les jeunes sont dignes ou non de rester dans les instituts en question. La confirmation de l’admission survient, en principe, après un an de probation. Mais le test continue plus tard et le jeune doit savoir qu’il peut être renvoyé à tout moment s’il ne se montre pas digne de la hauteur des idéaux des Napolas.             

             Quant à l’enseignement pratique, il ne se veut pas inférieur à celui dispensé dans les autres écoles. Conformément à l’idée d’une éducation totalitaire, l’élément esthétique n’est pas négligé, on enseigne non seulement le dessin et la peinture impressionniste, mais aussi le chant qui a, ici, une place non négligeable. Par ailleurs, on attribue les élèves à des enseignants jeunes, de telle sorte que, de par leur prestance physique, ils puissent également être leurs maîtres, leurs concurrents ou leurs capitaines lors du camp sportif (ou lors des exercices tactiques collectifs) qui a lieu périodiquement et, une fois par an, lors du concours des élèves des 20 écoles qui existent dans tout le Reich6.

 

             Concernant l’éducation politique, on a recours à la méthode dite « casuistique ». On préfère, à l’exposition de concepts abstraits, présenter aux jeunes des cas concrets et examiner l’opinion qu’ils doivent s’en faire. Ainsi, on tend davantage à faire agir et à raffiner une sensibilité donnée qu’à inculquer des schémas génériques des idées politiques ou sociales.

             Une initiative singulière et audacieuse des Napolas consiste à envoyer les jeunes faire vie commune, les plus jeunes avec des familles de paysans, les plus âgés avec des familles d’ouvriers industriels, pour une période pouvant aller de six à huit semaines. Durant cette période, le jeune homme est embauché par la famille comme travailleur salarié, vit avec eux, doit subvenir à ses besoins avec son salaire, et il lui est interdit de recevoir de l’argent ou des colis de sa famille. Lors d’une telle période de vie commune, le jeune doit pouvoir affiner sa sensibilité sociale et se rendre compte par lui-même des problèmes de l’existence. Il doit également servir d’exemple, par sa conduite, aux familles et aux salariés parmi lesquels il se trouve, et ne doit pas négliger de les éclairer sur les problèmes politiques et sur la manière dont il a appris à sentir, de manière vivante, les idées du national-socialisme.

             Tout cela se fait au travers d’un accord entre les Napolas et l’Arbeitsfront, c’est à dire le « Front du Travail allemand », l’organisation du Parti qui contrôle le travail national, qui dans ce cadre pense à envoyer les élèves dans des endroits adaptés à ce nouvel apprentissage. Ces dernières années ont été organisés par l’institution des voyages éducatifs à l’étranger.

 

http://img28.imageshack.us/img28/5641/316364.jpg

Croire, Obéir, Combattre



             Une fois le cursus achevé, contrairement à ce que l’on pourrait penser, le jeune homme ne reçoit aucun diplôme spécifique, ou privilégié. Il se trouve alors dans les mêmes conditions que celui qui a fréquenté une école normale, son avancement n’est facilité d’aucune façon. C’est que l’on pense que le jeune homme doit être capable de faire fructifier tout seul, dans la lutte pour la vie, les qualités supérieures que cette éducation spéciale, complexe et rigoureuse a contrôlées, confirmées et développées. Ces qualités doivent être affirmées, de manière virile et réaliste, par leurs propres moyens, sans aucune aide, et conduire le jeune au poste dirigeant auquel elles le rendent, en principe, digne.

             Il n’est pas superflu de relever le fait que l’essentiel des éléments qui dirigent la formation des jeunes dans les Napolas et qui les contrôlent est fourni par les SS (abréviation de Schutz-Staffeln), le corps « noir » germanique, qui a l’ambition d’être un gardien voire un ordre – dans le sens ancien d’organisation ascétique guerrière – de la révolution nationale-socialiste.

 

Julius Evola, Il Regime Fascista, le 27 Mai 1941.

 

L’article en version imprimable : Julius Evola, « Les Napolas », Il Regime Fascista, 27 mai 1941, Forum NSR, 2011. [pdf`|283Ko|4p]

 

 


 

1NdT : Evola semble mettre systématiquement un « s » à la suite de « napola »

2NdT : La traduction d’Evola en italien étant « Istituti di educazione nazional-politica »

3NdT : Article 176 du Traité de Versailles : « A l’expiration du délai de deux mois, à dater de la mise en vigueur du présent traité, il ne subsistera en Allemagne que le nombre d’écoles militaires strictement indispensables au recrutement des officiers des unités autorisées. Ces écoles seront exclusivement destinées au recrutement des officiers de chaque arme, à raison d’une école par arme. Le nombre des élèves admis à suivre les cours desdites écoles sera strictement proportionné aux vacances à pourvoir dans les cadres des officiers. Les élèves et les cadres compteront dans les effectifs fixés par le présent Traité (article 160, 1., alinéas 2 et 3). En conséquence et dans le délai ci-dessus fixé, toutes académies de guerre ou institutions similaires en Allemagne, ainsi que les différentes écoles militaires d’officiers, élèves officiers (Aspiranten), cadets, sous-officiers ou élèves sous-officiers (Aspiranten), autres que les écoles ci-dessus prévues seront supprimées. »

4NdT : L’équivalent de nos collèges.

5NdT : La communauté des soldats

6 NdT : Au moment de la rédaction de cet article, un peu plus d’une vingtaine de Napolas existaient. Il y en eut 37 en tout. Leur liste est disponible sur Wikipedia, article « National Political Institutes of Education »

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14 septembre 2011 3 14 /09 /septembre /2011 12:10

Le XIVe Forum de la Nation se tiendra à Lyon le samedi 15 octobre 2011 à partir de 10h00.

Le thème central du Forum sera : "Les nationalistes et le mouvement national".

 

http://img707.imageshack.us/img707/2533/xivforumdelanation15102.jpg

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13 septembre 2011 2 13 /09 /septembre /2011 23:34

http://img560.imageshack.us/img560/3237/tableronde2011800x600.jpg

 

 

La XVIe Table ronde de Terre & Peuple sera consacrée aux "lobbies et groupes de pression en France".

Interviendront Pierre Vial, Emmanuel Ratier, Anne Kling, Eugène Krampon, Eric Delcroix et Robert Spieler.


Elle se tiendra au Domiaine de Grand'Maisons à Villepreux. Les portes ouvriront à 10h avec de nombreux stands.

L'entrée coûte 8€.

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12 septembre 2011 1 12 /09 /septembre /2011 18:18

            Il est une mode, certes pas nouvelle, sur laquelle il serait bon de s’interroger, à savoir celle qui consiste à s’islamiser au nom de la résistance au Nouvel Ordre Mondial.

 

            Evolien, je suis par voie de conséquence un opposant résolu à ce que les sociologues appellent la postmodernité voire l’hypermodernité, caractérisée par le vide spirituel ainsi que par le triomphe du matérialisme via la société de consommation. C’est là, paradoxalement une victoire après coup du marxisme qui récolte les fruits de son travail de sape effectué durant plus d’un siècle. Inutile de rappeler les accointances que mon lecteur connaît bien entre capitalisme et communisme, justement considérés comme les deux face d’une même médaille. Religion, dont l’étymologie ne vient pas de « relier » mais de « tourné vers Dieu », à part entière, l’islam peut nous rendre compréhensif à son égard sachant que ses membres représentatifs ne se limitent pas à l’ici bas mais s’inscrivent volontairement au-delà du monde phénoménal.

 

            Pour autant, je tiens à effectuer une sévère mise en garde quant à la démarche de la conversion à l’islam qui, à bien des égards, est un non sens.

 

            1. Objectivement, on peut se demander en quoi des personnalités fières de leurs origines européennes, fierté qui a motivé leur engagement politique, décident volontairement de s’acculturer en embrassant une religion dont la spiritualité est géographiquement arabique et par voie de conséquence nullement européenne.

 

            2. L’un des facteurs d’union et de construction de l’Europe fut justement, par réaction, l’opposition à l’islam. Cela fut vrai géographiquement tant au Sud (Espagne) qu’à l’Est (Turquie). En ce sens, l’islam représente bien une ligne de fracture entre ce qui est européen et ce qui ne l’est pas. Peut être pourrait-on me reprocher l’importance que je porte au passé si ces convertis ne se réclamaient pas aussi du passé afin de justifier leur conversion : on ne défend pas l’identité européenne en adhérent à une religion qui lui est totalement étrangère et qui, au moins dans le passé, lui fut opposée.

            3. Puisqu’il vient d’être question du passé, je comprends très bien ce que fut l’apologie d’une alliance euro-arabe et donc musulmane face aux deux empires matérialistes que constituèrent à une certaine époque tant les Etats-Unis que l’Union soviétique. Si ce positionnement pouvait éventuellement se justifier à une certaine époque, tel n’est plus le cas depuis au moins deux décennies (date de la levée du rideau de fer).

             4. On n’a pas le droit dès lors où l’on fait preuve d’honnêteté intellectuelle de feindre d’ignorer la durable collusion entre régimes musulmans et Nouvel Ordre Mondial : les exemples marocains et saoudiens sont ici révélateurs. Il en est pratiquement de même pour les différents pays de la péninsule arabique.

            5. Faisons fi maintenant du passé afin de nous intéresser à la situation au présent. La célébration de ce que certains ont appelé printemps arabes fut justement effectuée par les tenants du Nouvel Ordre Mondial et l’Arabe d’Afrique du Nord ne rêve, pour l’instant, que de la société de consommation à laquelle, lui aussi, il espère avoir droit.

            6. L’actuelle démocratisation de plusieurs pays arabes qui se fait dans l’euphorie, risque fort, via le suffrage universel, d’engendrer des conséquences catastrophiques pour les Européens. La rémunération en Afrique du Nord a déjà atteint un tel niveau que les populations concernées ne peuvent concurrencer une main d’œuvre asiatique à vil prix. De surcroît, les habitants de ces pays sont particulièrement jeunes, ce qui risque fort de se traduire dans les urnes par des votes extrêmes suite au chômage endémique non résolvable. Dans le même temps, les fondamentalistes musulmans effectuent un maillage social d’importance et attendent leur heure.

            7. D’un point de vue spirituel, puisque les raisons politiques invoquée qui sont analysées plus haut ne sont pas cohérentes, je m’étonne de conversion à l’islam de la part de catholiques qui n’ont, pour la plupart, pas pris le temps de connaître leur propre religion. Il existe suffisamment de nuances entre les différents penseurs catholiques pour que chacun puisse y trouver son joyau. Que, dans le cadre de la Foi, on privilégie le sentiment et Saint Augustin comblera le lecteur. Qu’un catholique soit davantage épris de rationalité et le Thomisme lui procurera tout ce dont il a besoin.

            8. En dernier lieu, si l’on est vraiment rebelle au Catholicisme tout en se réclamant de l’Europe, alors il vaut mieux pour d’évidentes raisons historiques, se référer au paganisme qu’à l’islam.

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 18:18

 

 

 

      « Il y a cependant de l'authentique dans ce qui pousse étudiants et lycéens à manifester. On ne s'est pas assez avisé de la dégradation de notre environnement culturel dans les années 1980. Ces jeunes avaient entre 8 et 14 ans en 1981. Ce sont les enfants du rock débile, les écoliers de la vulgarité pédagogique, les béats de Coluche et Renaud nourris de soupe infra idéologique cuite au show-biz, ahuris par les saturnales de "touche pas à mon pote", et, somme toute, les produits de la culture Lang. Ils ont reçu une imprégnation morale qui leur fait prendre le bas pour le haut. Rien ne leur paraît meilleur que n'être rien, mais tous ensemble, pour n'aller nulle part. Leur rêve est un monde indifférencié où végéter tièdement. Ils sont ivres d'une générosité au degré zéro, qui ressemble à de l'amour mais se retourne contre tout exemple ou projet d'ordre. L’ensemble des mesures que prend la société pour ne pas achever de se dissoudre : sélection, promotion de l'effort personnel et de la responsabilité individuelle, code de la nationalité, lutte contre la drogue, etc., les hérisse. Ce retour au réel leur est scandale. Ils ont peur de manquer de moeurs avachies. Voilà tout leur sentiment révolutionnaire. C'est une jeunesse atteinte d'un sida mental. Elle a perdu ses immunités naturelles ; tous les virus décomposants l'atteignent. Nous nous demandons ce qui se passe dans leurs têtes. Rien, mais ce rien les dévore. Il aura suffi de cinq ans pour fabriquer dans le mou une telle génération. Serait-ce toute la jeunesse ? Certainement pas. N'ayant pas a courtiser les minus, osons dire que c'est la lie avec quoi le socialisme fait son vinaigre. »




Louis Pauwels, "Le Monome des zombies",     
éditorial  du Figaro Magazine, 6 décembre 1986.     




http://img510.imageshack.us/img510/1149/pauwelszu8.gif




Deux jours plus tard, le 8, la "droite" capitule en rase campagne face à ces sous-produits de la culture Lang.

Chirac vire Devaquet ; son projet est enterré, tout comme celui de René Monory. Tout comme celui sur la réforme du code de la nationalité.

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11 septembre 2011 7 11 /09 /septembre /2011 08:08

            Cinq militants nationalistes de toujours, membres et anciens membres du Front national, tenaient une conférence de presse hier à Nice, où se déroulent par ailleurs les journées promotionnelles de la fille Le Pen. Christophe Georgy, Alexandre Gabriac et Yvan Benedetti, déjà exclus, ont été rejoins hors du FN par Edouard de Brisoult qui a annoncé sa démission ; Danica Ljustina demeure quant à elle membre du FN dans l'attente d'une exclusion qui ne devrait pas tarder.

 

            C'est essentiellement Yvan Benedetti qui s'est adressé aux nombreux journalistes présents (une trentaine de médiats nationaux avaient fait le déplacement). Le conseiller municipal de Vénissieux et second de Bruno Gollnisch lors de la campagne interne est revenu sur son engagement au Front national, à la demande de Bruno Gollnisch et sur ses derniers mois vécus au sein de la structure dont il a été exclu au début de l'été.

            Durant son intervention, Yvan Benedetti a souligné les différences qu'il existait entre la vision nationaliste du combat pour la France et les Français d'abord radicalement opposé au système et la vision mariniste d'une vaine lutte électorale, désormais ancré au sein du système par la compromission avec les occupants et les francs-maçons. Au-delà d'une vision fondamentalement différentes des causes des souffrances de notre pays et des solutions à y apporter, il a déploré le traitement de la tribu de Montretout à l'égard des militants nationalistes qui ont, durant 40 ans, oeuvré pour ce parti pour le conduire où il est aujourd'hui et au sein duquel ils sont devenus les parias, suite au pute-putsch de janvier dernier.

            Le chef de Jeune nation a rendu à cette occasion un hommage appuyé au "petit peuple" des militants du Front national qui, eux n'abandonnent rien de leur vision enracinée et traditionnelle de la France. Il retourne désormais à l'OEuvre française, auprès de Pierre Sidos et des principes de ceux qui restent fidèles.

 

 

            Parmi les différents points abordés lors cette conférence, trois méritent d'être soulignés :

 

            -Bien que désormais hors du Front national, ces cadres ne s'opposeront pas au Front national pour les échéances futures, le FN incarnant toujours aujourd'hui pour le peuple français la seule alternative crédible ; ils continueront cependant à dénoncer et mettre en garde contre les errements de la présidente et de son entourage.

 

            -un protocole d'accord a été signé entre des dirigeants du Bloc dit "identitaire" et la direction mariniste du Front national. Ce marchandage verrait le retrait de la candidature du candidat-fantoche du Bloc "identitaire" et l'échange des signatures d'élus, en contre-partie de circonscriptions offertes aux "identitaires" pour les législatives. Ceci illustre les mensonges de Marine Le Pen et de sa camérilla qui avait interdit clairement le soutien à des mouvements s'étant présentés par le passé contre le Front national (mesure qui visait exprèssement le MNR et le PDF pour empêcher toute union du mouvement national quand cela génait les petits intérêts personnels de la famille Aliot-Le Pen) ;

 

            -Yvan Benedetti a souligné l'incongruité de la constitution éventuelle d'un nouveau mouvement électoraliste ; a contrario, le jeune et courageux Alexandre Gabriac lancera officiellement à l'occasion du Forum de la nation un mouvement destiné à mobiliser la jeunesse nationaliste révolutionnaire au sein d'une structure qui prendra le nom des Jeunesses nationalistes.

 

 

 

            La conférence de presse a été marquée par la démission officielle d'Edouard de Brissoult, militant depuis 25 au Front national et candidat à de plusieurs élections, suite aux trahisons et attaques graves et répétées de Marine Le Pen contre les valeurs essentielles du combat nationaliste.

 

Voici deux vidéos durant lesquelles Yvan Benedetti répond

aux questions des journalistes à l'issue de la conférence de presse.

 

 

 

 

 

 

 


Yvan Benedetti a annoncé que le traditionnel Forum de la nation se tiendrait à Lyon le 15 octobre 2011.
http://img339.imageshack.us/img339/4764/jeunenation2.png
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