19 novembre 2007
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Voici le discours prononcé par Bruno Gollnisch à Bordeaux lors du congrès national du Front national hier dimanche 18 novembre 2007.
L'ancien délégué général a été nommé à l'une des deux vice-présidences du mouvement.
Fort de son succès remporté la veille, étant largement élu en tête au Comité central avec 85%, il a livré un discours très incisif qui a ravi les militants.
Loin des sondages bidons d'une presse aux ordres (Valeurs actuelles (sic) en l'occurence), Bruno Gollnisch a été plébiscité par le "peuple frontiste". C'est clairement le choix de la rupture qui a été décidé lors du congrès sur une ligne résolument contre le système. Si ce congrès et ce vote ne résolvent rien des terribles problèmes de la France pas plus que de la "mouvance", tout autre choix aurait été suicidaire pour le mouvement national.
Heureusement la raison l'a emporté et il est à espérer que le nouveau gouvernement du Front national sera face à celui de Nicolas Sarközy le parfait contre-exemple, qu'il ne trompera pas les attentes des Français, qu'il respectera ses électeurs, qu'il se montrera inflexible sur l'immigration, sur la mondialisation, sur l'Europe, sur un choix de société tournant le dos à celui présenté par le système voué au consumérisme, au métissage, à la dissolution des moeurs et la disparition des nations.
Si ce congrès était un congrès de transition il a sonné l'heure de la fin des hésitations et celle d'une véritable rupture. Espérons que tous auront à coeur de travailler ensemble, tendus vers le même but, plébiscité par la majorité des adhérents, des militants et des cadres.
Nous reviendrons plus en détail sur le congrès de Bordeaux qui a vu par ailleurs la réélection de Jean-Marie Le Pen à la tête du FN (il était il est vrai le seul candidat).
L'ancien délégué général a été nommé à l'une des deux vice-présidences du mouvement.
Fort de son succès remporté la veille, étant largement élu en tête au Comité central avec 85%, il a livré un discours très incisif qui a ravi les militants.
Loin des sondages bidons d'une presse aux ordres (Valeurs actuelles (sic) en l'occurence), Bruno Gollnisch a été plébiscité par le "peuple frontiste". C'est clairement le choix de la rupture qui a été décidé lors du congrès sur une ligne résolument contre le système. Si ce congrès et ce vote ne résolvent rien des terribles problèmes de la France pas plus que de la "mouvance", tout autre choix aurait été suicidaire pour le mouvement national.
Heureusement la raison l'a emporté et il est à espérer que le nouveau gouvernement du Front national sera face à celui de Nicolas Sarközy le parfait contre-exemple, qu'il ne trompera pas les attentes des Français, qu'il respectera ses électeurs, qu'il se montrera inflexible sur l'immigration, sur la mondialisation, sur l'Europe, sur un choix de société tournant le dos à celui présenté par le système voué au consumérisme, au métissage, à la dissolution des moeurs et la disparition des nations.
Si ce congrès était un congrès de transition il a sonné l'heure de la fin des hésitations et celle d'une véritable rupture. Espérons que tous auront à coeur de travailler ensemble, tendus vers le même but, plébiscité par la majorité des adhérents, des militants et des cadres.
Nous reviendrons plus en détail sur le congrès de Bordeaux qui a vu par ailleurs la réélection de Jean-Marie Le Pen à la tête du FN (il était il est vrai le seul candidat).